La vérité derrière l’incident du 25 avril

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo
Introduction

L’incident du 25 avril 1999 n’a pas été un événement soudain ni accidentel. Pas plus que le genre de manifestation politique impliquant le siège d’un bâtiment gouvernemental comme l’a prétendu Jiang Zemin. Dès attaques écrites commencées durant l’incident du Guangming Daily en juillet 1996 à la mobilisation par la police et au recours à la violence à Tianjin en avril 1999, le développement et l’escalade de la persécution se sont en fait produits sur une période de trois ou quatre ans.

Le 25 avril 1999, plus de 10.000 pratiquants de Falun Gong en Chine allèrent au Bureau des Appels du Conseil d’Etat rue Fuyou à Beijing pour faire appel en accord avec la loi. Ils souhaitaient demander aux autorités de relâcher les pratiquants de Falun Gong qui avaient été arrêtés par les officiers de la sécurité publique de Tianjin. Après que le Premier Zhu Rongji, chef du Conseil d’Etat, soit personnellement sorti et ait rencontré les pratiquants, la situation était en voie de résolution acceptable à la fois pour le gouvernement et pour les pratiquants ? Cependant, après l’ « incident du 25 avril », le président chinois Jiang Zemin s’est servi de deux documents secrets pour accuser le Falun Gong de deux crimes qu’il voulait leur imputer – à savoir conspirer avec des forces étrangères et être dirigés par des membres en place dans le Parti Communiste. En l’absence de toute preuve corroborante, Jiang décida une politique de persécution.

Pour permettre au lecteur d’avoir une compréhension relativement complète de cet important “Incident du 25 avril, “ ce document fournit un synopsis des événements entourant l’incident dans l’ordre chronologique. Pour la première fois, parmi les faits présentés figurent des extraits d’interviews avec deux qui ont participé aux événements du 25 avril, incluant le dialogue entre le Premier Zhu Rongji et ceux qui étaient allés faire appel. Sont inclus également des commentaires faits par Jiang Zemin dans deux documents classifiés alors qu’il décidait de réprimer le Falun Gong sur la base d’une information récente révélée par certains hauts fonctionnaires du Parti Communiste. Ce document est fourni pour référence pour ceux qui sont intéressés à apprendre la vérité de l’ « incident du 25 avril. »

1. L’ introduction du Falun Gong au public
Le 13 mai 1992, M. Li Hongzhi a tenu le premier atelier de Falun Gong à Changchun. Après quoi, l’Association de Recherche du Qigong de Chine (QRAC) a récompensé M. Li Hongzhi d’un certificat de Maître de Qigong. La QRAC émettait aussi pour l’Association de Recherche du Falun Gong de Beijing un « certificat d’enregistrement de l’Ecole de Qigong accréditée la QRAC », indiquant officiellement la classification de l’Association de Recherche du Falun Gong comme une « organisation académique ». Ses opérations couvraient « les études théoriques et la recherche, la promotion de la pratique, les services consultatifs » le champ de ses activités étant toute la Chine.

Le 31 août 1993, la Fondation de Chine Jianyi Yongwei (CJYF; une fondation sous l’administration du Ministère de la Sécurité Publique pour récompenser les gens qui combattent volontairement les criminels pour des raisons de conscience et de moralité) écrivit une lettre à la QRAC remerciant M. Li Hongzhi d’offrir la guérison gratuite et la réhabilitation des traitements aux délégués de la « Troisième Conférence Honorant les Individus Remarquables CJYF ». Le Journal de la Sécurité Publique du Peuple publié par le Ministère de la Sécurité Publique publiait même cet événement en première page le 21 septembre 1993. Le 27 décembre, le CJYF conféra à M. Li Hongzhi un certificat honoraire.

En 1993, M. Li Hongzhi fut honoré par l’Expo de la Santé Orientale de Beijing de la plus haute récompense dans la conférence, la «Récompense pour le développement de Sciences Frontières, » ainsi que la « Médaille d’Or Spéciale. » Il reçut aussi le titre du «Plus Acclamé des Maîtres de Qigong. »

Le livre « Zhuan Falun » écrit par M. Li Hongzhi fut publié par un éditeur du gouvernement, « China Broadcasting and Television Publishing House » (Maison d’Edition de Diffusion et Télévision) en janvier 1995. Le livre devint un best seller classé par le Beijing Youth Daily en janvier 1996.

Début 1999, il y avait, selon une étude du gouvernement chinois, au moins 70 millions de gens de tous milieux pratiquant le Falun Gong dans toute la Chine.

Le commencement des épreuves et le résultat des études du gouvernement
Guangming Daily, le porte parole du Conseil d’Etat, publia l’article d’un chroniqueur dénonçant le Falun Gong le 17 juin 1996. Le 24 juillet 1996, le Bureau de Publication des Nouvelles Chinois émettait une circulaire nationale interdisant la distribution des publications du Falun Gong.

Au début 1997, le Bureau de la Sécurité Publique commença une investigation à grande échelle pour rassembler des preuves dans l’espoir de cataloguer le Falun Gong “culte hérétique”. Cependant, tous les postes de police dans le pays rapportèrent finalement après beaucoup de recherches : « aucune preuve n’a été trouvée jusque là. » Les enquêtes s’achevèrent là-dessus.

A la fin mai 1998, He Zuoxiu dénonça le Falun Gong lors d’une interview télévisée à Beijing disant comme il était dangereux. Après quoi, montrant un interview sur un point de pratique du Falun Gong ; le programme disait que le Falun Gong était une « superstition féodale. » Après la diffusion du programme les pratiquants qui connaissaient en fait ces personnes qui avaient servi d’exemples à He Zuoxiu dans le programme signalèrent immédiatement à He Zuoxiu et à la Station TV que le programme s’opposait aux faits, ces personnes n’étant pas des pratiquants de Falun Gong. Dans les jours qui s’ensuivirent, plus de pratiquants se rendirent à station TV ou écrivirent des lettres clarifiant la vérité en disant leurs propres expériences personnelles de pratique du Falun Gong. Leurs réponses se basaient sur la politique officielle du gouvernement central des « Trois Non » envers le Qigong : « pas de coups, pas de disputes, pas de reportages. » Par la suite les directeurs de la station TV dirent que la diffusion de ce programme avait été la plus sérieuse erreur jamais faite depuis début de la station TV. Aussi, en correction, la station TV diffusa très rapidement un programme positif sur le Falun Gong montrant les gens pratiquant paisiblement leurs exercices matinaux ensemble dans le parc.

Le 21 juillet 1998, la Première Division du Bureau de la Sécurité Publique émit la circulaire N°555 1998 « Notification concernant le début d’un enquête sur le Falun Gong. » La « Notification » prétendait que M. Li Hongzhi répandait des rumeurs et des enseignements malins et que certains pratiquants clés étaient engagés dans des activités illégales au nom du Falun Gong. Cependant, la circulaire mentionnait aussi que les Services de Protection de la Sécurité Publique dans chaque région devaient commencer une investigation sérieuse pour rassembler une information de l’intérieure sur les activités du Falun Gong. Nous pouvons voir que la circulaire suivait la procédure de convaincre le Falun Gong de crime pour ensuite en chercher des preuves. Cette «notification » eut pour résultat que les services de la Sécurité Publique de régions dans tout le pays firent des incursions illégales sur les points de pratique du Falun Gong, dispersèrent de force les pratiquants, fouillèrent leurs maisons, entrèrent par effraction dans les résidences civiles, confisquèrent les biens privés, etc…

Dans la dernière moitié de 1998 un groupe de retraités du Congrès National du Peuple menés par Qiao Shi [l’ancien Président du Comité Siégeant du Congrès National du Peuple] conduisirent une enquête détaillée et une étude sur le Falun Gong sur une certaine période de temps parce que tant de membres du public avaient envoyé des lettres mentionnant le traitement illégal des pratiquants de Falun Gong par le Bureau de la Sécurité Publique. La conclusion de l’étude était que le « Falun Gong est bénéfique pour la nation et pour les gens sans causer leur aucun tord. » Ce rapport fut remis au Politburo dirigé par Jiang Zemin.
Avant cela, la Commission Nationale des Sports avait aussi conduit une enquête de fond et une étude sur le Falun Gong en mai 1998. En septembre, afin de coordonner cette étude, une équipe constituée d’experts médicaux menèrent une étude/questionnaire sur un échantillon de 12.553 pratiquants de Falun Gong. Les résultats indiquaient clairement que le taux d’efficacité dans l’amélioration de la santé et la remise en forme était de 97.9%. le 20 Octobre, le chef de l’équipe de recherche envoyé à Changchun et à Harbin par la Commission Nationale des Sports dit : « Nous avons le sentiment que les exercices et leur efficacité sont tout à fait bons. L’impact sur la stabilité de la société et le renforcement de la culture spirituelle sont évidents. Cela mérité d’être pleinement reconnu. » Durant cette période, les études non gouvernementales sur l’efficacité du Falun Gong à Dalian, Beijing et ailleurs produisirent des résultats conséquents.

3. L’incident de Tianjin
Le 11 avril 1999, He Zuoxiu publia un article dans le magazine Youth Reader du Collège d’Education de Tianjin intitulé « Pas d’accord pour que la Jeunesse pratique le Qigong. » Dans l’article, il se servait pour calomnier le Falun Gong des mêmes exemples qu’il avait présenté sur le programme de la station TV de Beijing en 1998. Parce que ces trois exemples avaient déjà étaient complètement clarifiés lors de l’incident de la station TV de Beijing, cet article de He avait déjà été strictement boycotté par les médias de Beijing et le système de propagande. Maintenant que cet article apparaissait à Tianjin, certains pratiquants de Tianjin sentirent qu’il était nécessaire d’expliquer les faits et la vérité aux officiels de Tianjin. Ils espéraient aussi diminuer l’impact négatif de l’article par le contact avec les éditeurs du magazine. Par conséquent, du 18 au 24 avril, quelques pratiquants allèrent au Collège d’Education de Tianjin et aux autres agences gouvernementales concernées pour clarifier la vérité.

Les 23 et 24 avril 1999, le Bureau de la Sécurité Publique de Tianjin envoya la police anti-émeute pour battre les pratiquants de Falun Gong qui étaient allés faire appel, résultant en blessures pour les pratiquants. La police arrêta 45 personnes. Lorsque les pratiquants de Falun Gong demandèrent la libération des pratiquants détenus, on leur dit à l’Hôtel de Ville de Tianjin que le Bureau de la Sécurité Publique s’était impliqué dans cette affaire, et que par conséquent les pratiquants de Falun Gong arrêtés ne seraient pas relâchés sans autorisation de Beijing. La police de Tianjin suggéra aux pratiquants : « Allez à Beijing. Ce n’est qu’en allant à Beijing que le problème sera résolu. »

De l’utilisation d’attaques dans les medias les années précédentes à cette incidence où la police utilisait effectivement la violence contre les pratiquants de Falun Gong à Tianjin, l’escalade de la persécution fut un choc pour les pratiquants le mot de l’ « incident de Tianjin » se répandit rapidement parmi les pratiquants de Falun Gong à travers tout le pays.

4. Aller faire appel au Bureau des appels du Conseil d’Etat le 25 avril
Tandis que les nouvelles de la brutalité de la police et des arrestations à Tianjin et de la nécessité de l’autorisation de Beijing pour relâcher les pratiquants incarcérés se répandaient à travers tout le pays, les pratiquants de Falun Gong, faisant confiance au gouvernement central, commencèrent à se diriger vers le Bureau des Appels du Conseil d’Etat de leur propre accord, l’un après l’autre, depuis le soir du 24 avril. Ils espéraient qu’ils trouveraient une juste résolution de l’ « incident de Tianjin. » Le 25 avril, le Premier Zhu Rongji rencontra personnellement les pratiquants de Falun Gong qui étaient allés faire appel.

Comme se souvient Mme C. qui vit dans le District de Haidian Beijing : « a 7 heures du soir le 24 avril, quelques pratiquants me dirent comment les pratiquants de Tianjin avaient été battus et arrêtés. Ils disaient que certains pratiquants voulaient aller au Bureau des Appels du Conseil d’Etat rapporter la situation, et ces individus qui voulaient y aller pouvaient y aller. Alors avec quatre ou cinq pratiquants nous prîmes le bus et arrivâmes à l’entrée Nord du Conseil d’Etat à 8h du soir le même jour. Nous étions probablement le premier groupe de pratiquants à aller faire appel pour l’ »incident de Tianjin » et le garde à l’entrée nous demanda de quoi il retournait. »

M. et Mme P. du district de Chaoyang Beijing se souviennent : « le matin du 25 avril, le côté ouest de la rue Fuyou était plein de monde, il n’y avait personne de l’autre côté de la rue (où se trouve le Conseil d’Etat). De jeunes pratiquants se tenaient en rang devant, laissant libre le trottoir et le trottoir spécial pour les aveugles. Derrière le premier rang et jusqu’au coin du mur les pratiquants étaient assis. Tout le monde était calme. La circulation n’était pas obstruée. »

Mme M. vivant dans le District Haidian se rappelle : “ A environ 8h 15 le matin du 25 avril, j’ai vu un groupe de gens dont le Premier Zhu Rongji sortir de l’entrée principale (l’entrée ouest) du Conseil d’Etat et traverser la rue pour se tenir devant les pratiquants qui étaient venus faire appel. Les pratiquants commencèrent à applaudir Le Premier Zhu demanda, « Pourquoi êtes-vous là ? Qui vous a dit de venir ici ?” Certains pratiquants dirent, “nous sommes venus ici pour rapporter la situation concernant la question du Falun Gong, personne ne nous a organisés. » Le Premier Zhu dit, « pourquoi n’écrivez vous pas des lettres d’appel ? Comment se fait il que tant de gens soient ici ? » Beaucoup de pratiquants lui répondaient. J’ai entendu certains pratiquants dire : « Nous avons écrit des lettres à n’en plus pouvoir et nous n’avons toujours pas de réponse. » Le Premier Zhu dit, « j’ai émis une directive officielle concernant votre problème. » Les pratiquants dirent, « Nous ne l’avons pas reçue. » Le Premier demanda aux pratiquants de choisir quelques représentants pour aller expliquer plus avant la situation dans le Conseil d’Etat. Plusieurs personnes levèrent la main. Le Premier Zhu pointa désigna quelques personnes et ils entrèrent dans le Conseil d’Etat. »

5. Le Premier du gouvernement résolut convenablement l’ “incident de Tianjin” et l’“incident du 4.25 ”
A midi le 25 avril, Li Chang et Wang Zhiwen de la Société de Recherche du Falun Dafa et trois autres pratiquants de Beijing, agissant en tant que représentants du Falun Gong, entrèrent dans le Conseil d’Etat pour s’entretenir avec les officiels du gouvernement. Ils présentèrent trois requêtes de la part des pratiquants :

1) Libérer les pratiquants de Falun Gong arrêtés à Tianjin;
2) Donner aux pratiquants de Falun Gong un environnement normal et paisible pour se cultiver
3) autoriser la publication des livres du Falun Gong.

Les officiels du gouvernement qui participaient aux discussions à tour de rôle comprenaient des officiels du Bureau des Appels du Conseil d’Etat, des officiels de la ville de Beijing, et des officiels de la ville de Tianjin. Au crépuscule, Tianjing libéra tous les pratiquants de Falun Gong détenus en accord avec les instructions du gouvernement central.

6. Jiang Zemin a utilisé des documents secrets pour retourner les conclusions du Premier et décider la répression.
Le soir du 25 avril, Jiang Zemin, au nom du Secrétaire Général du Parti Communiste, écrivit une lettre aux membres du Comité Siégeant du Politburo et aux autres dirigeants concernés. Dans la lettre, Jiang Zemin accusait des cerveaux « derrière la scène » de l’incident du 25 avril qui « planifiaient et donnaient les ordres. » (Cette lettre marquée « Hautement Confidentielle, » fut émise comme circulaire du bureau du gouvernement central [1999] N°14 intitulée « Notice du Bureau du Parti Communiste Central concernant l’impression et la distribution de la « lettre du Camarade Jiang Zemin au Comité Siégeant du Politburo et autres Camarades Dirigeants Concernés »)
Jiang Zemin fit un discours à la réunion du Politburo du gouvernement central et déclara, « la question du Falun Gong a de très profonds arrière plans politiques et sociaux et même un arrière plan international … c’est l’incident le plus sérieux depuis la turbulence politique de 1989. » Le 13 juin, ce document fut secrètement transmis à l’intérieur du Parti Communiste. (Ce document fut catégorisé comme hautement confidentiel et fut émis par le bureau du gouvernement central comme [1999] N° 30 intitulé « Notice du Bureau du Parti Communiste Central concernant l’impression et la distribution du « Discours du Camarade Jiang Zemin au Meeting du Politburo du Gouvernement Central concernant le Traitement et la Résolution de la « Question du Falun Gong » Sans Délai »)
Certains haut fonctionnaires à l’intérieur du Parti Communiste ont révélé que dans les deux documents classifiés ci-dessus, Jiang posait clairement la question de savoir s’il y avait des connexions étrangères et occidentales à l’incident du 25 avril et s’il y avait des cerveaux derrière la scène qui planifiaient et émettaient les ordres. » Ils ont révélé la mentalité de Jiang protégeant à tout prix son propre pouvoir personnel et ses intérêts, et comment, sans aucune preuve concrète, il avait pris la décision politique erronée de persécuter le Falun Gong.

Dès la fin Mai 1999, les activités de pratique quotidienne du Falun Gong dans de nombreuses régions furent soumises aux dispersements forcés par les agences administratives de la ville et le Bureau de la Sécurité Publique. Les officiers de la sécurité publique dans certaines régions utilisèrent des jets d’eau à haute pression pour faire fuir les pratiquants et des hauts parleurs tonitruants pour déranger leur pratique. Les personnes chargées des centres d’assistance du Falun Gong furent appelées par leurs lieux de travail et par les officiers de la sécurité publique pour discussion et interrogatoires, ils furent placés sous surveillance et suivis, leurs téléphones furent mis sur écoute et on ne les autorisa pas à quitter la région.

Durant une réunion de haut niveau le 19 juillet, Jiang Zemin annonça officiellement la confirmation d’une interdiction totale du Falun Gong. Le 20 juillet vit le début d’une vague d’arrestations des pratiquants de Falun Gong dans toute la nation.

Selon le Centre d’Information du Falun Dafa, de juillet 1999 à mars 2001, 188 personnes ont été torturées à mort en Chine, plusieurs centaines ont été condamnées à des peines allant jusqu’à 18 ans de prison, et plus de 50.000 ont été détenues dans les centres de détention, les camps de travail, et les hôpitaux psychiatriques. L’insistance de Jiang à réprimer le Falun Gong a confronté la Chine à des critiques de plus en plus nombreuses de la communauté internationale pour la détérioration des droits de l’homme et des valeurs morales.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.