La lettre d’appel du pratiquant de Falun Dafa Huang Gang condamné à une peine d’emprisonnement de 15 ans par le tribunal de la ville de Fushun, province du Liaoning

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Huang Gang, un pratiquant de Falun Dafa de la ville de Fushun, province de Liaoning s’est rendu à Beijing en octobre 1999 pour clarifier les faits à propos Falun Gong. Il a été arrêté et incarcéré. En décembre 2000 il a été arrêté de nouveau pour avoir imprimé des informations sur le Falun Gong. Le tribunal du district Shuncheng à Fushen, dans la province de Liaoning l’a condamné à 15 ans. M. Huang été envoyé en novembre 2001 à la seconde prison de Shenyang où il a été torturé. Il est aujourd’hui enfermé dans le pavillon quatre de la seconde prison de la ville de Shenyang.

Ce qui suit est la déclaration de Huang Gang sur ses expériences et une lettre d’appel adressée aux instances de la justice internationale

Messieurs,

Je m’appelle Huang Gang et j’ai 35 ans. Je vis dans la communauté de Jian’an dans la rue Jiangjun, district de Shuncheng de la ville de Fushun dans la province du Liaoning. Le 16 décembre 2000 les fonctionnaires du tribunal de mon district m’ont condamné à 15 ans d’emprisonnement pour avoir imprimé du matériel clarifiant les faits à propos du Falun Gong. Je suis actuellement enfermé dans le pavillon quatre de la deuxième prison de Shenyag. Je proteste vigoureusement contre cette condamnation injuste par les agents du Parti communiste chinois (PCC). Je demande une liberté inconditionnelle et mes raisons sont les suivantes :

Tout d’abord le PCC a fabriqué des accusations contre le Falun Gong pour justifier la persécution. Il viole nos droits fondamentaux qui sont protégés par la Constitution chinoise. Le PCC prive les gens de la liberté de croyance et la liberté d’expression. Ces dernières années j’ai pu clairement constater les violations de la loi par le PCC à travers mes propres expériences. Ces violations ont gravement blessé ma famille et moi-même à la fois physiquement et mentalement.

J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en novembre 1995. Le Falun Gong m’a attiré par son style d’organisation complètement différentd’autres pratiques de qigong. Il est gratuit et les pratiquants peuvent aller et venir à leur guise. Il ne dupe pas les gens en leur faisant de fausses promesses comme la guérison des maladies ou le développement de capacités supranormales. Le Falun Gong nous donne des réponses honnêtes ! Le contenu du livre « Zhuan Falun » a aussi attiré mon attention. Depuis j’ai commencé la pratique du Falun Gong et je suis les principes d’« authenticité, compassion, tolérance » dans ma vie de tous les jours. Après quelques années de cultivation ayant constaté les améliorations survenues chez moi-même et les autres pratiquants j’ai conclu que le Falun Gong est remarquablement efficace dans l’amélioration mentale des gens et a une grande capacité de guérison. En raison de cela de plus en plus de personnes pratiquent le Falun Gong.

Ce système de cultivation est suivi par des gens de toust milieux sociaux et de tous âges. Les pratiquants occupent différents emplois et vivent des expériences différentes. Mais ils ont une même compréhension du Falun Gong à savoir que le Falun Gong améliore le corps et l’esprit et bénéficie à la société. Cependant quand il y a eu de plus en plus de personnes qui ont appris et pratiqué le Falun Gong le gang de Jiang Zemin a lancé la persécution en juillet 1999.

Le 7 octobre 1999, ma femme qui est pratiquante de Falun Gong et moi-même sommes allés à Beijing pour faire appel en faveur du Falun Gong. Le train est resté coincé dans la ville de Jinzhou pendant une heure parce que la police essayait d’empêcher les pratiquants de se rendre à Beijing pour faire appel. La police a donné l’ordre à toute personne qu’elle suspectait être pratiquant de Falun Gong d’insulter le Falun Gong et la personne qui refusait était arrêtée. Je suis passé à travers par miracle et je suis arrivé jusqu’à Beijing sans aucun problème.

Nous sommes restés à Beijing pendant un mois. J’ai vu de nombreux pratiquants être battus et arrêtés sur la Place Tienanmen par des policiers. Ma femme et moi avec d’autres pratiquants sommes tombés dans un traquenard mis en place par le PCC- le bureau des appels. Nous sommes allés au bureau des appels pour pétitionner pour le Falun Gong. Mais des que nous sommes entrés dans la cour nous avons été arrêtés. Les fonctionnaires ont refusé de nous écouter. Ils nous ont simplement demandé d’où nous étions. Après nous avoir enregistrés ils nous ont forcés à nous asseoir dans la cour et nous ont interdit de parler entre nous.

Il y avait pratiquement 100 personnes dans la cour et il en arrivait de plus en plus. J’ai vu des policiers parler dans leur téléphone portable. Vingt minutes plus tard un policier de Fushen m’a emmené ailleurs avec un autre pratiquant de Fushen. On nous a emmenés dans le bureau de liaison de Beijing où plus de 100 pratiquants de Fushen étaient retenus. Nous avons été enfermés dans une salle de 270 . Les policiers nous ont demandé combien de liquide nous avions sur nous. Ils ont confisqué notre argent sans nous donner de reçu. J’avais sur mois 3000 yuans et ils ont tout pris.

Un jour après ils nous ont renvoyés dans la ville de Fushen. J’ai été détenu à la station de police locale pendant 15 jours. Ils m’ont accusé de « perturbation de l’ordre public ». J’ai refusé de signer le document. Ils m’ont envoyé au centre de détention de Fushen. Ma femme a été envoyée au centre de réhabilitation pour drogués.

Un jour après ils nous ont renvoyés dans la ville de Fushun. J’ai été détenu au commissariat pendant 15 jours. Ils m’ont accusé ‘de troubler l’ordre public ». J’ai refusé de signer le document. Ils m’ont envoyé au centre de detention de Fushen. Mon épouse a été envoyée dans un centre de désintoxication pour drogues.

Le 15ème jour ils ne mon pas libéré. Ils m’ont sorti du centre de détention le 17ème jour, mais ils ne m’ont pas laissé rentrer chez moi. Au contraire ils m’ont amené au bureau du département de police du district de Shuancheng. Ma mère se trouvait là bas avec des familles d’autres pratiquants. Il y avait aussi le secrétaire du Comité politique et judiciaire du district de Shuncheng et plusieurs autres fonctionnaires et policiers dans le bureau. Ils m’ont ordonné d’écrire une « lettre de garantie » promettant que je ne me rendrai plus à Beijing pour faire appel en faveur du Falun Gong et que je cesserai de pratiquer le Falun Gong. Ils m’ont dit que je serai condamné aux travaux forcés si je n’écrivais pas la lettre. Quelques pratiquants ont demandé aux fonctionnaires la raison pour laquelle nous ne pouvions pas faire appel en faveur du Falun Gong, puisque l’appel fait partie des droits d’un citoyen. Les pratiquants ont aussi demandé pourquoi nous n’avions pas le droit de pratiquer le Falun Gong puisque nous avons tous le droit à la liberté de croyance. Les fonctionnaires ont dit que les ordres venaient de leurs supérieurs et qu’ils n’avaient pas le choix.

Plusieurs pratiquants ont été emmenés dans des camps de travail parce qu’ils ont refusé d’écrire la lettre. A cause de la pression venant de ma famille et d’autres personnes, j’ai écrit la lettre de garantie et j’ai dû payer 6 000 yuans. Une fois arrivé à la maison, les superviseurs de mon travail et les fonctionnaires venaient chez moi pour me harceler. J’ai vécu ainsi pendant un an. Pendant cette année là j’ai dû subir la pression de personnes qui ne comprenaient pas très bien ce qu’est le Falun Gong. D’autre part ma conscience me condamnait et j’en souffrais beaucoup. Pour protéger mes intérêts j’avais cédé aux requêtes des malfaiteurs et j’avais écrit la lettre alors que je savais que Falun Dafa est bon.

En septembre 2000 je n’arrivais plus à vivre avec cette auto condamnation. Je me suis encouragé à faire un pas en avant et à clarifier la vérité aux gens. J’ai commencé en distribuant seul des informations de clarification de la vérité. Plus tard j’ai rencontré les pratiquants Hu Guojian et Hu Weidong et nous avons clarifié la vérité. Nous avons été arrêtés le 17 décembre 2000, parce que nous avons tenu une conférence d’échanges d’expériences chez un pratiquant. Depuis je suis incarcéré.

Pendant les six ans d’incarcération j’ai été persécuté à la fois mentalement et physiquement. La police m’a torturé plusieurs fois. L’incident le plus grave s’est produit le deuxième jour des vacances de Nouvel An chinois. La police est venue me prendre au centre de détention pour m’amener dans une salle de tribunal. Ils ont enlevé mes habits, mes chaussures et mes chaussettes et m’ont forcé à m’asseoir sur une chaise de métal en sous vêtement. La température extérieure était de moins 4 degrés Fahrenheit (-20° Celsius). Il n’y avait pas de chauffage dans la salle et malgré ça la police a laissé la porte ouverte. Ils ne sont pas arrivés à ouvrir la fenêtre qui était gelée. La police m’a menacé et a essayé de me forcer à renoncer au Falun Gong mais j’ai refusé. Alors ils ont commencé à me battre. Ils m’ont donné des coups de poing au cou, à l’intérieur des mains et sur la poitrine. Plus tard ils m’ont étouffé et donné des coups sur le dos.

Je ne me rappelle pas combien de temps ils m’ont torturé. Je me rappelle seulement qu’ils transpiraient tous et qu’ils étaient fatigués. L’un d’eux a dit : « Mes mains me font mal ». Puis il a trouvé un fil électrique et a commencé à me battre avec. Il portait des gants de caoutchouc d'isolation mais le bâton le touchait quand même de temps à autre. J’ai été torturé pendant 20 heures. Puis ils m’ont envoyé au camp de travail de Fushen où j’ai été détenu pendant un mois.

Leur but en m’envoyant dans le camp de travail était de me « réformer ». Chen Feng, un policier de la première section du département de police chargé de reformer les pratiquants du Falun Gong a dit devant moi à la police du camp de travail de me « réformer » en une semaine.

Pendant un mois j’avais l’impression d’être en enfer. Plus de 400 pratiquants se trouvaient dans ce camp de travail et la moitié était des femmes. J’étais enfermé dans une salle avec 20 personnes. Seul deux autres pratiquants et moi-même n'étions pas « réformés » ce qui veut dire que nous n’avions pas renoncé à la pratique du Falun Gong. Tous les autres qui se trouvaient dans la salle étaient soit des pratiquants « réformés » ou des criminels ordinaires.

Quand je suis entré dans la salle ils ont fermé les rideaux et la porte. Les criminels ordinaires et les détenus « réformés » se sont séparés en deux afin de torturer les deux pratiquants et ils m’ont forcé à regarder. Ils ont poussé la tête des pratiquants vers leurs genoux et ont tiré leurs bras en arrière contre le mur. Ils appellent cette torture « planer ». Des pratiquants leur ont demandé « Qu’est ce qui vous donne le droit de faire cela ? » Ils n’ont même pas écouté. Certains d’entre eux tenaient la tête et les mains des pratiquants et d’autres fouettaient les pratiquants avec une ceinture. Quand ils étaient fatigués, d’autres prenaient leur place. Tout en battant les pratiquants ils les insultaient. Ils nous battaient tellement fort qu’ils ont cassé les ceintures. Ils ont aussi giflé les pratiquants avec des chaussures.

Les pratiquants ont été incapables de bouger les jambes après une nuit de torture. Leur front était devenu noir et violet et leurs yeux étaient enflés. Cependant ils n’ont pas cessé de les torturer parce qu’ils n’étaient pas encore « réformés ». Le deuxième jour ils ont torturé de nouveau ces deux pratiquants. J’ai remarqué qu’ils saignaient tous les deux, mais les policiers n’ont pas arrêté jusqu’à ce que l’un d’eux crie « Arrêtez il est entrain de mordre sa langue ! » C’est alors qu’ils ont découvert que l’un des pratiquants a préféré se mordre la langue plutôt de dire de mauvaises choses sur Dafa.

Lorsqu'ils torturaient des pratiquants et que les cris des pratiquants retentissaient dans le couloir, le gardien Jiang Feng jouait de la guitare et chantait des chansons pop dans le même couloir. La torture était exécutée sous ses ordres.

Faisant face à de si horribles menaces et pressions, j'ai écrit une lettre de garantie. Ils m'ont ordonné d'écrire une lettre admettant ma culpabilité et une autre calomniant le Falun Gong. Je leur ai dit que je ne pouvais pas diffamer le Falun Gong. Ils ont dit qu'ils allaient écrire une lettre pour moi et que je n'aurais plus qu'à la signer. Après que j'ai signé les lettres, j'ai été renvoyé dans le centre de détention.

Aussitôt que j'ai quitté le camp de travail, j'ai commencé à avoir des regrets sur tout ce que j'avais fait. J'ai écrit une déclaration solennelle, certifiant nulles et non avenues les déclarations que j'avais faites dans le camp de travail, mais le centre de détention a refusé de publier ma déclaration. J'ai protesté contre l'injuste traitement en faisant les exercices du Falun Gong. Ils ont immobilisé mes mains et mes pieds sur un mur pendant plusieurs jours, jusqu'à ce que j'accepte de ne plus faire les exercices. On m'a interdit de faire les exercices, de lire les livres du Falun Gong ou de parler du Falun Gong à d'autres personnes.

J'ai été détenu pendant 11 mois au centre de détention. Le 4 avril 2001, j'ai obtenu un procès, mais la sentence a été prononcée sept mois plus tard. Des gens m'ont dit que la raison pour laquelle ils n'avaient pas prononcé le verdict immédiatement était parce qu'ils n'avaient aucune loi appropriée sur laquelle ils pouvaient baser la condamnation. De plus, le "juge" de la cour n'avait pas le droit de prononcer la sentence. Mais à la place, des agents du Comité Politique et Judiciaire du Bureau 610 avaient pris toutes les décisions, y compris l'arrestation, la condamnation et où m'emprisonner. Mon avocat m'a dit: "Huang Gang, vous feriez mieux de plaider coupable. Autrement, vous serez condamné à de nombreuses années d'emprisonnement. La cour de district ne peut prendre aucune décision. Tout est contrôlé par le bureau 610." Elle avait raison. Le bureau 610 m'a condamné à 15 ans. Mon appel a aussi été rejeté.

En novembre 2001, j'ai été envoyé à la 20ème Section de la Seconde Prison à Shenyang, une division spéciale de détention de pratiquants de Falun Gong. On nous interdisait de faire les exercices du Falun Gong, de lire les livres du Falun Gong ou de parler avec les autres pratiquants. Les policiers ordonnaient aux détenus criminels de nous surveiller 24 heures sur 24. Nous devions rester dans certaines pièces et ne pouvions pas nous rendre visite les uns les autres. Les criminels devaient également nous surveiller dans tous les endroits publics, tels que les couloirs et les douches. On nous interdisait d'avoir des stylos et des feuilles, et nous ne pouvions pas parler du Falun Gong lorsque nous écrivions à nos familles. Deux policiers nous surveillaient quand nous rencontrions nos familles lors du jour de visite mensuel, et nous ne pouvions pas parler du Falun Gong à nos familles, ou bien raconter la façon dont nous étions traités dans la prison. Si les membres des familles étaient aussi des pratiquants de Falun Gong, ils n'étaient alors pas autorisés à nous rendre visite. Si un pratiquant faisait les exercices, les criminels et les policiers le jetaient parterre. Les criminels battaient souvent les pratiquants. Un pratiquant surnommé Song a été battu et ses reins ont été endommagés. Le criminel Jiang Yuanfu a frappé à coups de pied les parties génitales du pratiquant Fatie, lui causant des blessures et des saignements.

A chaque fois que ce genre de choses se produisaient, nous demandions aux criminels: "Vous êtes des criminels. Qui vous a donné le droit de nous battre et de nous empêcher de faire les exercices?" Les criminels disaient que la police leur avait ordonné de le faire. Nous demandions alors aux policiers: "Même si nous étions coupables de quelque chose, les criminels n'ont aucun droit de nous battre. Comment pouvez-vous autoriser les criminels à nous surveiller et leur permettre de nous battre?" Les policiers refusaient de répondre et disaient juste qu'ils avaient ordonné aux criminels de nous surveiller parce que la police ne pouvait pas rester avec nous 24 heures sur 24.

Beaucoup de pratiquants ont protesté contre la persécution en employant différentes méthodes. J'ai été enfermé dans une cellule d'isolement pendant trois mois. Les pratiquants ont entamé une grève de la faim pour protester et j'ai été relâché. Durant ces trois mois, j'ai été spécialement maltraité. La superficie de la pièce sombre était de près de 6 mètres carrés. Ils m'ont nourri de bouillie de maïs, d'un morceau de pain de maïs et de quelques légumes en conserve. Je n'étais pas autorisé à me laver le visage ou à prendre une douche, et je ne pouvais utiliser les toilettes que deux fois par jour. La police m'a souvent forcé à me tenir debout pendant de longs moments. Ils m'ont aussi attaqué avec des bâtons électriques. Mes mains et mes pieds étaient souvent ligotés pendant de longues périodes de temps.

Ils ont écarté mes membres et m'ont immobilisé sur le sol pendant plus de 20 jours, et les criminels me battaient souvent. Beaucoup de pratiquants étaient détenus dans des cellules d'isolement. Certains d'entre eux étaient là pendant trois mois, et certains autres pendant même plus de six mois. Comme ils n'avaient pas une bonne alimentation et qu'ils restaient dans des pièces sombres pendant longtemps, ils devenaient très faibles. Leurs gencives saignaient, et certains développaient des maladies de peau. Des pratiquants ont été torturés a mort.

Ici, je ne donne que quelques exemples, mais en fait il y a beaucoup d'incidents où les policiers et les criminels enfreignent les lois et nos droits humains. Cela arrive tous les jours.

Je dois signaler une chose à la fin. La Seconde Prison m'a privé de mon droit de faire appel. J'ai essayé de nombreuses fois, mais à chaque fois, ils m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas soumettre mon appel à la cour, leur excuse étant que j'ai parlé du Falun Gong dans la lettre d'appel et qu'en conséquence ils ne pouvaient pas la soumettre pour moi.

Tout ce que j'ai dit plus haut n'est que la pointe de l'iceberg. Ce sont mes propres expériences et je n'ai rien exagéré. La raison pour laquelle je veux dénoncer cela est parce que je veux prouver que le PCC viole les lois et que la persécution est mauvaise. J'espère que les organisations internationales des droits de l'homme, les avocats des droits de l'homme ainsi que toutes les personnes ayant le sens de la justice nous aideront à stopper la persécution dès que possible, de façon à ce que la réputation de mon Maître et de Dafa soit restaurée et que les pratiquants incarcérés soient relâchés.

Version chinoise disponible à http://minghui.ca/mh/articles/2007/2/14/148959.html


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