Souvenirs de notre Maître alors qu’il propageait la Loi dans la ville de Dalian il y a dix ans de cela (2ème partie)

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Première partie : http://minghui.ca/mh/articles/2006/3/28/123858.html (en chinois)

III. L’attention et la sollicitude du maître

Les pratiquants savent par leur expérience personnelle l’attention et la sollicitude que le Maître nous témoigne.

1. Le Maître connaît la situation de ma famille

Un disciple a dit :

Lorsque Maître est venu enseigner à Dalian pour la deuxième fois, je travaillais comme coordinatrice. Un jour, pendant la pause, Maître m’a demandée gentiment : " Comment ça va ? Avez-vous des difficultés dans votre vie ? " J’ai été si surprise et me suis demandée : " Comment le Maître connaît il ma situation économique ?" J’ai répondu : " Non." le Maître a dit alors "Vraiment ? Tout va bien ?" J’ai dit dit "oui." A ce moment mes yeux étaient pleins de larmes. Maître a dit quelque chose qui m’a touchée profondément. Il a dit : "Si vous avez suffisamment d’argent pour la nourriture et les nécessités quotidiennes, ça suffira." Je comprends que notre Maître ne se souciait pas seulement de moi, mais qu’il m’avait aussi enseigné un principe important de cultivation. Maître me disait : " Un pratiquant ne devrait pas vivre avec le but d’être une personne ordinaire. Finalement, un pratiquant deviendra un être éveillé par la cultivation, il sortira du monde humain et retournera à son être véritable. Nous sommes venus dans ce monde seulement pour quelques jours, nous ne devrions nous attacher à rien." "Si vous avez suffisamment d’argent pour la nourriture et les nécessités quotidiennes, tout ira bien. " J’ai toujours cette phrase à l’esprit. D’un côté, je ne manifeste pas de vulnérabilité face aux difficultés et je suis toujours optimiste. Je continue simplement à cultiver diligemment et abandonne mes attachements.

    "Vivre sans recherche, mourir sans regrets; débarrassé de toutes les pensées extravaguantes , Cultiver la Boddhéité n'est pas difficile." ("Non existence." Hong Yin, Traduction provisoire


Cet important principe me guide toujours dans la voie pour devenir une divinité.

En me souvenant des jours passés avec notre Maître, Maître souriait toujours. Peu importe ce qu’Il faisait, il pensait toujours d’abord à Ses disciples. Les mots de notre Maître touchaient toujours le cœur de chacun et il parlait toujours doucement et gentiment. Quand j’étais en présence du Maître, je ressentais la grâce, le bonheur et la cordialité.

2. Notre Maître a soigné un disciple qui avait le mal de voiture

Un disciple nous a raconté quelques événements qui s’étaient produits durant la classe de Chengdu en juin 1994 :

Un jour, notre Maître est venu nous rendre visite à l’endroit où vivaient certains disciples. Tandis qu’il parlait, il a mis Ses mains derrière sa tête puis a séparé Ses mains des deux côtés. Puis il a demandé : "Qu’avez vous vu juste maintenant ? "Nous avons dit que nous voyions un faisceau de lumière rouge. Maître nous a dit : " Cultivez bien lorsque vous rentrerez chez vous. Aussi grands que soient vos enfants immortels. Assurez vous de cultiver diligemment. " Un jour, nous sommes sortis avec le Maître en voiture. Il pleuvait. La route était très boueuse et la voiture était sale.

Quand la voiture s’est arrêtée, nous avons vu notre Maître sortir le premier. Il a essuyé l’eau boueuse du pare-brise et de la voiture. Après que la classe de Chengdu soit terminée, tous étions réticents à quitter notre Maître. Maître nous a apporté de l’eau à boire. Lorsqu’Il a entendu qu’un disciple avait le mal de voiture, il a tourné un Falun devant la voiture avant que le disciple ne parte et a purifié son corps. Notre Maître considère ses disciples comme ses enfants et se soucie de nous dans chaque détail. Nous étions profondément touchés par chaque petit événement témoignant de la grâce de notre Maître et de son amour pour les êtres vivants.

3. Je n’ai plus jamais eu de crise cardiaque

Un étudiant se souvenait : " Lorsque le Maître a ouvert Sa première classe à Dalian, j’ai parlé au Maître de ma condition de santé. J’ai dit : « Pas une partie de mon corps n’est confortable, j’ai mal partout. J’ai une maladie de cœur et ainsi de suite. J’ai failli mourir plusieurs fois. " Maître n’a rien dit. Après un moment, Il s’est levé et est passé derrière moi. Il a fait le geste d’attraper l’air au-dessus de ma tête et est parti. Lorsqu’il est revenu, Maître m’a demandé : " Que ressentez-vous maintenant ?" J’ai dit : “Rien, seulement mes jambes sont un petit peu chaudes." Après cet incident, je n’ai plus jamais eu de maladie de cœur ni eu besoin de me soigner.

Lors d’une classe ultérieure à Chengdu en Juin, Il m’a demandé de nouveau : “Comment allez-vous maintenant ? Est-ce que tout va bien ? " J’ai dit avec gratitude : " Oui, j’ai complètement récupéré." Notre maître m’a encouragé : " Votre qualité d’éveil est vraiment bonne." Un après-midi durant la classe de Chengdu, pendant que Maître enseignait les mouvements au devant, j’ai entendu " pa " et quelqu’un a touché mon cou. Je me suis retourné, mais il n’y avait personne. J’ai aussitôt réalisé que c’était le corps de Loi du Maître. Il purifiait mon corps. Depuis lors, je n’ai plus jamais eu de problèmes de dos. J’étais auparavant dans un inconfort permanent, mais maintenant je n’ai plus aucune maladie. Tout cela grâce la compassion et la purification du Maître. Je ressens vraiment le bonheur que la grâce de Bouddha m’a apporté et la beauté que Dafa m’a apportée.

4. Maître m’a aidé à me débarrasser de mon attachement à ne pas manger de viande

Un élève a dit : “Lorsque j’étais très jeune, je ne mangeais pas de viande. C’était comme une habitude, une idée qui n’est pas juste de ne pas manger de viande. Je ne réalisais pas que c’était aussi une idée humaine ordinaire ancrée depuis longtemps. Une fois à Pékin le Maître nous a invités à manger du canard pékinois. Afin d’éliminer mon cœur humain, le Maître a enveloppé un morceau de viande de canard avec une crêpe et me l’a donné. Il a dit " C’est pour vous. " Je ne pouvais pas refuser quelque chose que le Maître me donnait. Aussi l’ai-je mangé. Après cela, j’ai pu manger de la viande mais n’ai plus développé d’attachement à cela. En fait, en tant que pratiquant nous devrions n’avoir aucune idée fixée ni attachement envers quoi que ce soit dans ce monde. Lorsque nous avons faim, nous devrions manger ce qu’il y a. Dans le passé, je pensais que c’était un attachement de manger de la viande, je n’aimais donc pas la viande et n’y touchais pas. Mais en fait, mon attitude était aussi un attachement. N’avoir aucune idée humaine, suivre le cours de la nature, c’est là la véritable conduite pour un pratiquant."

IV.Un enfant heureux

1. Maître a purifié le corps d’un enfant en France

En juillet 1994 à la seconde classe à Dalian, j’ai vu quelque chose de miraculeux. Maître a purifié le corps d’un enfant en France. Cet enfant avait été frappé par une étrange maladie, qui le rendait incapable de bouger ou de marcher. Il restait étendu chaque jour sur son lit dans un état végétatif. Afin de le soigner, toute la famille a cherché partout le bon docteur et le bon traitement, mais tous leurs efforts sont restés vains. Ils ont prié pour de l’aide mais rien ne s’est produit. Un pratiquant de Qigong a dit qu’une pratique appelée Falun Gong, enseignée en Chine, pouvait traiter l’enfant. Alors le grand-père et le père ont pris l’avion jusqu’à Pékin et demandé pour le Falun Gong partout où ils allaient. Quelqu’un leur a dit que le Maître du Falun Gong, Li Hongzhi se trouvait à Dalian où il enseignait la Loi. Alors, ils ont fait le voyage jusqu’à Dalian et trouvé le Maître.

D’abord, ils ont parlé de la maladie à Maître Li, puis des symptômes. Le Maître leur a demandés s’ils avaient apporté une photo de l’enfant. Ils ont dit qu’ils n’en avaient pas. Alors, le Maître leur a demandé de penser à l’enfant. Pendant qu’ils pensaient à lui, Maître a immédiatement su à quoi l’enfant ressemblait et a dessiné dans l’air à côté de Son bureau l’ image d’un enfant. Après Il a commencé à faire des mouvements, comme s’Il tirait des ficelles du corps de l’enfant. Chaque fois qu’Il tirait une ficelle, Il la brisait en morceau avec Ses mains. Après un moment, Maître a cessé et a dit aux deux français : "l’enfant va bien maintenant." Parce qu’il n’y avait pas de téléphone disponible, il était impossible de contacter immédiatement la famille en France. Lorsqu’ils sont retournés à l’hôtel, ils ont appelé leur famille. Leur famille a dit : " Pourquoi avez vous mis si longtemps pour nous appeler ? vers 8h ce matin, une lumière dorée brillante est venue du dehors et a allumé le corps de notre enfant. Après un moment, il a ouvert les yeux et dit : " Maman que se passe-t-il ? " Puis il a pu bouger et sortir du lit. Il peut marcher à présent. " La mère de l’enfant était très heureuse. En entendant que leur enfant s’était remis, les deux français étaient extrêmement heureux. Ils ne cessaient de remercier le Maître et ont demandé à prendre une photo avec Lui. En prenant la photo, le Dieu en lequel ils croyaient, a aussi manifesté Son image sur le mur. Cela m’a fait reconnaître et ressentir la compassion du Maître et la grande puissance qui peut tout faire.

2. Un enfant retardé devient immédiatement normal

Un disciple nous a dit quelque chose qui s’est passé avant que le Maître ne parte après la troisième classe à Dalian. Il a dit que le 30 décembre 1994, Maître a donné un enseignement au Stade de Dalian. Douze mille personnes étaient présentes à la conférence, la dernière que le Maître a donné en Chine, et aussi celle devant le plus grand nombre de gens. Le jour suivant, quelques disciples, y compris moi, sommes allés à l’aéroport dire au-revoir au Maître. Alors que Maître était sur le point d’enregistrer, un disciple s’est précipité avec un enfant. Ils voulaient voir le Maître. Quand Maître s’en est aperçu, Il est allé à leur rencontre. L’enfant paraissait un peu retardé. Son esprit ne semblait pas normal, pas clair. Sur son front il y avait un petit point rouge. Maître a regardé l’enfant, puis il a touché sa tête avec Sa main. Les yeux de l’enfant sont immédiatement devenus normaux et sa bouche s’est aussi réajustée. Le point rouge a aussi disparu. Il est devenu un enfant normal et semblait aussi très intelligent. Ceux qui étaient là ont tous été d’accord que c’était vraiment miraculeux !

V. Les merveilles et le mystérieux pouvoir de Dafa

Un pratiquant a enregistré les souvenirs suivants –

1. Il ne pleuvait que derrière notre voiture

Après la première classe à Dalian, nous avons emmené le Maître en voiture à Jinzhou le 4 avril 1994. Le matin suivant à 8h environ, nous sommes arrivés à Yingkou. A ce moment, il a commencé à pleuvoir. Nous voulions trouver un restaurant pour prendre un petit-déjeuner, mais il pleuvait si fort que je pensais qu’il serait difficile de partir à ce moment. Je voulais attendre jusqu’à ce que la pluie s’arrête. Maître connaissait mon cœur et m’a demandé : " Qu’y a-t-il ? " J’ai dit à contre-cœur : " Maître, regardez ce temps. Pouvons nous partir maintenant ? " Cependant la classe à Jinzhou devait commencer le jour même. Comment l’enseignement de la Loi pouvait il être empêché par la pluie ? Maître y a réfléchi quelques instants puis il m’a dit : " D’accord, demandons à la pluie de cesser. " J’étais vraiment surpris alors et ne pensais pas que cela fut possible (je ne savais pas alors qui était vraiment le Maître. Je pensais qu’il était juste un maître de qigong parmi d’autres.) Maître n’a rien dit mais se tenait à l’entrée du restaurant semblant parler d’une étrange façon, comme si Il s’adressait au ciel.

En prenant le petit déjeuner avec le Maître, je lui ai demandé, " Maître, pourquoi la pluie n’a-t-elle pas cessé ?" Maître a dit " Hmm, elle s’arrêtera dans un moment. " Après le petit déjeuner, la pluie a diminué peu à peu. Après que nous soyons montés dans la voiture, j’ai demandé à nouveau : " Maître, quand la pluie va-t-elle cesser ?" Maître a dit : "Après que nous ayons parcourus encore 1 km." J’ai pensé pour moi-même :" compte tenu de ce qu’il tombe à présent, s’il pouvait s’arrêter de pleuvoir après trois kilomètres ce serait déjà formidable." Mais la réalité m’a surpris. Vraiment, après que nous ayons fait encore un kilomètre, le ciel devant nous est devenu clair. Je suis resté sans voix. J’ai dit au Maître, "Maître, vous êtes si mystérieux. Vous lui avez demandé d’arrêter de pleuvoir, il a vraiment cessé de pleuvoir." le Maître a indiqué le ciel devant nous et m’a dit : "tu vois les nuages là-bas ? Le nuage blanc est un dragon de la mer Bohai, le jaune est un dragon de la mer Huanghai. Ces deux dragons sont de service. Aujourd’hui il doit y avoir de la pluie. S’il n’y a pas de pluie du tout, les dragons ne pourront pas expliquer pourquoi ils n’ont pas fait pleuvoir, et ils pourraient avoir fait quelque chose de mal. Alors que devrions nous faire ? Faisons un compromis, demandons leur de laisser pleuvoir derrière notre voiture. " C’était la première fois que je rencontrais un événement aussi mystérieux dans ma vie. Si je ne l’avais pas vu de mes propres yeux, je n’aurais pas cru que c’était vrai.

2.Au milieu des vagues il y avait une route droite

Durant la seconde classe à Jinzhou, quelques autres disciples et moi-même avons accompagné le Maître visiter le temple au Mont Bijia. Le Mont Bijia est situé dans la mer. Lorsque la marée n’est pas trop haute, il est possible d’y aller en voiture. Lorsque c’est marée haute, on ne peut traverser qu’en ferry. Lorsque nous sommes arrivés là, la marée était très haute, donc nous ne pouvions aller là-bas qu’en bateau. Le bateau que nous avons pris était petit et les vagues immenses. J’ai pensé en moi-même : " Je peux nager, donc si quelque chose de mauvais arrive, je peux sauver les autres personnes. " Alors je me suis assis au bord du siège. Maître connaissait mes pensées et m’a souri, comme s’Il reconnaissait mes pensées. Lorsque le bateau s’est arrêté, Maître a pointé devant nous et m’a dit " Regarde devant. " J’étais très surpris de ce que je voyais. J’ai vu, droit devant le bateau, apparaître un chemin dans la mer. De chaque côté du bateau, les vagues étaient plus élevées que le bateau lui-même, pourtant à l’avant du bateau, la mer paraissait comme une route droite, et aussi calme qu’un lac sans vent. Notre bateau est vite arrivé à bon port au Mont Bijia.

Traduit de l’anglais de :
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2006/4/25/72410.html

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