Le pouvoir de la méditation

Le six juin, Clearwisdom rapportait que l’Islande refusait toute demande de visa aux détenteurs de passeports chinois et taiwanais, pendant la visite de Jiang jusqu’au 18 juin. Inutile de dire que cela est similaire à d’autres visites de dignitaires chinois à l’étranger en ceci que cela se fait à la demande des dignitaires en visite.Ma première pensée en entendant ces nouvelles a été que Jiang est à présent vraiment effrayé . Ce n’est pas la peur qu’une personne normale ressent parfois, mais quelque chose qui donne vraiment des frissons à Jiang, une appréhension ou un désespoir qui s’empare de lui, le conduisant à se comporter de manière totalement irrationnelle et ridicule.La peur qu’a Jiang du Falun Gong semble être profondément enracinée.

Dès 1999, lorsque la campagne de persécution commençait juste, il s’affairait au Sommet Asie-Pacifique en Nouvelle Zelande, distribuant à chaque dirigeant national des brochures calomniant le Falun Gong. Sa soumission posait la question de savoir s’ il avait vraiment confiance dans son pouvoir d’« éradiquer le Falun Gong en trois mois. »

Depuis lors, presque trois ans ont passé, et le Falun Gong s’est développé rapidement dans le monde entier. Maintenant, avec leurs constants appels et leurs efforts tenaces pour clarifier la vérité, Jiang craint de plus en plus les omniprésentes personnes du Falun Gong lorsqu’il voyage à l’étranger. Dans ces circonstances, ses demandes aux pays qui l’accueillent sont de plus en plus ridicules – au point qu’il a demandé au gouvernement allemand de s’assurer qu’aucun pratiquant de Falun Gong n’apparaisse vêtu de bleu ou de jaune dans son champ de vision, qu’il fait pression sur le gouvernement Islandais cette fois-ci pour qu’il interdise l’entrée du pays à chaque chinois. On ne peut pas s’empêcher de se demander si ces actions conviennent à son statut de chef d’état ? cela aide-t-il la Chine a jouer un rôle plus actif dans les affaires internationales ? Que ce soit du à la courtoisie de l’hôte où à des intérêts économiques en perspective, les pays qui l’accueillent peuvent s’être soumis à ses demandes irrationnelles, mais la Chine a du payer un prix fort pour la paranoïa de Jiang, car ce qu’il a apporté au pays n’est définitivement pas le respect.

Ces quelques chinois d’outremer qui ont été temporairement trompés et manipulés ont déjà compris l’irrationalité de cette campagne de persécution et la faiblesse du groupe de jiang – parce qu’ils ont dit dernièrement à ces pratiquants que leurs actions pacifiques feraient, aussi étrange que cela soit, « s’effondrer la Chine. » Naturellement, la « Chine » pour la destinée de laquelle ils s’inquiètent n’a rien à voir avec la vraie Chine ni avec le peuple Chinois. En réalité, pour eux la Chine est juste un autre nom pour le gang dictatorial de Jiang. Cela pose une question intéressante : n’est-il pas éloquent, qu’en dépit de leur monopole sur les ressources politiques, économiques et militaires d’un pays aussi vaste que la Chine, des gens pensent en fait qu’ils pourraient être « renversés » par la méditation de personnes qui n’ont jamais frappé en retour lorsqu’on les frappait ni rendu les insultes lorsqu’on les a insultés et qui croient en un tel principe : « Vérité-Compassion-Patience ? »Pour les pays démocratiques, cela représente un défi aux valeurs auxquelles nous tenons le plus, à savoir la liberté et la démocratie. Même pendant la Guerre Froide, lorsque la puissante Union Soviétique a fait des visites d’état, elle n’a jamais fait de demandes aussi ridicules à ses hôtes. Il semble que Jiang ait déjà commencé à diriger les gouvernements occidentaux et à leur dire comment ils devaient diriger leurs pays, c’est à dire que ces gouvernements doivent traiter ceux qu’il a en défaveur de la même façon que lui. Ainsi, la police Allemande a interdit aux gens portant des tee shirts bleus de marcher dans la rue, chaque employé d’origine asiatique descendu à l’hôtel où Jiang habitait pendant sa visite a du partir le t emps de son séjour. L’Islande a refusé d’accorder des visas à chaque visiteur chinois. Nous devons nous demander à nous-mêmes, lorsque nous nous courbons devant l’insanité d’un tyran, ne sommes nous pas prés de perdre la liberté démocratique que nous chérissons tant ?Aujourd’hui, Jiang ne force pas seulement les Chinois, mais aussi chaque gouvernement dans le monde à faire un choix sur la question du Falun Gong. Ceci nous rappelle ce qui s’est passé en 1930, lorsque l’Europe essayait de rester neutre face au règne de terreur d’Hitler cela n’a fait qu’attiser la flamme de la destruction qui a engloutit le continent tout entier. De la même façon, lorsque que maintenant nous sommes en présence des forces les plus perverses dans le monde, il ne reste pas beaucoup de temps pour faire un choix.

Posting date: 6/17/2002Original article date: 6/17/2002Category: Views on CultivationChinese version available at http://www.minghui.org/mh/articles/2002/6/8/31421.html