Cultiver un cœur bienveillant pour sincèrement agir dans l’intérêt des autres

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J’ai commencé à pratiquer Falun Dafa en juin 1995. Dès le premier jour où j’ai étudié « Chine Falun Gong », les conflits dans ma famille m’ont accompagné pendant plus de sept ans dans ma cultivation. Depuis le tout début, je pensais que quoi qu’il puisse arriver, mon mari ne pourrait pas changer mon cœur résolu à cultiver Falun Dafa, et ne pouvait pas être un obstacle à ma cultivation pratique. Alors, d’endurer avec colère à endurer avec tranquillité, j’ai trébuché sur mon chemin de cultivation pendant plus de sept ans. En d’autres mots, j’ai beaucoup payé afin de gagner la liberté de cultiver pendant sept ans. Mon mari était extrêmement chauvin. Tout devait être fait à sa façon. S’il ne pouvait l’obtenir, il me rendait les choses vraiment difficiles. L’exemple le plus typique était que lorsque je voulais aller étudier Fa [Enseignements du Falun Gong] et propager Falun Dafa, il disait qu’il y avait beaucoup à faire dans la maison. Il allait jusqu’à rechercher des tâches et me forçait à les terminer avant que je puisse sortir. Comme je n’étudiais pas assez bien la Loi (Fa) et n’en comprenais pas les principes plus profonds, je ne pouvais que traverser les difficultés avec ma personnalité énergique. Je pensais même que j’étais diligente et faisais un bon travail.

Une fois, alors que nous tenions une rencontre de partages d’expériences, un pratiquant me demanda soudain comment allait ma famille. Je commençai à me plaindre que malgré ma bonne attitude chez moi, mon mari n’était jamais satisfait. Il n’avait pas en particulier une bonne compréhension de Dafa. En donnant instantanément des exemples je réalisai soudain mon manque de compassion à son égard. En fait, tout ce que je faisais pour lui se cachait derrière un cœur égoïste. Par exemple, lorsque je partais, je préparais les repas pour plusieurs jours pour ma famille. Je ne le faisais pas vraiment pour eux, mais pour pouvoir sortir sans qu’il me retienne. Tout à coup je fus atterrée.

Pendant ce temps, les pratiquants échangeaient leurs compréhensions à propos de la question que j’avais soulevée. Un pratiquant dit « Je pense en fait que ton mari n’a pas tord. Tout est de ta faute. » En entendant cela, j’étais véritablement choquée. Ce qui me choqua encore plus était l’histoire racontée par un autre pratiquant. Il était venu de Chine Continentale peu de temps auparavant. Il raconta un événement arrivé avant que son jeune frère ne soit emprisonné par le régime politique chinois pervers. Un jour, sa belle-sœur acheta quelques escargots vivants. En les voyant, mon frère pensa, « Ma femme ne cultive pas. Comment peut-elle rembourser ses dettes si elle tue autant de vies ? » Alors il fit cuire les escargots lui-même. [Croyant qu’en tant que pratiquant, les vies auxquelles nous nuisons seront bénies par la chance si nous parvenons au but de notre cultivation]. Sa femme voulut faire cuire le repas, « Je l’ai fait » dit il, de manière anodine et sans plus d’explications. En entendant cela, les larmes me montèrent aux yeux. Je sentis la miséricorde pour toutes les vies venant de son être profond. Je croyais que sa femme pouvait le sentir au-delà des mots. Par la suite, le frère de ce pratiquant fut surveillé. Lorsque la police voulut que sa femme rapporte sa conduite quotidienne, elle refusa fermement, et dit quelque chose pour justifier Dafa (on a dit que sa femme s’était fermement opposée à sa cultivation auparavant.)

J’ai réalisé que quoique nous fassions, notre première pensée spontanée était déterminante. Ce pratiquant se conduisait lui-même totalement dans l’intérêt des autres sans aucune pensée d’égoïsme. Alors, on raconta qu’après avoir pris son repas, lorsqu’il se joignit à la réunion d’étude de Fa, il se sentait tout léger sur son vélo comme si quelqu’un le poussait par derrière. En étudiant la Loi (fa) avec les jambes croisées, il sentit ses jambes toute souples, et il sentait son corps comme prêt à léviter. Une autre pratiquante, sur le même point de pratique avait aidé son mari, qui faisait la cuisine sans se presser, à faire cuire le poisson vivant, afin d’aller plus vite à la cession d’étude de Fa. Par la suite, elle n’arrivait pas à croiser ses jambes sur le point de pratique, et avait très mal. Le résultat était différent à cause de pensées différentes.

La puissance de la miséricorde est immense. J’ai soudain senti se dénouer les nœuds de mon corps, c’est-à-dire les conflits de ma famille qui m’avaient tourmentée pensant des années. C’était moi qui n’avais pas bien fait. Je n’avais pas traité mon mari avec bonté tout ce temps, sans même parler de miséricorde. […] Plus tard, rentrant chez moi, je découvris que mon mari n’était plus le même qu’auparavant, et la barrière entre nous sembla être tombée.

Tandis que progresse la rectification de la Loi, le standard pour nous est plus élevé. Chaque pas que nous faisons devrait être droit, parce qu’il s’agit de sauver les êtres. Lorsque nous agissons droitement, les anciennes forces[les vies de niveau élevé dans l’univers qui ne se conforment plus à Vérité Compassion Patience] n’ont plus d’excuses. En fait tous les êtres attendent d’être sauvés.
Telle est ma compréhension personnelle, elle peut être incorrecte. Veuillez corriger avec compassion tout ce qui vous paraît erroné.


Traduit de l’anglais
http://www.clearharmony.net/articles/200301/9661.html

Translated from:
http://www.yuanmingeurope.net/articles/200301/16148.html

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