Des pratiquants échappent à la persécution grâce à leurs pensées droites

Un pratiquant de Falun Dafa illégalement détenu dans un centre de détention élevait fréquemment la voix pour dire “Falun Dafa Hao” (Falun Dafa est bon). Les personnes de cœur noble ont besoin de Vérité Compassion Patience !” Il défendait Falun Dafa en pratiquant publiquement les exercices et en émettant des pensées droites [émettre la puissante énergie de pensées pures et droites]. Créant ainsi un environnement favorable il se sentait très à l’aise. Après avoir été détenu pendant deux mois, il réalisa que ce n’était pas l’endroit dans lequel il avait besoin d’élever son Xinxing [nature de l’esprit ou du cœur] et qu’il devait sortir de là. Une fois cette pensée apparue, il se sentit soudainement mal. On diagnostiqua de hypertension et il développa un tic. Il fut libéré en conséquence et se fondit de nouveau dans le courant de la rectification de la Loi.

Lors des deux conférences tenues par le Parti en mars 2000, un pratiquant fut kidnappé par la police et envoyé dans un commissariat. Les gardes lui attachèrent les mains à un arbre et dirent qu’il devait attendre les ordres du chef des services de police. Le pratiquant pensa, « Récemment, j’ai été si occupé par les activités de Falun Gong que je n’ai lu Zhuan Falun [le texte essentiel du Falun Gong] que quelquefois . C’est la cinquième fois que je suis détenu. Je ne devrais pas être ici, Grand Maître, s’il vous plait détachez les menottes. Puis il sortit du lieu de détention et s’éloigna du commissariat.

Tandis qu’une pratiquante de Falun Dafa distribuait des matériaux clarifiant la vérité dans un bâtiment résidentiel, les officiers de sécurité voulurent appeler quelqu’un à l’aide pour la faire arrêter. Elle lui dit, « vous devriez plutôt arrêter les voleurs et ceux qui violent la loi. Nous pratiquants de Falun Gong cultivons « Vérité, Compassion, Patience » et essayons d’être des personnes de cœur noble. Vous ne pouvez pas nous arrêter. » La pensée du moment, quelle qu’elle soit, peut amener des conséquences différentes. Après avoir entendu cela, l’officier de sécurité comprit et la relâcha. Parce qu’il n’y avait dans son esprit aucune excuse pour la persécuter.

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2003/2/10/44306.html