Une Principale d’école secondaire : Maître Li m'a donné une nouvelle vie

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Je suis une femme approchant les 70 ans, sans maladie et tout à fait agile. Ma résistance physique et ma clarté mentale sont encore meilleures que quand j'étais jeune. Je suis fière de dire que je respire la jeunesse et l'énergie. C'est notre Maître magnifique et compatissant qui m'a réveillée du labyrinthe du monde profane. Il m'a sauvée de la mer d'amertume et donné une nouvelle vie ! Je voudrais remercier le Maître du plus profond de mon cœur de m’avoir sauvé la vie !

J'ai été employée dans un collège pendant plus de 40 ans et j’ai été victime des mensonges du Parti communiste chinois (PCC) pendant des décennies. Pendant la révolution culturelle qui a commencé en juin 1966, j'ai été traînée devant une foule par les gardes rouges et obligée à porter un grand signe en bois, « riche capitaliste » et « contre-révolutionnaire. » Chaque jour les gardes rouge me critiquaient et me maltraitaient physiquement. Par exemple, ils empilaient deux chaises sur un bureau, ils me faisait me tenir sur la chaise supérieure, et ils me poussaient alors me faisant tomber par terre. Ils ont continué la torture jusqu'à ce que je sois devenu handicapée.

J'ai aussi enduré la torture cruelle pendant nombre d'années. En pleine révolution culturelle, j'étais enceinte de mon fils et je suis presque morte en accouchant. Quand le travail a commencé, j'ai demandé à l'équipe de propagande du travail de l'école des jours de congé afin d'accoucher dans un hôpital, mais la demande a été refusée. Je n'ai eu d'autre choix que d'accoucher seule sur le plancher d'un enclos à vache. Plusieurs instituteurs m'ont entendu gémir de douleur et au risque de leur propre sécurité sont allés chercher une sage-femme. La sage-femme et mes collègues sont parvenus à me porter dans un lit. Après avoir donné naissance à mon fils, je suis devenue très malade. On m'a diagnostiqué dune obstruction inférieure de la veine cave [ l'obstruction du flux sanguin de la veine cave supérieure (SVC), la veine principale qui achemine le sang vers le cœur ], qui me causait une douleur terrible dans les jambes et faisait gonflet et violacer mes jambes. Ce n'était pas simplement mes jambes ; tout mon corps souffrait une douleur insupportable. Malgré mon état, j'ai été amenée dehors pour être critiquée par la foule juste cinq jours après avoir accouché.

En pleine nuit, une gentille collègue m'a jetée un papier chiffonné par la fenêtre qui disait : « L'équipe de propagande emploiera un gourdin à pointes pour vous frapper. Le gourdin arrachera votre chair. Cessez d'être obstinée, vous y perdrez votre vie ! » Après lecture de la note, j'ai senti la mort proche. Mais je ne devais pas laisser mon fils mourir avec moi. Je devais protéger ce pauvre enfant. En grandissant, il chercherait la justice et rétablirait ma réputation. Ma belle-mère était venue chez moi pendant environ 10 jours, mais je lui ai demandé avant l’aube d'emmener mon fils chez elle à 350 Km de distance. Elle était en larmes avant de partir. Je savais que ce ne serait pas facile pour elle d'élever un bébé nouveau-né sans infirmière ni argent liquide. Auparavant, mon salaire avait été suspendu pendant trois ans. Des larmes dans les yeux, j'ai dit à ma belle-mère, « Mère, vous devez l’élever aussi difficile que se soit!"

Après qu'elle soit partie, j'ai été plongée dans le désespoir et j’ai voulu me suicider. Mais j'ai décidé que je devais vivre et donc je devais m'échapper. Je savais que seulement alors j’aurais une chance de survivre. J'ai décidé que jamais plus je ne serais capturée. À environ 22h00, j'ai réussi à franchir plusieurs points de contrôle et je me suis échappée de l'école. (C'était au milieu de l'hiver et personne ne tenait de garde dehors.) J'ai décidé de me sauver chez ma sœur plus âgée qui habitait à environ à 1000Km de distance. J'ai supporté les sévères douleurs de jambe et la maladie et j’ai marché jusqu’à une gare à environ 5 Km de distance. J'ai voulu monter à bord du train, mais j’étais sans ressources. Avec l'aide d'un étranger, j’ai pu payer le billet de train. Avant que je sois arrivée chez ma sœur plus âgée, mes jambes étaient devenues si gonflées que je ne pouvais pas enlever mon pantalon. Le jour suivant elle m'a amenée dans un hôpital. Environ six mois plus tard mon mari a été libéré. Il est venu me chercher et m'a ramenée à la maison. A l’époque je souffrais encore beaucoup, j’étais cloué au lit et le moindre déplacement était extrêmement difficile.

J'ai alors appris de mes parents que ma belle-soeur, qui était ma meilleur amie, était devenue mentalement dérangée après qu’on lui ai dit que j'avais été victime de la révolution culturelle, et que j’avais été intimidée et maltraitée pendant des années. Elle allait chaque jour aux abords du village et demandait à chaque passant : « Est-ce que ma belle-sœur va revenir vivante à la maison? » Mais personne n'osait lui offrir de consolation parce que chacun avait peur d’être impliqué ! Un jour elle est rester à attendre mon retour du matin jusque tard l'après-midi . Elle était très déçue en retournant chez elle et elle s’est suicidée ! Ma mère était toute seule. Un mois plus tard, ma mère est tombée dans la maison, mais personne n'était là pour l'aider à se relever. Elle est morte les yeux ouverts en criant mon nom !

En dix années de révolution culturelle, comme un loup féroce, le PCC a réclamé les vies de plusieurs membres de ma famille et m'a rendue handicapé et malade. Les 12 maladies qu’on m’a infligée pendant la révolution culturelle m'ont tourmentée pendant des années et m'ont fait perdre l'espoir. J'ai souvent pensé que la mort était préférable à la vie. Après la révolution culturelle, le PCC a retiré les fausses accusations contre moi. Dans ma ville, j'étais celle qui avait fait face aux pires fausses accusations pendant la révolution culturelle. Le PCC a retiré les quatre accusations contre les contre-révolutionnaires. Et j'ai remercié le PCC de sa « clémence » et souvent chanté les chansons de propagande à l'éloge de Mao Zedong. J'ai même pleuré jusqu'à m’évanouir quand Mao Zedong est mort. Mais pendant des décennies j'ai lutté pour travailler en raison des nombreuses maladies et des incapacités que le PCC m’avait infligées. Pendant plus de 30 ans j'ai travaillé comme directrice et fondé une excellente école après l'autre. J'avais complètement oublié que j'avais failli ne pas survivre à la persécution du PCC. Je ne pouvais pas distinguer le bien du mal quand j'ai été soumise au lavage de cerveau et que j’ai félicité et soutenu le PCC.

Pendant plus de 30 années perdues, je dois avoir accumuler beaucoup de karma en faisant l'éloge du PCC. Cependant je ne savais pas que ce que je faisais était honteux ! Les excellents livres et articles sur le site Web Minghui m’ont ouvert les yeux et m’ont aidée à voir que les Présidents du PCC n'étaient pas des héros, mais des canailles et des dictateurs. J'ai vu la nature du PCC et je suis devenu perspicace. Le PCC est un spectre pervers qui a pris les vies de plus de 80 millions de personnes pendant tous ses mouvements politiques du temps où il a pris le pouvoir en Chine. Le nombre de ses victimes excède le nombre de décès de la première et la seconde guerre mondiale combinées. Depuis 1999, le PCC a réprimé le Falun Gong et persécuté les gentils pratiquants de Falun Gong. Le PCC est devenu le plus grand désastre qui ait jamais marché sur la terre. Il sera finalement éliminé par le ciel !

Quand j'ai commencé à pratiquer le Falun Gong, Maître m'a sauvé de la mer illimitée d'amertume et m'a mise sur le bateau de la Loi retournant à l'origine. Le Maître m'a réveillée plusieurs fois du sommeil. Le Maître a épuré mon corps à plusieurs reprises et purgé ce qui entâchait mon âme ! Le Maître m'a sauvée du plus grand désastre dans l'univers !

Date de l'article original: 3/10/2007

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2007/9/6/162146.html

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