Un avocat chinois défend ce qu’il sait être juste

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La province de Gansu a tenu une seconde audition des accusations portées contre M. Kou Chuangjin. L’avocat de M. Kou, venu de Pékin pour le défendre, a plaidé non coupable en sa faveur. Tous ceux présents dans la salle du tribunal ont ainsi eu une opportunité d’apprendre à la fois la bonté et la droiture du Falun Gong et la vérité brutale derrière la persécution à laquelle font face ceux qui le pratiquent sous le régime communiste en Chine.

M. Kou, 60 ans, est un ancien cadre du Bureau d’affaire de Qingyuang. Lui, et son épouse Mme Li Ruihua, et leur fille Mlle Kou Juanjuan, ont tous vu leur santé et leur bien-être s’améliorer après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong. Cependant, le Parti communiste chinois a pour politique de persécuter le Falun Gong et cela a causé une grande souffrance à la famille.


1. Aucune des preuves présentées n’indiquait qu’une loi quelle qu’elle soit avait été enfreinte

Durant la période d’investigation, l’avocat a remis en question toutes les preuves soumises par le procureur et indiqué qu’aucune n’était défendable d’après la loi.

M. Kou a établi la raison pour laquelle il pratique le Falun Gong. Il a dit : " Je souffrais d’un cancer du foie, d’un cancer de l’estomac et d’autres maladies. L’hôpital a déclaré que j’étais incurable. Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong, toute mes maladies ont disparu et j’ai fait l’expérience de changements fondamentaux à la fois dans ma santé physique et mon bien-être mental. "

Il a déclaré que son arrestation et les preuves collectées contre lui étaient illégales. Le jour de l’arrestation, plus d’une dizaine d’agents du sous-bureau de police du district de Xifeng ont forcé la porte de M. Kou et sont entrés à son domicile par effraction. Cependant, aucuns ne portaient d’uniformes de la police, et ils ont saccagé sa maison sans présenter d' identification. M. Kou a vu le mandat de perquisition pour la première fois au tribunal. Durant l’arrestation, les agents se sont montrés violents, le jetant sur le canapé et lui intimant de ne pas bouger. Plusieurs personnes ont assisté à l’arrestation, parmi lesquelles la mère de M. Kou, sa fille, son petit-fils et ses voisins.

Il a ajouté que le Falun Gong est une croyance spirituelle, et qu’avoir des croyances spirituelles ne viole aucune loi. Ce n’est pas un crime, pas plus que n’est un crime le fait de suivre le principe Authenticité-Bonté-Tolérance pour s’améliorer. Il a requis sa libération immédiate.

La procureure a déclaré que les documents liés au Falun Gong étaient extraits de l’ordinateur de M. Kou en tant que "preuve". Elle a commencé à en faire écouter un à la cour. Tous ceux présents dans la salle du tribunal ont pu entendre : " La culture traditionnelle chinoise nous enseigne qu’une promesse vaut tout l’or du monde … " Elle a rapidement arrêté l’enregistrement et en a passé une autre séquence. Cette fois, les mots " La culture chinoise traditionnelle nous enseigne… " ont pu être entendus. Elle l’a arrêté et essayé à nouveau, mais des mots similaires ont résonné à nouveau "Chinoise traditionnelle… " elle l’a finalement éteint et a continué.

Puis elle a dit au juge "Voici un enregistrement intitulé 'Assurez votre sécurité en quittant le PCC.' Elle a essayé de passer le document, et tout le monde a pu entendre les mots " Bonjour mon ami. C’est un appel téléphonique gratuit pour vous … " Elle a arrêté l’enregistrement. Un moment plus tard, elle a essayé à nouveau : " Mon ami, avez-vous jamais rejoint la Ligue de la Jeunesse ou les Jeunes Pionniers… " La procureure a déclaré : " C’est ce que nous avons trouvé sur l’ordinateur de M. Kou. Le contenu en est contre le PCC. " Les observateurs dans la galerie ont trouvé qu’il n’y avait rien de mal avec les enregistrements qu’ils venaient d’entendre, il était apparent qu’ils commençaient à trouver tout le processus vraiment amusant …


2. Avoir des croyances spirituelles n’est pas un crime–Les gens sont privés de leurs droits constitutionnels

Durant les auditions, l’avocat a maintenu l’innocence de M. Kou. Il a déclaré que ni les intentions ni les actions de M. Kou ne constituaient des atteintes aux lois ou aux règlements administratifs chinois.

L’avocat a avancé que M. Kou pratiquait le Falun Gong dans une optique de bonne santé et d’amélioration mentale, et aussi pour devenir une meilleure personne en adhérant aux standards de Vérité-Compasssion-Tolérance du Falun Gong. La croyance appartient au domaine de l’idéologie et est une question dans le domaine de l’esprit. L’esprit d’une personne ne peut pas commettre de crime, aucun " crime de pensée "n’étant mentionné dans les livres de loi chinois. Seuls les comportements peuvent être comptés comme crimes. Peu importe en quoi croit une personne, tant qu’elle ne commet aucun acte criminel, elle n’est coupable d’aucun crime.

Durant le procès, la procureure n’a fourni aucune preuve de l’utilisation par M. Kou d’une "organisation hérétique pour miner l’application de la loi," le "crime" dont il était accusé.

(Note de l’éditeur : Falun Gong enseigne aux gens à être bons Il y a amplement de preuves hormis la portée de cet article particulier, qui suggèrent que c’est en réalité le Parti communiste chinois qui est la véritable organisation hérétique. [Les caractères chinois pour "organisation hérétique"sont souvent alternativement traduits par "culte"] C’est le PCC qui mine l’exécution des lois et des règlements de la Chine. C’est le PCC qui dénature la loi et en abuse à ses popres fins comme d’une arme pour aider à la persécution de bonnes personnes.)

Quel culte ou organisation hérétique M. Kou a-t-il employé ? Quelle sorte d’organisation est-ce ? À quoi ressemblent ses membres, personnels et structures ? Cette organisation se trouve-t-elle en Chine ou en dehors ? Quel titre M. Kou a-t-il au sein de l’organisation ? Quelles capacités a-t-il au sein de l’organisation ? Qui le supervise au sein de l’organisation ? Quels ordres a-t-il donnés ? Comment a-t-il utilisé l’organisation ? A-t-il reçu des ordres ou obtenu des fonds de l’organisation ? De quelles lois ou règlements administratifs a-t-il enfreint l’exécution ?

La distribution de matériaux du Falun Gong ne viole pas les lois chinoises. Au contraire, elle est le reflet des libertés de parole, d’expression, et de croyance qui sont stipulées dans la constitution de la Chine. La distribution de matériaux du Falun Gong n’est par conséquent pas un crime : c’est en fait un exercice des droits des citoyens sous la constitution.

Quant aux contenus des matériaux de Falun Gong, un type inclut des contenus en rapport avec la cultivation de Falun Dafa, tels que les livres Zhuan Falun et Explaining the Content of Falun Dafa. Tous enseignent aux gens comment cultiver leur xinxing selon les standards de Vérité-Compassion-Tolérance. Ils ne contiennent rien d’illégal. Ils ne pratiquent ni n’encouragent le sabotage d'aucunes lois ou règlements que ce soit.

Un autre type de matériaux sont les imprimés qui proclament “Falun Dafa est bon. Vérité-Bonté-Tolérance sont bons. " D’autres encore disent "La destruction du PCC est le mandat du ciel. Quittez le PCC et ses organisations affiliées pour votre propre sécurité," ou " Le PCC est en train de se désintégrer." D’autres matériaux concernent Shen Yun Performing Arts et sa renaissance des cinq mille ans de culture traditionnelle de la Chine. Il y a aussi des copies des Neuf commentaires sur le Parti communiste, "Désintégrer la culture du Parti " etc.

Regardons en certains d’un peu plus près

“Falun Dafa est bon” recommande le Falun Gong à d’autres et illustre les bienfaits qu’il apporte. C’est un comportement consistant à dire la vérité et à aider les autres, qui n’outrepasse pas ce qui est légalement permis. Ce n’est assurément pas saboter les lois quelles qu’elles soient. Quant à "Vérité-Bonté-Tolérance," ce sont des principes universels reconnus par tout le genre humain. Les DVD et autres matériaux concernant Shen Yun Performing Arts présentent et propagent l’essence de cinq mille ans de culture chinoise traditionnelle. Ceci devrait être chéri comme des trésors spirituels. Qui voudrait ou pourrait s’opposer à de tels principes ?

Quant à “La destruction du PCC est le mandat du ciel” et “Quittez le PCC et ses organisations affiliées pour votre sécurité,” “Le PCC est en train de se désintégrer” et les Neuf Commentaires sur le Parti communiste, selon les principes de “la souveraineté appartient au peuple,” la théorie du contrat social et l’ Article 41 de la constitution de la Chine, qui déclarent que “Les citoyens de la République populaire de Chine ont le droit de critiquer et faire des suggestions à n’importe quelles agences et personnels du gouvernement,” ces matériaux ne représentent rien de plus qu'un exemple de citoyens exerçant leurs droits légaux.

Les pratiquants de Falun Gong ont été calomniés sans raison. Sans aucun moyen public qui leur soit ouvert pour exercer leur liberté d’expression, ils produisent à la place des matériaux avec leur propre argent pour clarifier la vérité aux gens, dénoncer les mensonges propagés à propos du Falun Gong dans les médias tenus par l’état en Chine, et présenter aux gens la beauté du Falun Gong. Qu’y a-t-il de mal à cela?

Qui a jamais vu des pratiquants de Falun Gong commettre des actes de violence, avoir des comportements extrêmes ou causer du tort aux autres ? Naturellement chacun en Chine, et même dans beaucoup d’autres endroits dans le monde, a entendu parler de la soi-disant " auto-immolation" sur la Place Tiananmen. Il y a eu aussi des déclarations faisant passer les pratiquants de Falun Gong pour des tueurs en série, diffusées encore et encore dans des cas défrayant le chronique sur la Télévision centrale de Chine (CCTV). Mais qui réalise que CCTV n’est rien d’autre qu’un instrument de propagande utilisé pour salir tout ou quiconque et plaire au régime du PCC ? En fait, aucuns pratiquants de Falun Gong ne sont des tueurs en série. Et aucun pratiquant de Falun Gong ne s’est immolé sur la Place Tiananmen. Et qui pourrait croire que si les pratiquants faisaient quelque chose allant si radicalement à l’encontre des principes du Falun Gong, ils le feraient exactement au moment même où de multiples caméras de CCTV et des policiers chinois avec des extincteurs à la main se trouvent justement être sur les lieux ? Ce soi-disant "incident d’auto-immolation", tout comme l’histoire des tueurs en série, n’est rien qu’un coup de propagande conçu et honteusement exécuté par le PCC dans une tentative de tourner l’opinion publique contre le Falun Gong, afin, de façon détournée, de "justifier" leur persécution du Falun Gong dans les esprits du public

Comme l’a souligné l’avocat, il n’existe pas de " crimes de pensée "dans les livres de lois de la Chine. La liberté de croyance, aussi appelée liberté de religion, est devenue la norme dans le monde entier et a été inscrite dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et le Traité international sur les Droits civils et politiques. Traités que la Chine a signés voici plusieurs années.

L’article 36 de la Constitution stipule : “Les citoyens de la République populaire de Chine ont la liberté religieuse.” La séparation de la religion et de l’état est un principe commun. Les organisations religieuses ne devraient pas intervenir dans les choix politiques de leurs membres. Les États ne devraient pas forcer les citoyens à cesser de croire en Falun Gong. Les agences du gouvernement n’ont pas le droit d’étiqueter une croyance spirituelle quelle qu’elle soit de " culte " ou d’organisation hérétique. Le faire est un empiètement politique sur les droits privés des citoyens, et constitue en et de soi une grave violation des droits humains.

La croyance et la pratique du Falun Gong par M. Kou Chuangjin est un reflet de la liberté religieuse stipulée par la constitution et l’exercice des droits légaux des citoyens. Le coup monté des agences judiciaires contre M. Kou Chuangjin constitue le crime de “priver illégalement les citoyens de liberté de croyance." C’est un crime qui devrait être poursuivi selon la loi.


4. À propos de la Loi, de la Justice, et de la Conscience

Pendant le procès, l’avocat de la défense a cité des extraits du livre du Dr Qian Yuejun Aperçus de la Loi allemande : le seul but d’établir une cour de justice c’est de maintenir la justice sociale, et non de protéger la loi. Par conséquent, un procès juridique doit être guidé par la justice. Un juge doit faire un bon jugement de la justice et discerner le bon du mauvais. La manière la plus traditionnelle et la plus moderne de juger une affaire est de suivre sa conscience, utiliser sa conscience pour distinguer une bonne loi d’une mauvaise, et utiliser sa conscience pour déterminer si un verdict est juste ou non. Dans ce sens, la conscience est le plus haut principe de la loi et l’ultime méthode pour rendre un verdict."

En février 1992, deux jours avant l’effondrement du Mur de Berlin, le garde frontière de l’ancienne Allemagne de l’Est, Ingo Heinrich, a été jugé à Berlin pour avoir tué un jeune homme du nom de Chris Guffroy qui essayait de fuir vers la liberté à Berlin Ouest.

L’avocat de la défense d’Heinrich a avancé qu’il exécutait simplement l’ordre de tirer sur tout Allemand de l’Est essayant de s’échapper en Allemagne de l’Ouest, et que par conséquent il n’avait aucun autre choix que de tuer Gueffroy. L’avocat de la défense a plaidé non coupable. Mais le juge n’a pas approuvé l’argument. Un argument similaire a été présenté aux Procès de Nuremberg après la IIème Guerre Mondiale. Les gouvernements à travers le monde ont adopté la même position.

– Personne ne devrait demander le pardon en utilisant l’excuse d’avoir obéi à des ordres lorsqu'il ou elle a commis des crimes immoraux. Personne ne devrait franchir la ligne de la moralité avec l’excuse de suivre les ordres.

Le juge Theodor Seidel a déclaré Heinrich coupable et l’a condamné à trois ans et demi de prison pour homicide. Le juge a dit à Heinrich que ne pas exécuter les ordres de " tirer à vue" aurait été considéré comme un crime à l’époque, mais que manquer la cible ne l’aurait pas été. " En tant qu’homme à l’esprit sain, à ce moment, vous aviez le droit de lever votre fusil d’un centimètre. Et c’est la responsabilité de la conscience que vous deviez porter. Dans ce monde la conscience est au-dessus de la loi. Lorsqu'il y a un conflit entre la loi et la conscience, la conscience et non la loi est le plus haut principe pour guider n'importe quelle action. Respecter la vie est un principe qui devrait être maintenu où que ce soit. Avant de devenir un garde frontière, vous auriez du savoir que même la loi de l'Allemagne de l'Est ne doit pas violer le plus haut principe directeur."

Le "plus haut principe directeur" (ou justice ) surpasse n'importe quelle loi. Si une loi quelle qu'elle soit viole la justice, elle devient une loi illégale. Quiconque suivant une loi illégale est en train de violer la loi.

Le Dr. Lung Ying-Tai de Taïwan a une fois demandé à un ancien garde frontière Est allemand : "Pensez vous qu'il soit juste de juger des gardes frontières ?" Il a répondu : "Naturellement c'est juste. Le président leur a ordonné de tirer, mais personne ne leur a ordonné de ne pas manquer leur cible ! Vous pouvez prétendre que vous exécutez l'ordre de tirer sur les gens [traversant le Mur de Berlin], mais c'est un meurtre si vous choisissez de ne pas manquer la cible !"

Les lois existent pour protéger la conscience et la justice. le système de la justice est la frontière ultime pour la conscience humaine et la justice sociale. Les gens placent leurs espoirs dans les procureurs et les juges. En Chine, certaines lois et certains ordres violent gravement la conscience. Par exemple, l'Article 300 de la Loi criminelle relevant des cultes pervers, qui a été utilisée par le système de la la justice chinoise pour inculper, réprimer et persécuter les pratiquants de Falun Gong innocents, ainsi que les interprétations de la Cour suprême de la Chine sur la loi en 1999 et 2001, sont injustes et violent gravement les valeurs morales et la justice sociale. Les procureurs et les juges sont supposés connaître les plus hauts principes directeurs de la loi, pourtant ils ont violé leur propre conscience en jugeant d'innocents pratiquants de Falun Gong et les ont envoyés en prison. Les gens pratiquent le Falun Gong et suivent les principes d'Authenticité-Bonté-Tolérance parce qu'lls veulent devenir de meilleures personnes, mais dans les cours de justice de la Chine, ils sont privés de leur liberté personnelle, soumis à des tortures cruelles, et ont même perdu leurs précieuses vies. D'innombrables familles ont été déchirées en conséquence ! La persécution des pratiquants de Falun Gong représente la plus grande injustice dans l'histoire humaine.


5. C’est une sage décision que de traiter les pratiquants de Falun Gong avec bonté

Ces quelques dernières années, de plus en plus de pratiquants de Falun Gong jugés dans les tribunaux chinois ont reçu des condamnations moindres. En fait, beaucoup ont été rejugés seulement pour recevoir des condamnations moindres ou être déclarés non coupables en premier lieu. L’avocat de la défense M. Kou a cité de tels exemples de tribunaux à Hunan, Hubei, Shenyang, Shanghai, Fujian et Tianjin où des pratiquants ont été déclarés non coupables ou mis en liberté surveilléée.

L’avocat de la défense croit que la tendance suggérée par ces cas est un signe que les professionnels légaux en Chine s’éveillent à leur conscience et ont pris de sages décisions basées sur les faits. Ils ont fait de bons choix pour leurs propres futurs et établi de bons précédents juridiques pour les futurs procès des pratiquants de Falun Gong.

Finalement, l’avocat de la défense de M. Kou a exprimé son espoir que le juge n’en ferait pas une affaire politique et l’a encouragé à suivre sa conscience et a prononcer un verdict juste.

Le juge a alors annoncé qu’il retardait le verdict jusqu’à la prochaine audience. La séance a été levée aux environs de 11h 15.


Conclusion

Juger un pratiquant de Falun Gong pour ses croyances est une insulte à la loi, ce n’est en aucun cas un délit criminel que de pratiquer le Falun Gong. Le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé le système de la justice en Chine, y compris la police, les procureurs et les juges, comme un outil pour réprimer ses dissidents. Le système de justice en Chine ne maintient plus la justice ;

Les ressources juridiques d’une nation devraient être utilisées pour lutter contre la violence, les crimes, la corruption et d’autres délits criminels. Elles devraient être utilisées pour protéger les vies, les libertés et les biens des contribuables. Elles ne devraient pas être utilisées pour réprimer des citoyens au bon coeur et respectueux des lois dont la croyance spirituelle diffère de celle du parti au pouvoir. Ceux qui suivent les principes de Vérité-Bonté-Tolérance du Falun Gong ne mettront jamais la société en danger, mais lui bénéficieront plutôt. Si seulement il y avait davantage de gens suivant de tels principes, alors la société de la Chine reviendrait assurément à une plus grande stabilité et harmonie. C’est tout comme ce qu’a dit M. Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong :

" Si chacun cherche en lui-même dans son cœur et se demande comment bien agir, je vous dis que la société redeviendra stable et que le niveau de la morale humaine se relèvera." ("L’élévation du xinxing," de la leçon Quatre de Zhuan Falun)

C’est un principe céleste que le ciel finisse par récompenser la bonté et punir le mal. C’est le principe ultime directeur de toutes les lois et verdicts. Chacun écrit sa propre histoire avec ses propres actions. Chaque personne décide de son propre futur. C’est un crime que de condamner un pratiquant de Falun Gong en sachant qu’il est innocent. Personne ne peut justifier cette action en utilisant l’excuse qu’il ne fait qu’exécuter les ordres. Nous espérons que les procureurs et les juges impliqués dans le procès de M. Kou suivront leur conscience et les valeurs morales et délibéreront équitablement dans ce cas et dans les autres. Faîtes le juste choix et déclarez M. Kou non coupable et relâchez-le.


Personnes impliquées dans la persécution :

Bureau 610 de la ville de Qiangyang :
Shi Jianguo, directeur : +86-934-8237199, +86-13993496862 (mobile)
Wen Shixin, directeur adjoint : +86-934-8228324, +86-13993422797 (mobile)
Zhang Jinming, agent : +86-934-8237189, +86-13369348596 (mobile)
Liu Hongtao, chef adjoint du Comité politique et judiciaire de Qingyang: +86-934-8237195, +86-13809343001 (mobile)
Département de police de Qingyang:
Directeur : +86-934-8868281
Directeur adjoint : +86-934-8868282


Minghui

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