Une pratiquante de Dafa se conformait à « Vérité-Bonté-Patience » depuis qu’elle avait commencé la cultivation, et avait des rapports très harmonieux avec ses beaux-parents et sa famille. Toute sa famille la soutenait en distribuant des documents de clarification de la vérité. Chaque fois qu’ elle apportait de nouveaux documents chez elle, sa belle-mère l’aidait à les plier et son mari allait avec elle les distribuer. En plaçant les bannières et les posters de Dafa, son mari s’accroupissait , lui permettant de monter sur lui de sorte qu’elle puisse les poser plus haut. Dans le quartier ou ils habitent, la police a engagé plusieurs personnes pour surveiller la nuit et attraper les pratiquants de Dafa qui distribuent du matériel de clarification de la vérité. Le mari de cette pratiquante a averti les voyous, « pourquoi voudriez vous gagner un argent aussi sale ? N’avez–vous pas peur de souffrir la rétribution karmique ? N’ayez pas l’audace de dénoncer ma femme. » En conséquence, les voyous n’ont plus jamais osé suivre cette pratiquante de Dafa. Parfois ils font juste semblant de ne pas les voir quand elles sont entrain de distribuer du matériel de clarification. (Il est important de noter que pour avoir posté du matériel de clarification de la vérité à propos de Dafa, des milliers de personnes ont été battues , arrêtées , détenues, et envoyées dans des camps de travail.)
Un policier a dit, “Vous devez dire que Falun Dafa est bon, et être sincère”
Des pratiquants de Dafa, un jour, ont accroché beaucoup de haut-parleurs pour clarifier la vérité au public. Les policiers ont perquisitionné la maison d’un pratiquant, ils ont emporté des pièces électriques et des outils, et ont arrêté le pratiquant. Dans le bureau de la police du département, plusieurs policiers qui étaient réticents à persécuter des pratiquants de Dafa s’assirent et commencèrent à jouer avec les pièces électriques. Quand ils ont tout mis ensemble et inséré les batteries, il y avait une pièce qui ne fonctionnait pas. Un policier a dit « J’ai entendu que les choses du Falun Gong ne fonctionnent que pour les pratiquants du Falun Gong, si nous voulons les utiliser , nous devons dire « Falun Dafa est bon », sinon ça ne marcherait pas ». Un autre policier commença à dire « Falun Dafa est bon » à la pièce électrique. Après qu’il l’ait répété plusieurs fois , la pièce électrique commença à fonctionner. Tous reconnaissaient que c’était stupéfiant. Un policier pris une batterie pour la mettre dans le beeper, l’autre policier lui dit, « tu dois aussi dire que Falun Dafa est bon, et être sincère. Je n’étais pas sincère la première fois que je l’ai dit , et ça n’a pas marché. J’ai commencé à être plus sincère et ça a marché après que je l’ai répété plusieurs fois. »
“Je ne coopérerais pas avec le Mal”
Une pratiquante de Dafa a été arrêtée par la police . Elle refusait totalement de coopérer avec la police. Elle criait « Falun Dafa est bon » pendant tout le chemin jusqu’au poste de police, permettant à beaucoup de gens de savoir que la perversité était encore entrain de persécuter quelqu’un d’innocent. Au poste de police , elle répondait « je ne coopérerais pas avec le mal » peu importe ce que la police lui demandait. Les deux policiers lui demandèrent chacun, ce qu’ils devaient écrire sur le rapport ? Un autre policier vint dans la pièce à ce moment et dit « vous pouvez juste écrire « je ne coopérerais pas avec le mal ».
Un chauffeur de taxi appuye sur le champignon et s’enfuit du poste d’inspection.
Un pratiquant de Dafa a été forcé de quitter son foyer pour éviter d’être arrêté. Un jour il appela un taxi pour aller dans la banlieue de Beijing. Au poste d’inspection , on demandait à tout le monde de montrer sa pièce d’identité. Le pratiquant de Dafa continua d’envoyer de fortes pensées droites dans le taxi. Quand le taxi approcha du poste d’inspection , le chauffeur a soudainement appuyé sur le champignon s’éloignant rapidement . Normalement les voitures de police peuvent tirer parti de cette situation, mais cette fois les voitures de police ne le suivirent pas. Le pratiquant demanda au chauffeur, « Pourquoi vous êtes vous enfui ? » Le chauffeur répondit, «Ils sont entrain de contrôler les identités de tout le monde. Avez-vous votre carte ? » Le pratiquant sourit , « non ». Le chauffeur dit, « Si je n’avait pas fui, n’auriez vous pas été arrêté tout de suite ? Vous voyez, n’ai-je pas fait une bonne chose en m’enfuyant ? »
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