Réflexions préliminaires à une nouvelle science

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Fréquence

On sait déjà que les objets macroscopiques que nous voyons normalement ne sont pas directement composés d’atomes ou de molécules. Ils sont composés de groupements de molécules où de groupements d’atomes. De tels groupements détermineront les propriétés de la matière macroscopique, telle que le métal, les alliages, l’eau, l’air et le bois. Il m’est venu à l’esprit que ce que de tels groupements de particules démontrent est déjà proche de ce que Maître Li enseigne que les arrangements de différentes particules conduiront à une matière de surface différente. Prenons l’eau comme exemple. Nous avons tous que l’eau est chimiquement neutre. Mais une étude faite par Thelma MacAdam a découvert que c’est en fait le meilleur solvant que nous connaissons. Elle peut hydrater d’autres matières. Autrement dit, les molécules d’eau tendent toujours à agglomérer d’autres molécules qui les entourent pour permettre soit l’agrégation soit l’oligomère. Un autre exemple est l’acier. À la différence radicale de ce que nous avons appris dans les manuels de chimie, l’acier n’est pas en fait une substance pure et est composé de groupements consistant en atomes de fer et en atomes de carbone. Exception faite de l’ancien pôle de fer découvert à Dehli, en Inde, qui est plus pur que ce que nous pouvons actuellement manufacturer.[3]

Selon mon opinion, puisque les ondes sont les manifestations de particules dans d’autres dimensions, alors le son est le rassemblement de particules du son, la couleur le rassemblement de particules de lumière, tandis que les caractères sont le rassemblement de particules des caractères. Par conséquent, un son plaisant est composé de particules du son belles et régulières, de belles images sont composées de particules de lumières attrayantes et élégantes, tandis que des articles touchants sont composés de merveilleux groupes de caractères. Si nous étions capable de voir bel et bien d’autres dimensions, nous pourrions même découvrir que ces choses sont en fait composées de cellules d’êtres individuels.

Dans notre cosmos, cette vibration de particules est la source de tous les mouvements que nous appréhendons, et c’est la seule manifestation d’énergie que nous sommes capables de reconnaître.

La résonance entre particules est la base de toute communication d’information. Autrement dit, c’est la seule manifestation de formes de vie dans notre monde matériel. Chaque groupement avec différente taille et structure a une fréquence différente en termes de vibration et de résonance. Toutes les formes d’énergie connues (telles que les ondes électro-magnétiques) sont transférées sur la base de la résonance de ces groupes de différentes tailles. C'est-à-dire, différents groupes utilisent des ondes électro-magnétiques de différentes bandes passantes pour communiquer. Les expressions chinoises telles que « Lorsque les gens ont un seul cœur, ils peuvent faire bouger le Mont Tai » et « Utiliser la douceur pour soumettre la dureté » sont des illustrations du phénomène de résonance.

Wolfgang Ludwig, un physicien et conseiller à la World Research Foundation, a dit que, le processus du traitement industriel de l’eau laissera un message dans l’eau, et que l’eau peut transmettre de tels messages à d’autres systèmes. Bien que l’eau puisse être pasteurisée par des produits chimiques, la résonance électro-magnétique sur une certaine bande passante causée par la pollution ne peut pas être enlevée – une telle fréquence vibratoire reflète précisément le polluant. Par conséquent, même après purification, l’eau polluée contient encore des messages qui sont mauvais pour la santé. Oui, l’eau a une mémoire. Les scientifiques ont déjà prouvé cela. La recherche de Johann Grander a montré que, si les métaux lourds ou les nitrates avaient pollué l’eau, les messages vibratoires seraient retenus même après un complet traitement chimique de purification par filtrage. Jacques Benveniste (un professeur à l’Institut national pour la Santé et la Recherche médicale à l’Université de Paris) a conduit plusieurs expériences qui prouvaient que l’eau a une mémoire. Lynn Trainer, un professeur de physique théorique à l’Université de Toronto, a répété les expériences du Dr Benveniste et établi que les résultats des expériences montraient que l’eau est capable de retenir la mémoire « physique ». La recherche de Johann Grander a été conduite sur la base de trois principes : 1) L’eau est une sorte de porteur de messages ; 2) l’eau a une mémoire ; 3) le message négatif dans l’eau peut-être effacé ; [4] Jusque là, la recherche la plus directe et la plus impressionnante sur la sensibilité et la mémoire de l’eau sont les expériences de cristallisation de l’eau conduites par Masaru Emoto, Président de l’IHM General Research Institute au Japon.

Il y a une anecdote intéressante liée à la recherche sur la résonance. Nikola Tesla (1856-1943) était un ingénieur électronique et un physicien. Il a découvert le mécanisme du courant alternatif (AC) en 1818. Nombre de ses résultats de recherche sont restés non publiés pendant des années. Parmi lesquels se trouvaient de nombreuses percées. Nikola Tesla a été un jour fasciné par le phénomène de résonance, et il a réussi à créer une unité de résonance qui pouvait générer un tremblement de terre causé par l’homme. Un soir, il est sorti se promener dans Manhattan après dîner. Il a fixé l’unité de fréquence de résonance de la taille d’une horloge à la structure d’acier d’un grand bâtiment qui était encore en construction. Puis il a ajusté la fréquence de résonance à une certaine valeur. En l’espace de quelques minutes, tout le bâtiment a commencé à tanguer et même le sol sous le bâtiment a commencé à trembler. La police n’a pas tardé à arriver. Bien sûr Nikola Tesla a enlevé l’unité de résonance avant qu’elle ne cause des dommages. [5]

Se basant sur la recherche rafraîchissante de Nikola Tesla, Robert Monroe, le fondateur du Monroe Institut à Faber, Virginie, a commencé à examiner la faisabilité d'appliquer une telle recherche au schéma du sommeil en 1958. Les résultats obtenus ont été tout à fait étonnants. En testant les effets de la fréquence du son sur le cerveau, Monroe a réussi à isoler une sensibilité jusque là inconnue du corps physique. L’équipe de recherche l’a appelé l’Expérience de sortie du corps physique. Depuis ce temps, ce terme a été largement utilisé pour décrire certains états mystérieux de l’esprit. Le mécanisme de son qu’il a utilisé était une modulation de fréquence de battement binaurale, bien connue parmi les ingénieurs électroniques comme étant le mécanisme clé du ratio moderne des technologies. La seule différence était que, Monroe a appliqué ce concept sur le domaine bio-physique et non électronique.


La résonance entre les particules a également causé le soi-disant phénomène holographique

Un évènement important est survenu en 1982. Cette année là, l’équipe de recherche menée par le physicien Alain Aspect à l’Université de Paris a effectué ce que je pense être l’expérience la plus importante du 20ème siècle. Peu connue du public, sa découverte a le potentiel pour changer complètement la science. Aspect et son équipe ont découvert que sous un certain environnement, les particules subatomiques telles que les électrons pouvaient communiquer en synchronie mutuelle peu importe la distance qui les sépare l’une de l’autre, une dizaine de mètres ou un million de kilomètres. De plus, chaque particule semble toujours savoir ce que l’autre particule est en train de faire.

Cette découverte pose un sérieux défi au principe le plus élémentaire de la Théorie de la Relativité d’Eisntein que la vitesse de la lumière ne peut pas être dépassée. Si la vitesse de la lumière ne peut pas être surpassée, la barrière du temps est alors brisée. Cela semble trop effrayant pour être vrai. Quelques physiciens ont essayé d’expliquer les résultats avec les théories conventionnelles et empêcher Aspect de tirer aucune explication radicale. Mais David Bohm, un physicien de l’Université de Londres, croit que la découverte signifie que la réalité objective n’existe pas. Aussi réel que paraisse notre univers, il n’est virtuellement rien d’autre qu’une illusion et un hologramme immensément grand et complet.


A travers quasiment toute son histoire la science occidentale s’est développée sur la base d’une croyance erronée que la meilleure méthode pour étudier n’importe quel phénomène physique, que ce soit le brouillard ou un atome, c’est de le diviser en deux morceaux et d’étudier ces fragments un à un. Mais le phénomène holographique nous a montré que beaucoup de choses dans l’univers ne pouvaient pas être étudiées ainsi. Si nous coupons en deux morceaux une entité holographique, ce que nous obtenons est un groupe d’entités plus petites mais pas deux parties séparées de la même entité. Cette idée a inspiré Bohm à comprendre la découverte d’Aspect d’une façon différente. Bohm croyait qu’au lieu d’envoyer et recevoir de mystérieux signaux entre l’un et l’autre, la véritable raison pour laquelle la particule subatomique pouvait communiquer avec d’autres en dépit de la distance entre elles est que leur séparation apparente est une fausse illusion. Il croit que dans le monde physique à des niveaux plus profonds, ces particules ne sont pas séparées mais font toujours partie d’une même entité. Tandis qu’à la surface il semble que les particules sont capables de communiquer mutuellement à une vitesse plus rapide que celle de la lumière, Bohm croit que les différentes particules subatomiques sont en fait différentes parties d’une seule entité ou d’entités dans des espaces temps plus profonds. Selon lui, les particules ne sont pas indépendantes mais des composants de différentes façades d’une entité à un niveau plus profond et plus fondamental. Parce que toute chose dans notre monde matériel est fait de telles « illusions », l’univers lui-même est aussi un holographe. Bohm est suffisamment hardi pour suggérer que la réalité que nous voyons couramment est simplement un niveau superficiel d’un film holographique et qu’il existe des niveaux plus profonds de l’univers.

Bohm n’est pas le seul chercheur qui ait découvert la preuve que l’univers est un holographe. Le physicien neural Karl Pribram, un chercheur étudiant le cerveau à l’Université de Stanford, croit aussi que la réalité que nous voyons n’est rien qu’un holographe. Pribram était attiré par le modèle holographique parce qu’il n’arrivait pas à comprendre comment le cerveau engrange l’information. Son étude poussée s’étendant sur plusieurs décennies démontre que la mémoire n’est pas confinée à une certaine partie du cerveau mais éparpillée dans tout le cerveau. Lashley Karl a mené une série d’expériences dans les années 1920 sur la mémoire des souris, qui sont devenues la pierre de touche de son domaine de recherche. Il a découvert que peu importe quelle partie du cerveau il enlevait à une souris, la souris était encore capable de retenir la mémoire de comment achever une certaine tâche compliquée qu’elle avait apprise avant l’opération. Il semblait impossible de trouver un mécanisme raisonnable pour expliquer cette caractéristique de la mémoire que « chaque partie est l’entité en entier ». Dans les années 1960, Pribram a entendu parler d’une nouvelle idée que la réalité n’est rien qu’un holographe et a réalisé que c’était l’explication que les chercheurs sur le cerveau avaient recherché pendant longtemps. Pribram croit que le code de la mémoire n’est pas stocké ni dans des neurons individuels ni dans de petits groupes de neurons individuels. Au lieu de cela, il est manifesté comme un « film » holographique fait de stimulations nerveuses dans tout le cerveau. Autrement dit, Pribram croyait que le cerveau lui-même est un holographe


Il existe un vaste corps de preuves en soutien à la théorie que le cerveau fonctionne sur le principe holographique. La théorie de Pribram a gagné de plus en plus de soutien du cercle des physiciens neuraux. Le chercheur italien né en Argentine Hugo Zucarelli a récemment étendu la théorie holographique pour expliquer la fonction du cerveau. Zucarelli a développé la technologie d’enregistrement du son holographique qui pouvait reproduire des voix et des scènes d’une façon quasiment parfaitement réaliste. Pribram croit que notre cerveau pourrait construire une « réalité tangible » par l’impulsion mathématique d’un taux de fréquence, et j’ai soutenu cette théorie par de nombreuses expériences. Les scientifiques aujourd’hui acceptent que chacune de nos fonctions sensorielles opèrent sur toute une variété de fréquences, et c’était jusqu’à très récemment quelque chose de hautement controversé. Des chercheurs ont aussi découvert que, par exemple, notre système de vision peut appréhender la fréquence audio, notre goût se base jusqu’à un certain point sur la fréquence de l’odeur, et même les cellules dans notre corps peuvent percevoir de nombreuses sortes de fréquences. Ces découvertes montrent que ce n’est qu’après que notre conscience traite cette information à une échelle holistique, que ces fréquences peuvent être associées et classifiées en différentes sensations dont nous faisons l’expérience.

Si le modèle holographique du cerveau de Pribram et la théorie de Bohm sont combinés, le résultat est véritablement étonnant. Si la réalité du monde n’est rien qu’un holographe, tout ici est en fait un holographe de fréquences, et le cerveau lui-même est un holographe de projection. Il reflète simplement certaines fréquences de l’holographe à large fréquence et les convertit en sensations. Alors qu’est-ce que la réalité objective ? A proprement parler , elle n’existe pas.

Selon les théories de Bohm et de Pribram, le monde matériel est un mirage et n’est pas réel. Bien que nous croyions exister matériellement et pouvons bouger dans ce monde matériel, c’est une illusion. Nous ne sommes que les récepteurs d’un kaléidoscope de fréquences. Nous ne sommes rien de plus que des images extraites et reformées à partir de l’hologramme de ce monde matériel. C’est ce qu’on appelle Modèle holographique. Bien que de nombreux scientifiques continuent à le mettre en question, il a attiré l’attention de plus en plus de chercheurs. Ils croient que ce pourrait être le modèle le plus juste de la réalité. De plus, certains chercheurs pensent que ce modèle peut expliquer quantité de phénomènes mystérieux que la science n’a pas été capable d’expliquer pendant longtemps. Beaucoup de chercheurs, dont Bohm et Pribram, réalisent que quantité de phénomènes parapsychologiques deviennent aisément compréhensibles selon le modèle holographique. Pribram a également indiqué que dans l’univers holographique, toutes choses qui apparaissent par hasard sont censées arriver, et les choses fortuites sont soudainement porteuses d’une signification spéciale. En fait, tout dans le monde de la réalité devient symbolique, et même la chose la plus inattendue se produit parce qu’il y a certaines raisons associées derrière elle.

La section “Le pouvoir de vision à distance” dans Zhuan Falun, nous apprend que " Dans un espace bien défini, notre corps a un champ, ce champ n’est pas le même que celui du De, il ne se trouve pas dans le même espace mais sa dimension est identique. Ce champ est en correspondance avec l’univers, ce qui existe là-bas dans l’univers peut se refléter dans ce champ, tout peut s'y refléter. Ce sont des images reflétées, elles n’ont pas de réalité. .. Pourtant ces reflets ont aussi une sorte d’existence matérielle et comme il y a une relation de correspondance, ils changent en fonction de ce qui change là-bas. Donc, ce que certains appellent pouvoir de vision à distance, c’est la capacité de voir ce qui est à l’intérieur de son propre champ spatial. »

Nous savons aussi que par la précognition et la rétro cognition, on ne peut voir que les images de son propre champ spatial. Puisque les observations obtenues par les pouvoirs supra normaux ne sont pas la vérité, mais seulement une image, ce que nous voyons avec nos yeux nus et les mesures faites par les instruments ne sont pas non plus du tout la réalité. Lorsqu’ils sont manifestés par nos sens et nos mesures, ils deviennent la résonance de particules, ce qui signifie qu’il n’y pas réellement quelque chose comme les concepts de grand ou de petit, ou de près ou de loin dans la distance. La distance peut devenir sans aucune signification en un instant. A cause de cela, le concept de gros ou petit est aussi à présent sur une sol peu sûr.

(à suivre)

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