Mes expériences de première main du règne altruiste des pratiquants de Falun Dafa persécutés.

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

En décembre 2002, j’ai été condamné à trois ans de travaux forcés parce que j’avais été pris en train de distribuer des matériaux de ‘’clarification des faits’’. J’ai été témoin de mes propres yeux de la persécution cruelle endurée par les pratiquants de Falun Dafa dans le Camp de travaux forcés de l’agglomération de Jiamusi, entre les mains des gardiens de la police. J’ai aussi expérimenté
la façon dont les pratiquants de Falun Dafa continuaient encore à clarifier les faits aux gardiens durant la persécution. Ils validaient Falun Dafa et faisaient encore de leur mieux pour leur offrir le salut.

En 2003, les camps de travaux forcés ont une fois de plus tenté de nous forcer à abandonner la 'cultivation' de Falun Dafa et nous ont ordonné d’écrire les soi-disant trois déclarations. De nombreux pratiquants ont maintenu des pensées et des actions droites et refusé de renoncer au Falun Dafa. Les gardiens se sont alliés avec les détenus criminels et ont fait tomber les pratiquants sur le sol de béton. Ils les ont immobilisés, et utilisant un lit de métal comme outil de torture, ont menotté leurs mains derrière leur dos avec un bras passé par-dessus l’épaule ( torture appelée ‘’ porter une épée dans le dos’’). Les menottes entaillaient les poignets des pratiquants et leurs mains saignaient. Beaucoup sont devenus handicapés après avoir été menottés de cette façon. A ce jour, quelques pratiquants portent encore des blessures aux poignets, preuves des crimes commis contre eux par les gardiens des camps de travaux forcés.

J’ai vu de mes propres yeux une compagne de pratique être menottée, ses mains derrière son dos pendant une journée entière parce qu’elle refusait de lire à voix haute les slogans calomniant Maître Li. La nuit, elle a été menottée à un appareil dans l’entrepôt, et empêchée de bouger ou de dormir. Durant la journée, elle a été menottée dans un coin de la salle de production et torturée. Elle était menottée même pour se rendre à la cantine pour ses repas. Cette persécution a duré vingt-deux jours.

Une autre pratiquante a eu ses mains menottées derrière son dos durant une journée parce qu’elle refusait de lire à voix haute des slogans calomniant Maître Li. Elle a été enfermée dans l’entrepôt et a eu ses mains menottées derrière son dos pendant quatre jours. Ils l'empêchaient de dormir et elle n'était pas même autorisée à fermer ses yeux.

Les deux pratiquantes n’ont pas cédé sous la persécution. Elles ont finalement décidé de quitter le camp de travaux forcés avec leur foi droite en Maître Li et Falun Dafa. Elles n’ont rien fait ou dit contre le Maître et Dafa. Ainsi, elles ont porté un coup à la perversité et beaucoup diminué l’arrogance des persécuteurs .

Dès le début de juin 2003, on nous a forcées à nous asseoir sur un banc pendant pas moins de six mois. Par la chaleur brûlante de l’été, plus de quatre-vingt-dix personnes ont été comprimées dans une salle de classe. Nous n’étions pas autorisées à parler entre nous, ni à nous asseoir sur les nattes. La torture prolongée, en plus de l’air raréfié nous faisait suffoquer. A cause du manque d’oxygène pendant de longues périodes certaines ont souffert de douleurs à la poitrine et de problèmes respiratoires. Nous étions étroitement surveillées vingt-quatre heures sur vingt quatre. Quelquefois même un échange de regards entre pratiquantes entraînait des coups. Cependant, qu’elles fussent menottées, choquées avec des matraques électriques, battues, giflées, ou soumises aux tentatives de lavage de cerveau brutaux, rien n’a fait faiblir les pratiquantes dans leur foi ferme en la vérité de l’univers.

J’ai vu l'univers altruiste des pratiquants de Falun Dafa. Comme les camps de travaux forcés abaissaient les coûts en économisant sur la nourriture, ce qu'on recevait à manger ressemblait à de la nourriture pour poulets. Dans ces circonstances, une pomme ou un morceau de viande était très précieux. Beaucoup de pratiquantes abandonnaient ce peu qu’elles avaient et le donnaient à des pratiquantes plus faibles, ou même l’offraient à des détenues criminels malades.

Bien sur, vivant en liberté, une pomme et un morceau de viande ne signifient rien. Mais dans un environnement tel que le camp de travaux forcés, ce genre de cadeau désintéressé était extrêmement précieux et était vu sous un éclairage différent. Les pratiquantes utilisaient fréquemment toutes sortes d’opportunités pour clarifier les faits à propos du Falun Gong aux détenues criminelles. Elles s'intéressaient à la vie quotidiennede ces détenus. Leur énergie et leurs actions droites ont profondément touché certaines détenues et les ont amenées à exprimenter elles même ce que le Falun Gong a de merveilleux. Après que certaines des criminelles aient appris la vérité sur Falun Gong, elles n’ont plus voulu assister les autorités dans leur persécution et ont aidé secrètement les pratiquants de nombreuses façons.Elles ont créé une bonne fondation pour leur futur.

Une année a passé. Je me demande où se trouvent mes compagnons de pratique. Je crois fermement que mes compagnons feront ce qu’un pratiquant de la période de la rectification par la Loi devrait faire, sans considérer l’endroit où ils se trouvent. Seul Falun Dafa peut créer des etres aussi compatissants et grandioses.

Version chinoise disponible à :
http://minghui.ca/mh/articles/2006/12/31/145819.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.