Les larmes et le sang de Dalian : La persécution de la pratiquante de Dafa Mme Sun Yan, 2ème partie (Photos)

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Cet article est la suite de la 1 ère partie :
http://fr.clearharmony.net/articles/200510/22460.html

Au mois d’avril de l’année 2000, le mari de Sun Yan, M. Lu Kaili, s’est rendu à Pékin pour faire appel en faveur du Falun Gong et a été illégalement condamné à une année de travaux forcés. Il a été détenu au camp de travaux forcés de Masanjia. Avant que sa peine soit expirée il a été transféré au camp de travaux forcés de Dalian. A son arrivée au camp de travaux forcés, pendant l’après midi il a été torturé par les gardiens et les détenus qui ont essayé de le forcer à renoncer au Falun Dafa. Il a enduré la persécution fanatique et les persécuteurs ont illégalement rallongé sa sentence de six mois. Après avoir été relâché il a été surveillé et suivi.

Au mois de novembre 2001, Sun Yan a été envoyée au centre de détention de Yaojia et a plus tard été transféré au camp de travaux forcés de la ville de Dalian. Lu Kaili a été détenu au camp de travaux forcés de Guanshan.

Sun Yan a été détenue dans la 3e division du camp de travaux forcés de Dalian. Elle a refusé d’être « réformée » et a « clarifié la vérité » au chef de la division. Elle a été détenue dans une cellule solitaire et sauvagement torturée. Wan, la chef de la division, l’a électrocutée avec des matraques électriques. Le chef de la division Han et le chef politique Tan ont incité les détendues à la battre. Ils l’ont dévêtue et ont frotté une corde rêche d’avant en arrière contre ses parties géniales, du sang a coulé sur le sol. Ils l’ont suspendue à une cage métallique, ont écarté de force ses jambes et ont inséré des piments forts dans son vagin. Yuan Lingyue, chef du groupe 3 a battu Sun Yan et d’autres pratiquantes de Dafa de nombreuses fois. Ils ont torturé Sun Yan dans la cellule d’isolement parce qu’elle a refusé d’écrire la déclaration de garantie de renoncer au Falun Dafa.

Au début de l’année 2002, beaucoup de pratiquantes, dont Sun Yan, ont fait ensemble une grève de la faim pour protester contre la persécution. Les gardiens étaient furieux et ont ordonné aux détenues de torturer les pratiquantes avec la méthode dénommée les « jambes écartées. »

Les jambes écartées : le pratiquant est suspendu. Les détenus attachent le haut d’un casque de boxe sur la tête d’un pratiquant à l’aide d’une corde ou de bande de draps, puis attachent le casque au sommet de la cage. Les mains du pratiquant et une jambe sont soulevées à la verticale en enchaînées ou attachées sur le coté de la cage alors que l’autre jambe est laissée pendante dans l’air. Les détenus tirent alors sur la jambe jusqu’à obtenir un angle de 180 degré. Ils relâchent la jambe lorsque le pratiquant s’évanouit et répètent l’opération lorsqu’il ou elle revient à lui. Tout en appliquant cette torture les détenus demandent au pratiquant « acceptes-tu d’être réformé ? » et ils crient « Si tu ne te laisses pas réformer, nous écartèlerons tes jambes jusqu’à ce qu’elles se brisent ! » Les pratiquants qui subissent cette torture ont l’impression que leur corps est coupé en deux et ils perdent souvent la sensation de leurs jambes ou même s’évanouissent. Les détenus disent alors « elle ou il ne peut plus rien sentir maintenant, attendons un moment et nous recommencerons. » Certains pratiquants n’ont plus été capables de marcher pendant des semaines, un mois, voir même six mois après cette torture. Les pratiquantes Wang Lijun, Man Chunrong, Zhong Shujuan, Sun Yan, Wang Shuhong, Wang Binhua et Wan Xiaohui ont été torturées de cette manière. Les persécuteurs Zhang Xiujuan, Gao Binling, Sun Bo, Guo Ling, Zhao Hui, Wang Xin, Ge Hong et Zhang Yang ont administré cette torture.

Ci dessous vous pouvez voir des recompositions photographiques des tortures appliquées contre Sun Yan et d’autres pratiquantes de Dafa dans le camp de travaux forcés de Dalian.

Recomposition des gavages de force avec des piments forts ou des excréments humain

Beaucoup de pratiquantes ont fait ensemble une grève de la faim pour protester contre les maltraitances imposées dans la persécution. Les détenues ont aussi torturé les pratiquantes par la torture nommée « couper le bassin en deux » : ils suspendent les pratiquantes et leur écartent les bras et les jambes de telle sorte qu’elles soient perpendiculaires, puis ils insèrent un bâton ou des piments forts dans le vagin et les battent brutalement. Ils versent aussi de l’eau bouillante sur les pratiquantes, ne les autorisent pas à dormir, les forcent à rester debout les pieds nus avec la fenêtre ouvert, ils laissent volontairement le tube de gavage de force dans l’estomac des pratiquantes pendant un long moment et ils menottent les pratiquantes à un lit. Les pratiquantes Wang Lijun, Sun Yan et Man Chunrong ont été sauvagement torturées. Zhang, le chef du camp de travaux forcés, Han et Wan, chefs de la division et le chef de groupe Yang ont personnellement battu les pratiquants de Falun Gong. Zhang a dit « Donc, vous voulez parler de la perversité ? Moi, je suis pervers ! »

Recomposition photographique : de l’eau brûlante est versée sur les pieds Recomposition photographique: frapper le pied avec une planche d’où dépassent des clous

Sun Yan et Man Chunrong ont été torturées de nombreuses fois alors qu’elles faisaient la grève de la faim et refusaient de coopérer avec les persécuteurs. Sun Yan a été suspendue dans une cage pendant six jours et six nuits ses mains et ses pieds étendus en une seule ligne. Les gardiens ont incité les détenues à insérer des piments forts et du poivre en poudre dans son vagin et à frotter son vagin avec le manche d’une serpillière. Elles ont frappé ses parties génitales avec le bout d’une chaise jusqu’à ce que du sang coule le long de ses jambes. Elles ont frotté ses parties génitales avec une corde rêche jusqu’à ce que son vagin face une hémorragie et enfle. Elle n’est plus parvenue à uriner et a été infirme pendant plus d’une année. Ses doigts ont été tellement déformés par la torture qu’elle ne pouvait plus fermer son poing. Malgré son état elle a encore été forcée de fabriquer des objets et d’atteindre le quota quotidien.

La pratiquante Chang Xuexia a eu son vagin répétitivement frotté avec une brosse à chaussure jusqu’à ce que le bassin d’eau posé en dessous ait viré au rouge à cause du sang. Elle a perdu conscience. Les pratiquantes Chen Hui, Fu Shuying, Man Chunrong, Wang Lijun, Fan Yue et d’autres ont aussi été torturées de cette manière.

Recomposition : frotter le vagin de la pratiquante avec une brosse à chaussure Recomposition : frotter les parties génitales de la pratiquante avec une corde rêche

En 2003 Sun Yan a crié « Falun Dafa est bon » lorsque des fonctionnaires du bureau judiciaire de la province de Liaoning se sont rendus au camp de travaux forcés pour inspecter leur travail. Les gardiens et les détenues l’ont traînée dans une cellule solitaire et l’ont torturée pendant plus de dix jours jusqu’à ce que ses pieds soient gravement blessés et qu’elle ne puisse plus marcher.

Sun Yan a refusé d’abandonner sa croyance dans Authenticité-Bienveillance-Tolérance. La chef de groupe Yuan Lingyue l’a emmenée dans une cellule solitaire et l’a torturée sur le lit de la mort. Ils ont étendu ses bras et ses jambes pour causer des douleurs effroyables. Ils ont inséré du poivre fort dans son vagin et ont frotté son vagin avec une brosse à chaussure jusqu’à ce qu’elle perde conscience. Le corps de Sun Yan a souvent eu des nouvelles blessures par-dessus les anciennes. Son visage était souvent noir et bleu lorsqu’elle était traînée hors de la cellule solitaire et elle était extrêmement faible. Pendant plus de deux ans passés au camp de travaux forcés, Sun Yan a été estropiée et elle ne pouvait plus plier ou étendre ses doigts. Les gardiens ont écrit le nom du fondateur du Falun Gong sur son corps et l’ont insultée avec un langage extrêmement vulgaire. Ils ont envoyé Mme Sun Yan et deux autres pratiquantes de Falun Gong au camp de travaux forcés de Longshan. Le persécuteur Yuan Lingyue a planifié son transfert.

Recomposition photographique : le lit de la mort Recomposition photographique : grande suspsension

En plus de persécuter personnellement les pratiquantes, les gardiens du camp de travaux forcés de Dalian encouragent aussi les détenues à torturer les pratiquantes en leur promettant des réductions de peines. Les détenues Zhang, surnommée Spike, est très brutale et est spécialisée dans la torture des pratiquantes de Falun Gong dans les cellules solitaires. Elle est devenue plus cruelle et plus effrontée après avoir été entraînée par les autorités du camp de travaux. D’autres détenues dont Sun Bo, Guo Ling, Wang Xin et Ge Hong ont aussi appliqué les tortures mentionnées ci-dessus à l’encontre des pratiquantes. Les gardiens tiennent les détenues pour responsables quand il arrive quelque chose aux pratiquantes.

Le PCC fait de grands efforts pour présenter ses prisons et ses camps de travaux forcés sous un éclairage favorable, dans le but de cacher les atrocités qui y sont commises. Le PCC a invité des médias étrangers à visiter certaines prisons et des camps de travaux forcés après les avoir décorés.

Sun Yan a persisté dans Authenticité-Bienveillance-Tolérance malgré la persécution fanatique. Les gardiens et les détenues n’ont pas pu briser sa volonté. A la fin les gardiens ont rallongé la peine de Sun Yan de 50 jours et l’ont envoyée dans le camp de travaux forcés de Guanshan.

Traduit en Suisse de l’anglais le 16 octobre 2005

Version chinoise disponible à :
http://minghui.org/mh/articles/2005/8/30/109381.html

Version anglaise disponible à :
http://clearwisdom.net/emh/articles/2005/10/12/65801.html

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