Se conformer au maximum à la société ordinaire durant la période de cultivation de la rectification par la Loi

Partagé à la Conférence de Partage d'Expérience de Falun Dafa de New York 2008
 
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Bonjour Maître
Bonjour à tous mes compagnons de pratique,

Avant que je ne commence à pratiquer le Falun Gong, j'étais déjà établi dans la société et j'avais eu diverses expériences. J'avais étudié et travaillé en dehors des Etats-Unis et j'avais également vécu dans différents états des Etats-Unis. J'ai tenu des postes dans l'éducation, le gouvernement fédéral, une grande banque, une compagnie de vente en gros et détail, ainsi qu'une société d'édition. Je me suis spécialisé dans le domaine du réseau informatique et j'ai monté ma propre petite affaire de consultant en 1995, ce qui m'a permis de mener une vie décente et d'avoir toujours du temps libre. J'ai acheté une maison dans ma ville préférée. Il y avait une chose que je n'arrivais pas accomplir, c'était mon souhait de former une relation en vue de me marier et de fonder une famille. C'était toujours inaccessible pour moi.

Peu après que j'ai commencé à pratiquer au début de l'année 1999, j'ai traversé une brève période où j'ai pensé que j'allais complètement abandonner ma vie ordinaire et ne rien faire d'autre que cultiver, mais tout en continuant d'étudier, j'ai rapidement réalisé que ce n'était pas notre voie de cultivation. Nous cultivons précisément dans la société ordinaire.

Dans mon entreprise, j'ai continué à fournir un service de bonne qualité à mes clients, mais j'ai réalisé que je ne voulais pas continuer à faire ce genre de travail d'informatique pour toujours.

Tout ce temps-là, j'ai voyagé fréquemment pour clarifier la vérité à travers les Etats-Unis et dans des endroits comme Genève, l'Islande, la Thaïlande et l'Afrique du Sud. Mes amis et ma famille pouvaient voir que Dafa avait fait de bonnes choses au niveau de ma santé et de mon humeur, mais probablement avaient-ils des doutes sur la façon dont je menais mes finances et ma carrière. Ils ne le disaient pas directement, mais on considère comme anormal pour un homme d'âge mûr de ne pas épargner d'argent durant plusieurs années tout en voyageant et en faisant du bénévolat.

J'ai commencé à travailler pour Epoch Times(La Grande Epoque) à temps partiel début 2004, et en août 2004 au moment même où nous avions la première sortie du journal en langue anglaise, le projet de clarifier la vérité à New York a commencé . Aussi, j'ai fait en sorte de trouver des gens pour louer ma maison à Minneapolis et j'ai déménagé à New York afin de passer sept jours sur sept à travailler sur Epoch Times.

J'ai découvert, le temps passant, que les conditions n'étaient pas réunies pour que Epoch Times devienne rapidement une affaire qui marche, et peu à peu, je suis devenu frustré devant les progrès trop lents. Un pratiquant m'a même dit que j'étais "amer".

Aussi, Maître a parlé du besoin de davantage de pratiquants dans "Enseignement de la Loi à la Conférence Internationale de Loi à New York 2004":

"Mais pour que ces médias atteignent un bon effet, il faut résoudre le défi des ressources humaines et matérielles, c'est-à-dire qu'il faut augmenter la main-d'œuvre. Sous cet angle, le nombre d'élèves occidentaux impliqués actuellement n'est en vérité pas suffisant."

J'étais alors certain, et je le suis toujours, que Epoch Times est le meilleur moyen que les pratiquants possèdent aujourd'hui pour clarifier la vérité largement à un grand public au sein de la société anglophone. "Pourquoi davantage de pratiquants ne mettent-il pas leurs efforts dans cette entreprise qui possède un si brillant avenir?" Je me le suis demandé de nombreuses fois, encore une fois de frustration.

Même quand je me demandais pourquoi davantage de pratiquants ne s'impliquaient pas plus dans Epoch Times , j'étais conscient que certains éléments de mes pensées n'étaient pas droits. Je voulais que ce média réussisse et remplisse sa mission dans la rectification par la Loi. Je travaillais dur, mais aussi je regardais à l'extérieur. J'étais aussi conscient que moi particulièrement, ayant une position de responsable dans Epoch Times, j'avais pu être un facteur bloquant ou ralentissant les pratiquants et les empêchant ainsi de contribuer davantage au journal.

Durant ce temps, alors que j'étais impliqué à 100% dans Epoch Times – sans le temps de me faire des amis à New York, sans le temps d'explorer la culture dynamique de New York, sans le temps de faire ne serait-ce qu'un cent – quelque chose de tout à fait inattendu s'est produit. Au cours de ma pratique, j'ai peu à peu développé la pensée que cela devait être mon chemin d'être célibataire dans cette vie, que tout mon temps devait être consacrer à faire Les Trois Choses que les disciples de Dafa devraient faire durant la rectification par la Loi, spécialement clarifier la vérité.

J'ai rencontré une dame pratiquante à peu près au même moment où mes idées à propos du mariage changeaient. Assez rapidement, la dame pratiquante et moi avons décidé de nous marier. Beaucoup de membres de ma famille et mes vieux amis l'ont rencontrée et ont accueilli avec joie la nouvelle de notre mariage. Cela pouvait paraître arriver de façon soudaine, mais nous étions tous les deux dans la quarantaine, sans enfants, et ils savaient que je ne prenais pas de décisions hâtives. Ils pouvaient voir également que c'était une bonne personne, aussi tout le monde était content pour moi. Bien sûr, ils savaient que nous étions tous les deux des pratiquants de Falun Gong. Parmi les bénéfices qu'il y avait à se marier, il y avait l' amélioration positive de l'image du Falun Gong au sein de ma famille et de mes amis. De leur point de vue, ils pouvaient voir que je faisais partie de la société normale – pas moins – suite à la pratique du Falun Gong.

Dans les décisions importantes dans ma vie, je sais que les non pratiquants regardent tout ce que nous, les pratiquants, faisons, et ils forment un jugement sur Dafa d'après nos mots et nos actions.

Nous nous sommes mariés en 2006, et j'ai maintenant une femme et un enfant. Après quelques hésitations, nous avons décidé que ma femme et mon fils déménageraient de Californie pour New York. Nous avons aussi décidé que je devrais chercher un travail ordinaire pour subvenir aux besoins de la famille, aussi j'ai commencé à chercher du travail dans mon ancien domaine, à savoir l'informatique.

J'ai pris le temps d'investir encore dans ce domaine en étudiant et en passant des examens. Après quelques entretiens qui semblaient prometteurs mais qui finalement n'aboutissaient pas à une offre d'emploi, ma femme a partagé quelque chose avec moi qu'elle tenait d'une autre pratiquante. Lorsque nous sommes en entretien d'embauche, nous devons absolument clarifier la vérité. Que nous obtenions le travail ou pas, c'est peut-être la seule chance pour l'examinateur de rencontrer un pratiquant, aussi nous devons trouver une façon appropriée de leur dire les faits — tout le monde attend cela.

Aussi, une bonne occasion s'est présentée, dans une société située tout près du bureau de Epoch Times. J'ai eu trois entretiens là-bas, et à chaque fois j'y suis allé avec des exemplaires du journal. Je leur ai dit que j'avais dû déménager de New York afin de les aider à démarrer ce journal, mais que cela ne rapportait pas suffisamment pour subvenir aux besoins de ma famille, aussi je recherchais à nouveau à travailler dans mon domaine de compétences. Ce que j'ai dit sur le journal et à propos du Falun Gong a été reçu positivement, et on m'a proposé le travail en avril 2007. J'ai commencé alors pour la première fois à gagner ma vie après deux ans et demi à New York.

Au début, j'organisais mon temps avec attention à mon travail, car j'étais un consultant et je devais fournir de bonnes prestations à mes clients. Mais, peu à peu, comme le travail avançait et qu'on ne me donnait pas beaucoup de responsabilités, je me suis un peu trop détendu. Tout le long, j'ai eu l'opportunité de clarifier un peu la vérité à certains de mes collègues, et même un jour au déjeuner, j'ai emmené quatre d'entre eux voir l'exposition d'art "Vérité-Compassion-Tolérance" organisée par les pratiquants. Mais j'ai eu le sentiment que je ne faisais pas assez bien en ayant cette opportunité de clarifier la vérité à ces quelques centaines d'êtres qui avaient maintenant une relation avec moi, un pratiquant.

Je comprends que notre travail est un lieu de cultivation. Ces gens au sein de cette entreprise, ainsi que d'autres personnes que je rencontrais dans le courant des affaires, comptent sur moi pour leur dire ce qu'ils ont attendu de savoir depuis des milliers d'années.

De façon inattendue et soudaine, mon patron a été renvoyé en septembre. Un nouveau directeur a été mis en place. Je lui ai montré plusieurs fois le premier et le second exercice durant le déjeuner, mais nous n'avons pas continué par la suite. Ma femme et moi l'avons emmené, lui et son épouse, voir Holiday Wonders, mais mes envois d'email, les affiches que j'avais posées, ainsi que les autres efforts déployés pour persuader les autres personnes de l'entreprise de venir voir le spectacle, n'ont pas abouti. Manifestement, mes pensées et mes actions droites n'étaient pas assez puissantes.

En janvier, alors que le Chinese New Year Splendor approchait, on m'a reproché d'avoir envoyé un email à chaque personne de la société afin de les inviter à aller voir le spectacle. Lorsque ma femme a essayé de donner des billets gratuits au président de la société, le patron de mon patron l'a appelée et lui a dit des mots durs. Il semblait que quelque chose bloquait nos efforts pour sauver les êtres à cet endroit.

Un autre signe négatif a été que j'ai dû déménager d'un bureau spacieux avec une fenêtre et une porte à un box situé dans un endroit de passage et bruyant à l'étage.

En février, mon patron a eu une discussion avec moi à propos de la pression à laquelle il faisait face concernant toutes les choses qui devaient être faites. J'ai commencé à en faire davantage, et par la suite, j'ai pensé que les choses allaient bien. Mais un vendredi au début du mois de mars, j'ai été invité à une réunion avec mon patron et son supérieur. Je ne savais pas de quoi il s'agissait, mais il m'est très vite apparu évident qu'ils étaient là pour critiquer mes compétences au travail. Tous les deux étaient en colère et ne m'ont pas laissé parler. Ils ont dit que je devais terminer certains projets dans un temps déterminé. Le supérieur de mon patron a dit: "Je vais consigner cette conversation", ce qui veut dire en langage codé: "Ceci est le commencement d'une procédure pour vous renvoyer."

J'étais abasourdi. J'ai toujours pensé que j'étais une bonne personne et que je faisais ce qu'on me demandait à ce travail.

Des pratiquants m'ont aidé à mieux comprendre la situation. Une pratiquante a partagé ce qu'elle a appris, après avoir été confrontée à une discussion sur ses performances au travail avec son patron, à savoir qu'elle devait vraiment mettre tout son cœur dans son travail ordinaire, et que non seulement cela était être responsable vis-à-vis de la société ordinaire, mais que cela l'aidait à mieux accomplir son travail pour Epoch Times. Travailler dur d'un côté signifie qu'on peut aussi travailler dur de l'autre, il y a un effet de répercussion. Nous ne devons pas économiser notre énergie dans notre travail ordinaire dans le but de travailler dur dans notre travail de clarification des faits.

Ma femme et moi avons beaucoup partagé à ce sujet. Elle m'a aidé à comprendre que peut-être, je ne mettais pas tout mon cœur dans mon travail et que mon patron avait vraiment besoin de moi et que je ne le soutenais pas réellement, de l'intérieur, avec mon cœur. Je peux maintenant voir clairement que je ne mettais pas les autres en premier dans cette situation. Parfois, nous traversons une petite crise afin de nous souvenir des points essentiels de la cultivation. Tout en étant dans ce travail, j'avais souvent une pensée comme: "Ok, je consacre mon temps ici pour avoir une paie à la fin du mois, mais je ne peux pas attendre de sortir d'ici pour faire les choses vraiment importantes, comme mon travail pour Epoch Times." Ma femme m'a fait remarquer que je disais aux gens que j'avais un travail dans l'informatique pour gagner ma vie et que mon "véritable travail" était celui de Epoch Times. Inconsciemment, je disais à tout le monde que mon travail de tous les jours n'était pas un "vrai travail", et apparemment, je montrais également cette image au bureau.

J'étais quelque peu secoué, mais j'ai pris des décisions: Je devrais travailler très dur — quitte à faire des heures supplémentaires — pour faire tout ce que je pouvais afin de soutenir mon patron durant ces mois de pressions intenses. Je devrais garder à l'esprit que les gens pouvaient dire que j'étais mauvais, mais que je pouvais ne pas l'être réellement; que les gens pouvaient dire que j'étais bon, et que je pouvais ne pas l'être réellement. J'enverrais de fortes pensées droites tout en travaillant. Le plus important, je ne regarderais pas extérieurement ou tenterais d'argumenter avec eux sur ce qu'ils ont dit ou fait auparavant. Je regarderais juste à l'intérieur, j'essayerais de corriger mes erreurs, et je ferais mieux désormais.

Le lundi suivant, mon patron m'a donné une liste détaillée de projets à faire, et ils devaient tous être terminés en quatre semaines. J'ai écouté car il avait encore d'autres mots durs envers moi, mais après avoir parcouru la liste, j'ai tranquillement dit: "Bon, je ferais mieux de me mettre au travail." Egalement, cette semaine, mon patron m'a donné une fiche d'évaluation de mes compétences en 2007. C'était fortement négatif. Après avoir jeté un coup d'œil, je l'ai remise sur son bureau sans dire un mot. Il a dit plus d'une fois: "Vous devez signer cela aujourd'hui". Aussi, j'ai pris le papier avec moi.

J'ai déjeuné rapidement ce jour-là avec un pratiquant qui travaille dans le même domaine que moi. Il a généreusement proposé de m'aider à résoudre comment venir à bout des gros projets que j'avais en un temps si court. Après le déjeuner, j'ai écrit ma réponse concernant l'évaluation négative. Je l'ai envoyé par mail à ce pratiquant, et il a dit: "Cela a l'air bien, pourquoi ne rajoutes-tu pas quelque chose à propos de Zhen-Shan-Ren, ce qui aura assurément un bon effet." Aussi, j'ai rajouté ce paragraphe à la fin de mon explication:

"En tant que personne s'efforçant de suivre chaque jour les principes de Zhen-Shan-Ren ("Vérité-Compassion-Tolérance" en chinois), je m'efforce également de travailler dur et de faire un meilleur travail ou de dépasser les attentes de mon patron. Je le ferais ici avec une détermination renouvelée."

Lorsque mon patron a lu la réponse, il a dit: "J'accepte ceci dans l'esprit où c'est offert", et qu'il était heureux que je ne discute pas l'évaluation. Il a dit qu'il était impressionné par la façon dont je traitais les choses.

Comme j'ai travaillé diligemment les quelques semaines suivantes, essayant de regarder à l'intérieur et d'envoyer les pensées droites tout en soutenant mon patron de toutes les façons possibles, les choses se sont rapidement améliorées. Avant la fin des quatre semaines, il m'a fait comprendre qu'il était content de mon travail, que je semblais maintenant impliqué et non plus détaché, et que nous pouvions mettre derrière nous la question de mon évaluation au travail. Il a dit aussi qu'il s'était trompé sur certaines choses qu'il pensait de moi auparavant, et que nous devrions nous asseoir de temps à autre et parler plus en profondeur. Maintenant, je sais ce que je dois faire lorsque nous nous asseyons, et je serais prêt à lui parler plus profondément du Falun Gong.

Bien que j'ai accompli certaines choses durant cette période de quatre semaines, je n'ai pas terminé ces projets, ce qui montre encore plus qu'il ne s'agissait pas du contenu du travail, mais bien de la question du cœur--mon cœur. A un niveau plus profond, je connais maintenant la véritable raison pour laquelle mon patron et son supérieur étaient si en colère et irrationnel envers moi. Ils attendent après moi pour leur clarifier la vérité, et ils étaient en colère parce que je ne le faisais pas. Aussi, bien qu'ils soient à présent contents en surface de mon travail, ils attendent toujours de moi que je fasse le véritable travail pour lequel j'ai été envoyé ici.

Durant le processus, j'ai réalisé très clairement que, bien sûr il n'aurait pas été bon de perdre ce travail du point de vue de la perte du salaire, mais que cela n'était pas l'impact le plus proéminent lié à la perte potentielle du travail. Le réel impact réside plutôt dans une grande perte d'opportunité de clarifier la vérité. J'aurais pu expliquer la perte de mon travail à ma famille, mes amis et aux futurs employeurs en disant comment l'homme qui m'avait renvoyé avait été renvoyé par son nouveau patron, et qu'ainsi ce nouveau patron ne pouvait pas me garder — ils l'auraient probablement accepté. Mais la perte que je n'aurais jamais rattrapée était celle de perdre la chance de clarifier la vérité à mon patron et à son supérieur et à tous dans cette société. Si tout le monde pensait que moi, un pratiquant de Falun Gong, je n'étais pas un bon élément, ils n'auraient jamais écouté ce que je disais pour leur clarifier la vérité, et peut-être qu'ils n'auraient jamais eu la chance de rencontrer de nouveau un pratiquant, et qu'ils auraient tragiquement et de façon permanente perdu la chance d'entendre la vérité qu'ils attendaient depuis longtemps. Les êtres auraient été perdus. Ceci a été ma plus profonde et plus urgente motivation pour accélérer mes efforts dans mon travail quotidien, lequel est devenu à nouveau un "véritable travail".

C'est un point essentiel de la cultivation que nous avons entendu de nombreuses fois: être une bonne personne dans tout ce que vous faîtes, où que vous soyez dans la société. Si je ne suis pas une bonne personne dans mon travail, j'échoue fondamentalement à être responsable envers la société et j'échouerai également à pouvoir clarifier la vérité. Ce fut une leçon que j'ai apprise de manière très nette, et une leçon à laquelle je continue de prêter attention. Je suis reconnaissant d'avoir reçu ce rappel.

J'apprends beaucoup de leçons à ce travail, des leçons que je ramène à Epoch Times. Bien sûr, j'observe comment les directeurs gèrent les choses ici, les mauvaises et les bonnes choses qu'ils font, ce qui m'aidera à devenir un meilleur responsable au journal. Mais les choses les plus importantes que j'ai apprises sont des leçons fondamentales sur la cultivation que je ne devrais jamais oublier: Regarder à l'intérieur, non à l'extérieur; prendre en considération les autres d'abord dans toute chose que je fais; être bienveillant envers les gens autour de moi.

Vous souvenez-vous de ce que Maître a dit dans la conférence d'Australie 2007 au sujet des pratiquants qui ont des entreprises et qui emploient d'autres pratiquants pour faire le travail? Parfois dans ces situations, lorsque le travail doit être fait, les employés disent au patron: "Je ne suis pas là pour travailler, je suis ici pour cultiver."

En ce qui me concerne, durant mes moments difficiles passés à Epoch Times, je dois admettre que j'ai agi comme si j'avais différentes pensées parfois, ce qui est mauvais: "Je suis ici pour travailler, je ne suis pas ici pour cultiver." Maintenant, je vois les choses tout autrement et j'agirai donc différemment.

Equilibrer toute chose est difficile. Il est difficile de bien faire avec la famille, le travail et les activités de clarification des faits. Suite à ces expériences des dernières années, je comprends plus nettement maintenant que je dois travailler dur dans toute chose que je fais, et cependant ne pas oublier de me cultiver, ne pas oublier d'incarner les principes de la Loi à chaque instant. D'innombrables êtres comptent sur nous.

Merci, Maître, pour toutes ces opportunités offertes pour mieux faire ce que les disciples de Dafa doivent faire!

Version chinoise disponible à:
http://minghui.org/mh/articles/2008/5/28/179271.html

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