Une courte histoire d’un grand-père et de son petit-fils lors d’une séance d’exercice

Aux environs de 20:15, le 30 décembre, mon petit-fils de sept ans m’a demandé de pratiquer la méditation assise avec lui. Je lui ai dit, "Peut-être devrions nous commencer tout d’abord par les exercices debout, avant de faire la méditation assise." Mon petit-fils, étant un enfant accommodant, a accepté et nous avons pratiqué ensemble les exercices. Avant de pratiquer, j’ai reprécisé les règles pour la pratique des exercices de manière à s’asseoir dans la tranquillité: "Tu ne dois pas bouger, même si tu as des douleurs aux bras ou si tes jambes te font mal – tu dois persévérer 'jusqu’à la fin." A la fin du premier, troisième et quatrième exercice, après une demi-heure, je suis allé changer la cassette pour faire le second exercice, quand mon petit-fils m’a dit, "Papy, je suis fatigué, j’ai mal à l’estomac." J’ai répondu, "Ne parles pas, persévère 'jusqu’à la fin et tu réussira." Avant que je ne finisse ma phrase, mon petit-fils est tombé à la renverse sur une boîte en carton. Environ dix secondes plus tard, il s’est relevé et a continué la pratique du second exercice. Il a dit, "Je t’en parlerai quand j’aurai fini la pratique."

Une demi-heure plus tard, à la fin du second exercice, mon petit-fils s’est replié sur lui-même, en se tenant le ventre et est resté prostré ainsi pendant une minute. Quand il s’est relevé, il a dit, "Papy, lors du second exercice, à l’instant même, j’ai vu Maître ainsi que la Bodhisattva Guanyin. Je ne mens pas, je dis la vérité. Les pieds de Maître sont très, très grands, aussi grands que toute la maison. Les sourcils de Maître, un seul est aussi grand que moi; Les oreilles de Maître sont aussi grandes que toi et moi réunis. Maître était assis sur une fleur de lotus en méditation, il y avait beaucoup de lumière émanant d’au-dessus de sa tête, il y avait des lumières rouge, jaune, verte et bleu ciel, tout comme quand le soleil est à l’horizon, c’était vraiment très beau. La Bodhisattva Guanyin était elle aussi, aussi grande que notre maison (nous vivons dans une maison de taille moyenne). La Bodhisattva Guanyin se tenait à la gauche de Maître, debout sur la même belle fleur de lotus que Maître, tenant une bouteille dans ses mains, versant de l’eau sur ma tête avec des feuilles vertes, et les gouttelettes d’eau était d’une couleur dorée. La voix de Maître résonnait encore plus fort que des haut-parleurs. A ce moment là, mon estomac a commencé à me faire très mal et je me suis évanoui. J’avais peur que tu me grondes et donc je me suis dépêché de reprendre la pratique des exercices. "

Je lui ai demandé, "Est-ce que la Bodhisattva Guanyin est un homme ou une femme?" Il m’a répondu, "La Bodhisattva Guanyin est une femme, à sa droite il y avait également la Bodhisattva Puxian et la Bodhisattva Wenshu." A ce moment là, j’ai encouragé mon petit-fils. J’ai alors changé de cassette pour la pratique du cinquième exercice. Quand la musique de Bouddha a commencé, il m’a dit encore, "Fais pause un moment s’il te plait, je vais dire à maman (qui est sourde et muette) que j’ai vu Maître et je reviens dans un petit moment."

Environ deux minutes plus tard, il est revenu en courant, mangeant une grande banane. Je lui ai demandé,"N’avais-tu pas mal au ventre? Pourquoi manges tu encore?" Il a répondu, "Je veux manger et mon estomac ne me fais plus mal." Après cela, nous avons commencé la pratique de méditation assise. Quand nous avons terminé, il m’a dit, "Papy, je n’ai rien vu cette fois-ci, pourquoi Maître ne s’est-il pas occupé de moi ?" J’ai répondu, "Ce n’est pas que Maître ne s’occupe pas de toi, c’est juste que tu ne peux pas le voir. Tu pourras voir Maître si tu étudies bien la Loi (Fa) chaque jour." Notre séance d’exercices ‘grand-père/petit-fils’ a ainsi pris fin d’une telle miraculeuse manière.

Date de l'article original : 11/3/2007

Version Chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2007/2/21/149442.html

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