Cause humanitaire et beauté chinoise

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«Fort intéressant de connaître ce type de culture. On sent un volet spirituel qui se dégage de l’ensemble», commentait David Levine, président-directeur général de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. ( Samira Bouaou/La Grande Époque )

«La Chine est une culture millénaire qui possède une immense histoire marquée de toutes sortes de beautés et d’horreurs», décrivait Pierre Curzi, député péquiste de Borduas, à la Célébration du Nouvel An chinois 2008 dont la première montréalaise a eu lieu le 15 janvier à la Place des Arts. L’événement culturel offrait aux spectateurs différents aspects, passant de la cause humanitaire aux valeurs traditionnelles du pays de la Grande Muraille.

La compagnie Divine Performing Arts et la chaîne de télévision chinoise New Tang Dynasty ont mis en scène un spectacle désirant faire «renaître la culture traditionnelle chinoise». Comme le mentionnait, à la réception, avant le spectacle, Xun Li, président de l’Association du Falun Dafa du Canada, le Parti communiste chinois (PCC) a «malheureusement détruit les précieuses croyances et traditions chinoises [à travers l’histoire].»

«Fort intéressant de connaître ce type de culture. On sent un volet spirituel qui se dégage de l’ensemble», commentait David Levine, président-directeur général de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal.

Le spectacle alternait tableaux à forte inspiration bouddhiste et taoïste avec des danses ethniques et des scènes illustrant la persécution du Falun Gong, pratique de méditation, persécutée en Chine depuis 1999.

«La scène en prison, je n’ai pas senti que l’on véhiculait une position politique, mais c’était davantage un message de liberté d’expression», a estimé David Levine, qui est allé à plusieurs reprises en Chine et dont la fille étudie à Pékin.

«C’est un genre de mosaïque de scènes bien réussi. Il est intéressant de voir ces scènes que l’on connaître en partie, mais que l’on découvre également», estime pour sa part Pierre Curzi.

«Ce qui est bien dans la culture, c’est que nous n’avons pas à juger, il n’y a pas d’oppression dans la culture, chacun est libre de dire ce qu’il veut, tout le monde est libre de décider s’il adhère ou pas», a conclu l’ancien président de l’Union de Artistes.

Source :
http://www.lagrandeepoque.com/LGE/content/view/3267/105/

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