La prison renvoie chez lui Deng Jiangang de Meishan, dans la province du Sichuan, dans un état critique

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M. Deng Jiangang est un pratiquant de Falun Gong de la ville de Fengming, canton de Pengshan, Meishan dans la province du Sichuan. Il a été détenu dans des centres de détention en 2001 et 2004, où il a subi une torture brutale. Il a été condamné en 2008 à cinq ans de prison. Sa femme, Jiang Xiantao, a été condamnée à quant à elle écopé de trois ans. M. Deng a été détenu et torturé dans la Prison Wumaping à Leshan. Récemment, il a été renvoyé chez lui, inconscient et dans un état critiq


Deng Jiangang


En mars, la famille de M. Deng est allée à la prison pour le voir et déterminer son état mental et physique. En avril, sa famille a reçu un coup de téléphone de la prison leur disant qu'il avait été transféré à l'Hôpital de Prison de Chengdu. Peu après, sa famille a reçu la première notification de l'hôpital les avertissant qu’il était dans un état critique. Sa famille est alors allée à la prison et a demandé sa libération sous caution pour traitement médical. Cependant, ils n'ont pas reçu de réponse jusqu'à ce que l'hôpital publie une deuxième notification d’état critique.


Pendant son séjour à l'hôpital, sa famille lui a rendu visite plusieurs fois. Pendant la première visite, sa famille a accompli toutes les procédures de l’hôpital pour une visite vers 8h00. Cependant, on ne leur a pas permis de le voir avant l'après-midi. Il ne pouvait alors pas se lever et ne les a pas reconnus. En l’espace d’un mois il est tombé dans un état inconscient. Sa famille a suspecté l’injection de substances inconnues.


Grâce à beaucoup d'efforts de la famille, M. Deng a finalement été libéré et emmené à la maison le 14 juin 2012. Il ne pouvait pas se tenir debout et n’a pas cru qu'il était à la maison quand sa famille a essayé de le lui expliquer. Il a à peine reconnu les membres de la famille. Il avait peur de manger quand on lui donnait à manger. Il continuait à dire: ‘S'il vous plaît ne me battez pas ». Il perdait de l'eau froide dans ses selles, indiquant combien il était blessé sévèrement physiquement et émotionnellement.


Le 14 juin 2012, les agents de police de Chengdu à l'Hôpital Général ont notifié à sa famille de l'emmener à la maison. Ils sont venus le chercher et ont immédiatement reconnu qu'il était mourant. Un détenu l'a porté jusqu’à la voiture. Sa famille l'a appelé, mais il n'a ni répondu ni bougé. Le policier qui l’escortait a dit qu'il s'était rétabli, mais n'écoutait pas la police, ni n'obéissait à aucune règles et devait donc être discipliné à la maison. Le numéro d'identification de ce policier était le 5118235.


M. Deng a été ramené à la maison vers 22h20, mais il a été incapable de dormir pendant quatre nuits. Il ne pouvait pas fermer ses yeux et devenait inquiet et paniqué. Il griffait continuellement son cou et son torse, en disant qu'il se sentait mal; il gémissait continuellement. Un docteur est venu pour l'osculter et a constaté que ses pupilles étaient dilatées, signe de symptômes toxiques. Il ne pouvait pas manger et était comme en transe. Il n'avait plus de mémoire et ne pouvait même pas reconnaître sa femme ou sa fille.


Le 14 juin, son drain urinaire a été retiré sorti et du sang en goûtait. Il n'a pas été capable d'uriner après que le tube ait été enlevé. Chaque fois que sa famille essayait de lui essuyer la sueur, aussitôt qu'ils le touchaient, il criait en panique : "Ne me battez pas! Ne me battez pas!"


Quand M. Deng est rentré à la maison, une voiture de policiers de l'Hôpital l'a suivi.


Version chinoise

Traduit de l’anglais :
http://en.minghui.org/html/articles/2012/7/12/134391.html

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