Un Pratiquant occidental : S’aider mutuellement en accomplissant nos derniers pas

Partagé à la récente Conférence de Partage d’Expérience en Irlande
 
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Un Pratiquant Occidental : S’aider mutuellement en accomplissant nos derniers pas

Bonjour Maître !

Bonjour aux compagnons de pratique !

Au cours de ces quatre dernières années de cultivation, j’ai eu la chance de participer à diverses activités, à la fois ici chez moi, et à l’étranger. Durant ma cultivation, j’ai fait de nombreux progrès mais j’ai également connu des chutes, mais heureusement j’ai eu un coup de main de la part de notre Maître compatissant qui m’a permis de me relever et de continuer à avancer.

Je vais parler d’une ou deux de ces occasions et j’espère que ces expériences pourront bénéficier à d’autres pratiquants. Noël 2004 a été une des occasions durant laquelle j’ai voyagé jusqu’à New York pour rejoindre de nombreux autres pratiquants venant du monde entier pour aller clarifier la vérité aux gens dans les rues de Manhattan.

Je n’étais jamais parti d’Irlande pendant la période de Noël dans ma vie, et j’avais un attachement au confort à ce moment-là ; je voulais toujours être avec ma famille à la maison. Je n’avais également jamais voyagé si loin par avion et étais quelque peu inquiet.


J’ai voyagé seul mais je devais rencontrer quelques pratiquants du Royaume-Uni et irlandais lorsque j’arriverais à New York. Je trouvais qu’il faisait déjà froid en Irlande avant de partir, mais ce n’était rien comparé au froid lorsque je suis arrivé à New York. J’ai eu beaucoup de mal à trouver mon chemin pour la maison où nous habitions tous mais j’ai fini par me repérer après avoir pris un métro en direction du quartier où elle se trouvait. Il n’y avait personne dans la maison et j’ai du attendre dehors jusqu’à ce que quelqu’un revienne puisque j’avais des bagages à surveiller.

J’ai appelé les numéros de portables des autres pratiquants mais mon téléphone ne marchait pas bien et je n’ai pas réussi à les joindre. Ils sont finalement arrivés et j’ai pu entrer. Ils m’ont accueilli et m’ont montré l’endroit où je m’installerais. Il y avait seulement trois chambres et environ 15 à 20 pratiquants qui habitaient là. C’était formidable de rencontrer des pratiquants de différents pays ; certains que je connaissais et d’autres non. Nous avons étudié la Loi de nombreuses fois dans la maison et cela a crée un bon environnement.

Je souffrais d’un mal de dent de temps en temps avant que je quitte l’Irlande et le froid l’avait fait réapparaître. Ca devenait très douloureux étant donné que le nerf était exposé au vent froid, mais j’ai pensé que le meilleur moyen de le supporter était de l’accepter en tant que partie de ma cultivation et que c’était bien pour l’élimination de mon karma. Si ce n’était pas le cas et que c’était le résultat des forces anciennes essayant de m’empêcher de clarifier la vérité dans la rue, avec des pensées droites et le Maître qui me guide, ça serait résolu.

Avec cette pensée, et en faisant confiance en Maître, la douleur disparaissait aussi vite qu’elle était venue. Ca se produisait de temps en temps pendant mon séjour à New York, j’ai appris que si je considérais cette douleur comme une partie de ma cultivation, elle s’arrêtait. Si je m’attardais dessus j’en souffrais davantage

Il neigeait fortement lorsque nous étions dans les rues mais cela ne nous a pas empêchés de faire les exercices et distribuer des feuillets d’informations aux passants.

Au début, je trouvais que c’était difficile d’approcher les New-yorkais car j’avais l’habitude des rues de Dublin où l’on trouvait des Irlandais facilement abordables. Les new-yorkais était toujours pressés et se dépêchaient d’aller ici et là. Avec des pensées droites et un sourire, les choses ont commencé à changer et ils acceptaient les feuillets d’informations. Je pensais au salut de ces gens et pensais qu’ils étaient guidés jusqu’à notre site pour que je leur donne un feuillet et leur clarifie la vérité, donc je devais faire plus d’efforts pour attirer leur attention, étant donné que le premier contact est le plus important.

Mon attachement au confort a disparu et j’ai commencé à mettre tous mes efforts dans les activités de rue et essayais de ne pas penser au froid ou à d’autres douleurs. Ce qui m’aidait toujours à faire mon travail était de penser au peu de souffrance que j’endure comparé à mes compagnons de pratique en Chine qui sont détenus et persécutés. Ils souffrent beaucoup plus que moi. Ils seraient contents de pouvoir pratiquer et clarifier la vérité dans tout type de temps. J’ai toujours été étonné de voir comme tous les pratiquants du monde entier parviennent à se réunir, ne pas parler la même langue, avoir des situations sociales différentes, provenant de différentes cultures, et peuvent juste se coordonner et travailler si admirablement pour mettre en place les activités dans les rues de Manhattan, en agissant en tant qu’un seul corps et chacun sachant le rôle qu’il doit remplir.

Au cours des années il y a eu des pertes regrettables de main d’œuvre, mais nous sommes parvenus à combler les vides et poursuivre. Parfois c’était très difficile, mais à nouveau, si c’était si simple nous n’aurions pas cultivé jusqu’à ce point aujourd’hui. Ca a été pour moi une expérience très enrichissante et je dois remercier tous mes compagnons de pratique pour leur engagement et leur détermination, parce que sans l’aide de chacun nous aurions trouvé ce chemin beaucoup plus difficile.

Je voudrais finir en disant qu’étant donné que le temps presse nous devons toujours nous rappeler de penser et agir de manière désintéressée et faire du mieux que l’on peut les trois choses que le Maître nous a demandé de faire. Je suis certain que nous atteindrons notre destination prédestinée, et laisserons un futur merveilleux et radieux pour l’humanité.

Merci à notre Maître miséricordieux et compatissant !

Merci à vous compagnons de pratique !


Partagé à la récente Conférence de Partage d’Expérience en Irlande

Bonjour Maître !

Bonjour aux compagnons de pratique !

Au cours de ces quatre dernières années de cultivation, j’ai eu la chance de participer à diverses activités, à la fois ici chez moi, et à l’étranger. Durant ma cultivation, j’ai fait de nombreux progrès mais j’ai également connu des chutes, mais heureusement j’ai eu un coup de main de la part de notre Maître compatissant qui m’a permis de me relever et de continuer à avancer.

Je vais parler d’une ou deux de ces occasions et j’espère que ces expériences pourront bénéficier à d’autres pratiquants. Noël 2004 a été une des occasions durant laquelle j’ai voyagé jusqu’à New York pour rejoindre de nombreux autres pratiquants venant du monde entier pour aller clarifier la vérité aux gens dans les rues de Manhattan.

Je n’étais jamais parti d’Irlande pendant la période de Noël dans ma vie, et j’avais un attachement au confort à ce moment-là ; je voulais toujours être avec ma famille à la maison. Je n’avais également jamais voyagé si loin par avion et étais quelque peu inquiet.


J’ai voyagé seul mais je devais rencontrer quelques pratiquants du Royaume-Uni et irlandais lorsque j’arriverais à New York. Je trouvais qu’il faisait déjà froid en Irlande avant de partir, mais ce n’était rien comparé au froid lorsque je suis arrivé à New York. J’ai eu beaucoup de mal à trouver mon chemin pour la maison où nous habitions tous mais j’ai fini par me repérer après avoir pris un métro en direction du quartier où elle se trouvait. Il n’y avait personne dans la maison et j’ai du attendre dehors jusqu’à ce que quelqu’un revienne puisque j’avais des bagages à surveiller.

J’ai appelé les numéros de portables des autres pratiquants mais mon téléphone ne marchait pas bien et je n’ai pas réussi à les joindre. Ils sont finalement arrivés et j’ai pu entrer. Ils m’ont accueilli et m’ont montré l’endroit où je m’installerais. Il y avait seulement trois chambres et environ 15 à 20 pratiquants qui habitaient là. C’était formidable de rencontrer des pratiquants de différents pays ; certains que je connaissais et d’autres non. Nous avons étudié la Loi de nombreuses fois dans la maison et cela a crée un bon environnement.

Je souffrais d’un mal de dent de temps en temps avant que je quitte l’Irlande et le froid l’avait fait réapparaître. Ca devenait très douloureux étant donné que le nerf était exposé au vent froid, mais j’ai pensé que le meilleur moyen de le supporter était de l’accepter en tant que partie de ma cultivation et que c’était bien pour l’élimination de mon karma. Si ce n’était pas le cas et que c’était le résultat des forces anciennes essayant de m’empêcher de clarifier la vérité dans la rue, avec des pensées droites et le Maître qui me guide, ça serait résolu.

Avec cette pensée, et en faisant confiance en Maître, la douleur disparaissait aussi vite qu’elle était venue. Ca se produisait de temps en temps pendant mon séjour à New York, j’ai appris que si je considérais cette douleur comme une partie de ma cultivation, elle s’arrêtait. Si je m’attardais dessus j’en souffrais davantage

Il neigeait fortement lorsque nous étions dans les rues mais cela ne nous a pas empêchés de faire les exercices et distribuer des feuillets d’informations aux passants.

Au début, je trouvais que c’était difficile d’approcher les New-yorkais car j’avais l’habitude des rues de Dublin où l’on trouvait des Irlandais facilement abordables. Les new-yorkais était toujours pressés et se dépêchaient d’aller ici et là. Avec des pensées droites et un sourire, les choses ont commencé à changer et ils acceptaient les feuillets d’informations. Je pensais au salut de ces gens et pensais qu’ils étaient guidés jusqu’à notre site pour que je leur donne un feuillet et leur clarifie la vérité, donc je devais faire plus d’efforts pour attirer leur attention, étant donné que le premier contact est le plus important.

Mon attachement au confort a disparu et j’ai commencé à mettre tous mes efforts dans les activités de rue et essayais de ne pas penser au froid ou à d’autres douleurs. Ce qui m’aidait toujours à faire mon travail était de penser au peu de souffrance que j’endure comparé à mes compagnons de pratique en Chine qui sont détenus et persécutés. Ils souffrent beaucoup plus que moi. Ils seraient contents de pouvoir pratiquer et clarifier la vérité dans tout type de temps. J’ai toujours été étonné de voir comme tous les pratiquants du monde entier parviennent à se réunir, ne pas parler la même langue, avoir des situations sociales différentes, provenant de différentes cultures, et peuvent juste se coordonner et travailler si admirablement pour mettre en place les activités dans les rues de Manhattan, en agissant en tant qu’un seul corps et chacun sachant le rôle qu’il doit remplir.

Au cours des années il y a eu des pertes regrettables de main d’œuvre, mais nous sommes parvenus à combler les vides et poursuivre. Parfois c’était très difficile, mais à nouveau, si c’était si simple nous n’aurions pas cultivé jusqu’à ce point aujourd’hui. Ca a été pour moi une expérience très enrichissante et je dois remercier tous mes compagnons de pratique pour leur engagement et leur détermination, parce que sans l’aide de chacun nous aurions trouvé ce chemin beaucoup plus difficile.

Je voudrais finir en disant qu’étant donné que le temps presse nous devons toujours nous rappeler de penser et agir de manière désintéressée et faire du mieux que l’on peut les trois choses que le Maître nous a demandé de faire. Je suis certain que nous atteindrons notre destination prédestinée, et laisserons un futur merveilleux et radieux pour l’humanité.

Merci à notre Maître miséricordieux et compatissant !

Merci à vous compagnons de pratique !

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