Autriche - L’Association Internationale des Droits de l’Homme l’étreinte de fer de la Chine sur Hong Kong

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International Association for Human Rights
International Society for Human Rights
Société Internationale pour les Droits de l’Homme
Sociedad International para Derechos Humanos

Le IGFM a un statut consultatif au Parlement Européen

Depuis 1999, le paisible mouvement de méditation du Falun Gong a été brutalement persécuté et réprimé dans la République Populaire de la Chine. En ce moment, la Chine veut même exercer et étendre son influence à Hong Kong, ceci de deux façons : sous l’influence de la Chine, Hong Kong planifie approuver une loi, soi-disant d’anti-subversion appelée « Article 23 », ce qui en fait, imposerait un système totalitaire à des gens engagés dans la liberté et la démocratie. L’autre chose à considérer est l’indifférence complète pour le « Un pays, deux systèmes » une politique à laquelle la Chine avait consenti lorsque Hong Kong est retourné à la Chine continentale. Il s’ensuit que de telles décisions constitueraient la répression totale du Falun Gong à Hong Kong, même si de nombreuses nations démocratiques dans le monde sont sommairement opposés à une telle action. La Chine, cependant, invoque son pouvoir financier et passe sous silence ses échecs de droits humains.

C’était Jiang Zemin qui durant l’été de 1999 a banni la pratique de qigong la plus populaire alors en Chine, le Falun Gong, parce qu’il craignait des infractions à son pouvoir. Au début de la persécution, l’État chinois avait évalué le nombre de partisans à 90 millions. Avant ceci il y a eu des incidents occasionnels ou les autorités ont été motivées par la haine pour agir illégalement, contre le mouvement du Falun Gong. Sans aucune sorte de contrainte et suivant le pire des exemples et des traditions communistes, le chef de l’État Chinois a fait démarré la machine de propagande et établi une force spéciale policière, le « Bureau 610 » pour rassembler les pratiquants du Falun Gong et les placer dans des camps de travaux forcés et les ré-éduquer à travers les camps de travaux forcés. L’immensité de ces entreprises dépassent grandement tout ce que nos esprits d'occidentaux peuvent imaginer. A ce moment, même les stades publics ont dû servir comme Centre de détentions.

Cette bataille de propagande à grande portée, qui a marqué le Falun Gong comme groupe indésirable, ne trompe pas vraiment les gens dans les pays démocratiques autour du monde. On s’est très tôt aperçu que le régime totalitaire avait pour but de réprimer totalement les droits humains qui s’appliquent à la liberté de croyance, de conscience et d’assemblée. Les pratiquants du Falun Gong ont démontré au monde entier par leur résistance pacifique que personne, en Chine ou dans la communauté mondiale, n’avait de raison de les craindre, mais qu’ils sont simplement des gens, qui agissent selon leur désir de pouvoir pratiquer la profondeur de leur croyances, dictées par leur cœur et pour lesquelles ils ont été et sont réprimés sans merci.

Les méthodes utilisées dans cette persécution en cours ont pris la forme d’incarcération, de destruction des familles – économiquement et spirituellement – destruction des systèmes sociaux, viol, tortures de diverses sortes et même que le meurtre. Les nombres présentement varient, mais le total de tous ceux qui sont morts à cause de la brutalité de la police est de plus de 500 et le nombre d’individus qui sont incarcérés dans les camps de travaux forcés se comptent dans les milliers.

Tout ceci semble aller vers l’exportation à Hong Kong. Avec la mise en œuvre de l’Article 23, une addition à la Loi fondamentale, Tung-Chee-hwa de Hong Kong, choisi minutieusement par Beijing, essaie de rester loyal à la Chine. Il demande la législation qui punira sévèrement la trahison, divisera les groupes et la subversion contre Beijing et Hong Kong. En réalité, ceci signifie transférer les abus catastrophiques des droits humains qui sont la norme dans la Chine continentale, sur le sol de Hong Kong. Il n’y a plus de doute et on craint que la loi d’anti-subversion passera, parce que la plupart des membres du parlement qui ratifieraient la loi ne sont pas élus mais désignés. Plusieurs d’entre eux sont des lobbyistes et des gens d’affaires, loyaux à Beijing. Ceci est une autre raison de craindre pour les droits des journalistes à Hong Kong et des partisans des droits humains.

Il est encore temps d’augmenter la pression nationale, pour faire relâcher l’étreinte de fer de la Chine sur Hong Kong, parce que la seule chose que la Chine, avec ses espoirs de partage du lucratif marché de l’économie mondiale, respecte et craint par-dessus tout c'est la pression et l’éloignement de la communauté internationale.

www.clearharmony.de (Texte original en Allemand)

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/12/22/30047p.html

publié le mercredi 11 décembre


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