Faire un pas en avant

J’ai vu beaucoup d’articles à propos de ces pratiquants qui ne font pas le travail, qui n’ont pas fait un pas en avant, ou qui ont cessé de le faire.

Je trouve qu’une des raisons à cela est que ceux qui font le « travail » ont quelque fois très peu de tolérance pour ceux qui ne le font pas. En fait cette approche cause de grands empêchements à notre seul corps, et pas seulement à la tâche qu’il faut faire. Je trouve personnellement que ce qui se passe est qu’un groupe a des notions d’être affairé, d’être droit, au lieu de penser comme un disciple avec une immense compassion.

Si j’étais un surveillant ou un exploitant dans un travail et que quelqu’un ne fasse pas son job, le seule vraie chose bienveillante à faire serait de parler à cette personne à propos du job et de découvrir qu’est-ce qui ne va pas avec eux qui le rend lui ou elle incapable de l’accomplir. Les gens ordinaires jugent habituellement la personne, disant qu’elle est paresseuse et stupide et flemmarde.

Nous devrions nous demander, « qu’est-ce qui aiderait les autres pratiquants à plus s’impliquer , » Nous sommes nous assis pour le leur demander ? Si dans notre esprit, nous pensons à comment les autres devraient être ceci ou devraient être cela, qu’est-ce que cela créée dans une autre dimension ? Un manque de confiance mutuelle. Lorsque quelqu’un juge autrui, des scissions commencent à apparaître.

J’ai moi-même été très critique et intolérant envers de nombreux pratiquants. Je sais qu’il ne dépend que de moi de ne pas être ainsi même si les autres le sont. Il est difficile de vouloir faire les choses avec les autres lorsque que des pensées de jugement prédominent. Donc ma réponse a été de ne rien faire si ce n’est juste personnellement, ce qui, naturellement, a généré ses propres problèmes en tant que mode d’opération.J’espère que dans le futur, ces choses changeront et que le seul corps deviendra ce que son nom implique. Pour moi c’est un processus en cours.