Cinquième conférence de partage d'expériences sur Internet pour les pratiquants en Chine "S'élever dans le processus de valider Dafa" (1ère partie)

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A cause de mon fort attachement à me valider moi-même, je n'ai pas réussi à repousser les interférences et n'ai pas écrit d'articles pour la précédente conférence Internet de partage d'expériences. Cette fois je voudrais rendre compte au Maître de mes expériences en valisant la Loi et les partager avec mes compagnons de pratique.


1. Promouvoir Dafa

Avant ma cultivation, je souffrais de toutes sortes de maladies, dont la plus sérieuse était l'anémie. Encore pire, j'ai contracté l'hépatite B lors d'une transfusion sanguine. L'hôpital affilié à mon entreprise avait un lit réservé pour moi et le directeur a dit un jour : "Dorénavant vous serez notre "patron" ici et ce lit est juste fait pour vous". De nombreuses personnes m'enviaient de bénéficier d'un traitement aussi spécial, mais moi, j'enviais leur bonne santé. S'agissant de ma santé, c'était véritablement comme ce que Maître décrit dans Zhuan Falun


    "Dans la société humaine ordinaire, pour des questions de réputation et de profit, pour des rivalités et des conflits interpersonnels, vous n’arrivez pas à bien dormir, vous n’arrivez pas à bien manger, vous mettez votre corps dans un état lamentable".


Les membres de ma famille étaient également victimes de toutes sortes de maladies. Mon épouse avait une tumeur de l'utérus et elle saignait souvent sans arrêt. Le docteur lui a dit qu'elle ne survivrait pas sans une opération. Quant à mes parents, ma mère avait des problèmes de coeur et une arthrite grave et mon père une thrombose cérébrale.


Mi-septembre 1994, j'ai soudainement pensé à la pratique du Qigong pour traiter les maladies de toute la famille. Alors un de mes collègues m'a donné une brochure présentant le Maître et Falun Gong (à ce moment-là 'Zhuan Falun' n'avait pas encore été publié). J'ai passé la nuit à la lire, et j'ai été impressionné par les principes de Falun Dafa. Je n'ai pas pu m'endormir attendant l'aube pour trouver aussitôt un point de pratique.


Le matin suivant j'ai pu trouver un point de pratique. Après environ deux semaines de pratique, mon épouse m'a demandé : "Pourquoi n'as tu pas pris tes médicaments ces quelques derniers jours ?" C'est alors que j'ai réalisé que je n'avais ressenti aucune douleur ces deux dernières semaines. En une si courte période, j'ai fait l'expérience de l'état libre de toute maladie que Maître a mentionné dans Zhuan Falun.


En dehors de mon travail, j'ai passé le reste de mon temps à cultiver et à faire connaître Falun Dafa avant que la persécution ne commence en juillet 1999. À ce moment-là, les coordinateurs locaux étaient choisis parmi ceux qui avaient assisté aux conférences de Maître. Bien que je n'aie pas eu la chance d'assister aux conférences de Maître, mes compagnons de pratique m'ont quand même laissé servir comme assistant coordinateur.


Les immenses changements survenus chez moi ont convaincu ma famille, mes proches et mes collègues du caractère merveilleux de Dafa, et fait que des dizaines d'entre eux ont commencé à cultiver l'un après l'autre. Ma famille ne s'inquiète plus de trouver des traitements médicaux ni de soulager la douleur. J'ai organisé des stages pour montrer les vidéos des conférences de Maître, des conférences de partage d'expériences et des points de pratique dans notre ville et les comtés voisins. En seulement quelques années, le nombre de pratiquants de notre secteur s'est développé de quelques-uns à des dizaines de milliers.

2. Sauvegarder Dafa

Le 24 avril 1999, la police de la ville de Tianjin a arrêté quelques pratiquants locaux. En apprenant la nouvelle, nos coordinateurs locaux se sont réunis et ont étudié le livre 'Points Essentiels pour un avancement diligent', et plus particulièrement l'article "Grande Exposition". Nous en sommes venus à réaliser que c'était un test et une occasion de voir si nous étions de véritables pratiquants et sortirions pour sauvegarder Dafa. Le jour suivant, vingt pratiquants et moi-même sommes allés à Pékin faire appel.


Après notre retour, le département de police local a commencé à nous harceler lors de notre pratique des exercices matinale Ils nous ont également interdit de promouvoir les activités de Dafa. Après avoir parlé à plusieurs reprises avec eux cependant, nous avons pu continuer nos activités de promotion de Dafa et les conférences de partage d'expériences.


3. Valider Dafa en étant confronté à la persécution

Je suis devenu une cible de premier choix après que la persécution ait commencé. Le 19 juillet 1999, le département de police de la ville m'a arrêté en recourant à des méthodes perverses. Au centre de détention, j'ai été interrogé, mais j'ai refusé de coopérer. Ils m'ont soumis à des sessions de lavage de cerveau tous les jours. Comme je m'étais relâché dans l'étude de la Loi (Fa) après l'appel pacifique du "25 avril", j'ai peu à peu accepté les théories déviées et déformées. Environ deux semaines plus tard, j'ai été libéré. Pour la première fois j'ai ressenti la douleur d'avoir fait quelque chose qu'un pratiquant de Dafa n'aurait jamais dû faire.


Le 8 septembre 1999, le département de police a demandé à avoir une conversation avec moi et utilisé cette feinte pour m'arrêter à nouveau . Cette fois j'ai été détenu pendant environ cinq mois, et durant ce temps j'ai développé la gale sur tout le corps et j'ai également souffert de diarrhées fréquentes. Le dernier jour de 1999, j'ai été finalement libéré après avoir promis de ne plus aller à Pékin pour faire appel.


Le 22 mai 2000, Maître a publié "Le coeur naturellement clair" sur le site web Minghui/Clearwisdom. J'ai également vu le rapport concernant Zhou Zhichang, un disciple qui a été persécuté à mort. J'ai pleuré de douleur pendant des heures et réalisé à quel point j'étais loin des exigences de Dafa. Le Maître bienveillant m'a encouragé en diverses occasions et c'est alors que je me suis de nouveau motivé. J'ai organisé plusieurs conférences de partage d'expériences après. La discussion tournait autour de nos responsabilités en tant que disciples de Dafa lorsque Maître et Dafa sont calomniés et diffamés. La plupart des pratiquants ont senti que nous devions sortir pour clarifier les faits et parler en faveur de Dafa. Après les conférences, j'ai décidé d'aller à Pékin faire appel pour Dafa.


Vers 9h du matin, j'ai déroulé une banderole avec "Falun Dafa est bon (Falun Dafa Hao)" sur la Place Tiananmen. Bientôt d'autres banderoles sont apparues sur la Place Tiananmen. Il y avait de nombreux pratiquants validant Dafa ce jour-là et certains, dont moi, ont été arrêtés.


Quand j'ai été emmené au centre de détention local, j'ai réussi à ce que les gardes me permettent de garder des copies des articles du Maître et de Hong Yin. Pendant ma détention, j'ai mémorisé les enseignements du Maître chaque jour. Plus tard, j'ai été condamné à trois ans dans un camp de travaux forcés. J'ai été enfermé seul dans une pièce pendant plus de six mois, durant lesquels j'ai transcrit les enseignements du Maître pour les compagnons de pratique. J'ai également mémorisé la Loi (Fa), ce qui a établi une base solide pour mes pensées droites.


Plus tard, les pratiquants qui sont venus me rendre visite ont réussi à passer secrètement les nouveaux articles de Maître, y compris "Suggestion", "La pensée droite des disciples de Dafa est puissante" et "La grandeur des disciples". Après avoir étudié ces articles, j'ai fini par comprendre qu'être arrêté n'était pas le but et que la prison n'est pas un endroit pour les disciples. Je savais que je devais sortir pour clarifier la vérité. À ce moment-là, j'avais déjà été détenu pendant presque un an et demi. Lors de l'examen médical, j'ai montré des symptômes de maladie, mais le camp de travail a refusé de me libérer. Par conséquent, j'ai commencé une grève de la faim pour protester et cinq jours plus tard j'ai libéré pour raison médicale.


En 2002, quelques pratiquants ont diffusé des programmes TV pour clarifier les faits concernant Dafa dans la ville de Changchun, province de Jilin. A la suite de quoi notre police locale a lancé des arrestations massives de pratiquants et j'ai été forcé de quitter la maison pour éviter davantage de persécution. La police a publié des avis de recherche promettant des dizaines de milliers de yuans à celui qui pourrait me capturer.


À ce moment-là, de nombreux pratiquants étaient effrayés par la persécution et n'osaient pas sortir pour clarifier les faits. Certains sites de production de matériaux ont également été détruits. Plusieurs pratiquants et moi-même avons alors assuré la responsabilité de la production des matériaux. Nous partagions des expériences pendant la journée et fabriquions des matériaux la nuit. Peu à peu, je me suis relâché dans l'étude de la Loi (Fa) et en conséquence plusieurs de mes mauvais attachements ont fait surface. J'étais particulièrement attaché à "moi" et ne pouvais pas accepter la critique des autres pratiquants. J'avais complètement oublié ce que Maître a dit :


    "Etant pratiquant, toutes les amertumes rencontrées au milieu des gens ordinaires sont des passes à franchir ; tous les éloges rencontrés sont des épreuves". ("Les pratiquants sont naturellement dedans" dans Points Essentiels pour un Avancement Diligent)


Mon omission a ensuite conduit à mon arrestation. Après qu'un autre pratiquant ait été arrêté, il a révélé ma situation à la police, qui m'a ensuite appréhendé.


Cette fois la police a mis en place trois rondes, chacune se composant de plusieurs gardes, pour me persécuter. A un moment, je n'ai plus pu endurer lors des sessions de torture, mais soudain j'ai pensé au Maître et le passage suivant de la Loi a émergé dans mon esprit :


    "Toutes les vies dans l'Univers sont en train de se replacer, l'homme n'a pas la qualification de tester cette Loi, ni les divinités, qui y touche est un criminel, elles voient tout cela aussi".("Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi de la région des Grands Lacs en Amérique du Nord", dans Guider le voyage)


J'ai rassemblé toutes mes forces et j'ai crié : "maître !"

Les deux policiers, qui menottaient mes deux mes mains derrière mon dos, ont soudain relâché leur emprise et m'ont laissé tomber par terre. Le temps s'est immédiatement arrêté. Je ne sais pas combien de temps a passé avant qu'un policier ne demande : "Qu'est-ce qu'il a crié ?" L'autre policier a répondu : "On dirait qu'il appelle son Maître". Le premier policier a dit : "Je suis vraiment sous le choc !" Quand ils ont essayé de reprendre leur torture, je me suis soudain évanoui.


Le deuxième jour les deux policiers ont cessé de me torturer. Au lieu de cela, ils ont discuté avec moi de façon amicale et m'ont laissé dormir la nuit. Deux jours plus tard, ils m'ont envoyé au centre de détention après que toutes les tentatives pour m'arracher une confession aient échoué. Au centre de détention, comme j'avais relâché mon attention, ils m'ont assailli de preuves fabriquées et m'ont assené une lourde peine de dix ans. Je savais que c'était l'arrangement des forces anciennes et j'étais déterminé à ne pas le reconnaître. J'ai commencé des grèves de la faim trois fois en guise de protestation. Au début, j'étais détenu dans la section II mais ai soudain été transféré à la section I, qui était à côté de la cellule des femmes, où plusieurs pratiquantes étaient détenues. Ces pratiquantes avaient pu obtenir des copies des enseignements de Maître et elles m'ont donné une copie de Zhuan Falun, ainsi que plusieurs récents articles du Maître. Plus tard, j'ai réalisé que Maître avait arrangé un tel environnement pour que je reçoive ses enseignements et pour que je puisse partager avec les compagnes pratiquantes. J'ai vite compris la raison pour laquelle j'étais toujours en détention.


Maître a dit :

    "Dans un article sur le site Minghui, une élève tout au long de son chemin parlait de la vérité de Dafa, elle criait « Dafa est bon » quel que soit l’endroit où elle était emmenée, quoique les policiers mauvais disent je ne les écoute pas, aussi férocement que vous me frappiez ou m’injuriez, je fais de la même façon. Le camp de rééducation par le travail a eu si peur qu’il l’a renvoyée aussitôt : nous ne voulons pas d’elle. Car ils ont pensé : non seulement je ne pourrai pas la transformer, mais elle influencera un grand nombre de personnes, (le public rit) en plus ils n’auront pas de primes. (Applaudissements). N’ayant aucune solution, où le commissariat pouvait-il la mettre ? N’ayant aucune solution, ils la renvoyèrent chez elle" ("Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi de New York Métropolitain")

J'ai découvert que je voulais utiliser l'excuse de "valider la Loi (Fa) et sauver les êtres vivants" pour couvrir mon attachement à sortir de détention pour éviter les difficultés. Je me suis ajusté et me suis déterminé à laisser le Maître arranger mon chemin. Trois mois plus tard, j'ai été remis en liberté conditionnelle médicale.

4. Fondamentalement nier les arrangements des forces anciennes

Après ma libération, mon entreprise a envoyé 5 ou 6 personnes tous les mois chez moi pour me harceler. J'ai pensé que c'était une occasion parfaite de clarifier la vérité. Par conséquent, mon épouse (elle aussi pratiquante ) et moi-même, ainsi que des pratiquants qui passaient justement nous rendre visite, avons tous saisi la chance de clarifier les faits à ces personnes. Quand ils ont vu le portrait de Maître et les livres de Dafa posés à la vue de tous dans la pièce, ils ont montré du respect et n'ont rien dit de mal.


En 2005 autour de septembre et octobre, une autre arrestation de masse des pratiquants a été lancée dans notre province. De nombreux pratiquants de tous les comtés et toutes les villes ont été arrêtés et leurs maisons ont été fouillées, et parmi eux il y avait plusieurs coordinateurs locaux. On a également dit que des agents secrets avaient filmé une conférence de partage d'expériences et que tous les participants étaient en danger. Dans un secteur, des dizaines de pratiquants qui avaient assisté à une conférence de partage d'expériences ont été emmenés, y compris la personne qui avait prêté le lieu de réunion pour la conférence. Un pratiquant m'a dit : "Il y a deux semaines vous avez participé à une conférence de partage d'expériences au domicile d'une pratiquante. Cette pratiquante a été arrêtée et elle n'a pas résisté à la torture, elle a donc raconté à la police toutes les conférences de partage d'expériences qui se sont tenues chez elle". Les pratiquants locaux m'ont conseillé de sortir de la ville pour éviter d'être arrêté. Bien que je savais que nous ne devrions pas reconnaître de tels arrangements des forces anciennes, j'étais encore ébranlé par ce qui se passait autour de moi et en conséquence je ne pouvais pas me calmer pour étudier la Loi (Fa).


J'ai essayé de passer plus de temps à étudier la Loi (Fa) et à envoyer les pensées droites. Après m'être calmé, j'ai pu voir mes attachements et maintenir des pensées droites plus fortes. Ma maison était surveillée et de nombreux pratiquants étaient accablés de peur. Certains ont fait enlever les ordinateurs et les imprimantes de leurs maisons, pendant que d'autres quittaient temporairement leur domicile. J'ai fini par voir plus clairement le but de la perversité et j'ai proposé de tenir une conférence de partage d'expériences pour tous les coordinateurs.


J'ai partagé avec tout le monde comment je m'étais calmé pour étudier la Loi (Fa), et ce à quoi je m'étais éveillé. J'ai également précisé que le but de la perversité était de détruire le corps uni qui valide la Loi (Fa) et sauve les êtres vivants. La seule solution était de s'améliorer en groupe, d'envoyer les pensées droites pour désintégrer la perversité, dénoncer la perversité sur Internet, et clarifier la vérité aux gens. Si nous pouvions éliminer les éléments pervers dans les autres dimensions, la surveillance constante de ma maison en ce monde prendrait fin naturellement.


Cette nuit-là, lorsque je suis rentré à la maison, mon épouse m'a dit : "C'est vraiment miraculeux. Il y avait encore des voitures de police devant notre immeuble hier, mais aujourd'hui elles sont parties". Juste comme ça, la surveillance de ma maison pendant plus de 20 jours a été désintégrée par les pensées droites du groupe. En fait, la police n'a même pas osé frapper à ma porte.


(A suivre)

Date de l'article original : 20/12/2008

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2008/11/24/190320.html

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