La police de la ville de Dalian, « La loi ça n’est que pour la façade »

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La police de la ville de Dalian, « La loi ça n’est que pour la façade »


Par des pratiquants de Dafa en Chine
Chaque année en Février et Mars, lorsque les gens étaient en train de fêter le Nouvel An Chinois et que le Congrès National du Peuple tenait sa session, le régime de Jiang menait une chasse à l’homme et une campagne d’arrestation illégales et à grande échelle. Plus de 100 pratiquants de Falun Dafa locaux, allant d’un homme de 79 ans à des mères qui allaitent étaient arrêtés. Même les policiers eux-mêmes pensaient que cette activité était illégale et mauvaise. Durant la visite du Président George W. Bush, le régime de Jiang a prétendu que les gens qui avaient des croyances religieuses étaient arrêtés parce qu’ « ils avaient enfreint la loi. » Veuillez s’il vous plaît considérer ces faits, et juger par vous même qui a enfreint la loi.

1. Inculpations pré-déterminées, Imposer des amendes arbitrairement
Entre les 7 et 9 Février, 2001, le personnel du Département de Police Shahekou de la ville de Dalian a arrêté de 80 à 90 pratiquants de Falun Dafa sur des inculpations pré-déterminées. Tout pratiquant qui voulait continuer à pratiquer Falun Dafa ou refusait de reconnaître la diffamation de Falun Dafa serait envoyé au Centre de Détention de Yaoija pour 15 jours de « détention administrative ».Pas un seul pratiquant n’a enfreint quelque loi que ce soit. La police posé à chacun trois questions : D’abord, « Pratiquez-vous le Falun Gong ? » deuxièmement, « Acceptez vous les accusations contre le Falun Gong ? » Troisièmement, « Quelle est votre opinion sur l’incident de l’auto-immolation ? » Tous les pratiquants étaient très clairs dans leurs réponses. Ils ont dit aux policiers qui les interrogeaient que le Falun Dafa était vertueux, que l’incident de l’ « auto-immolation » était mis en scène par le gouvernement pour en accuser Falun Dafa et n’avait rien à voir avec les pratiquants de Falun Gong.

Les pratiquants ont été accusés de « perturber l’odre social » pour avoir donné ces réponses aux trois questions. Les officiers de police ont rit lorsqu’il leur a été demandé quelles dispositions de la loi avaient été enfreintes. Tout en riant, les officiers ont dit aux pratiquants de Falun Dafa qu’ils suivaient les instructions des autorités du plus haut niveau. Un pratiquant de Falun Dafa a mis en avant que le porte-parole du Gouvernement Central prétendait que le Gouvernement Chinois n’arrêtait pas une seule personne simplement pour la pratique du Falun Gong. Les officiers de police ont répondu qu’ils ne lisaient pas les journaux, les journaux sont pour les gens ordinaires, et eux suivaient les ordres. Les cadres de la police ont révélé qu’ils avaient un quota fixé par leurs supérieurs et qu’ils devaient le remplir sinon ils perdraient leur job. De plus, quelqu’un du bureau de police a dit que les ordres des supérieurs étaient illégaux et qu’il n’y avait pas de documentation écrite. Tous les ordres étaient donnés oralement. Les Bonus seraient révoqués s'il n’y avait pas d’actions. Il y a eu une chasse à l’homme et une arrestation de nouveau les 8 et 9 Février 2002. Cette fois une seule question a été posée : « pratiquez-vous ou non [le Falun Gong] ? » Si la réponse était oui, le pratiquant était arrêté. L’accusation était « perturbation de l’ordre social » et la condamnation serait d’un mois de détention criminelle. Comme de nombeux pratiquants de Falun Dafa […] ont refusé de coopérer et ont résisté aux actions malignes, seulement 2à à 30 pratiquants ont été arrêtés. Cependant, environ 200 disciples de Dafa ont été harcelés. L’un d’eux a été forcé de sauter du haut d’un bâtiment et est mort [voir les détails ci-dessous]

2. Fouler aux pieds les Droits de l’Homme, Mépriser la Loi, Manifester un comportement obstiné
Au moment où le Congrés du Peuple tenait sa session et où avait lieu la Commission des Droits de l’Homme aux Nations-Unies, de nombreux pratiquants de Falun Dafa étaient arrêtés. Cette action était méprisable et surprenante. Veuillez s’il vous plaît considérer les faits suivants.
Le mari d’une femme âgée de 68 ans ne lui a pas permis de quitter la maison après le 20 juillet 1999. Son voisin est un pratiquant de Falun Dafa. la police est venue arrêter le voisin, mais il n’y avait personne à la maison. Ils ont frappé à leur porte et demandé où était le voisin. La police a également demandé si elle pratiquait le Falun Gong. La femme était un peu effrayée et a répondu qu’elle l’avait pratiqué. Elle a été emmenée à la station de police. En enregistrant l’interrogatoire sur le papier, la police demanda se elle continuait à pratiquer. Elle a répondu qu’elle ne pratiquait plus. Elle leur a dit cependant que, lorsque son mari ronflait très fort et qu’elle ne pouvait pas dormir, elle aimait s’asseoir en position de lotus et méditer. « Cela signifie que vous pratiquez, » répliqua l’officier de police. La femme répondit que les moines méditaient aussi. « Les moines peuvent méditer, mais pas vous, » a répliqué l’officier de police. La police demanda aussi si elle était d’accord avec l’allégation du gouvernement contre le Falun Gong. La femme a immédiatement arrêté l’officier de police, « Jeune homme, c’est le Fa [Loi et principes] juste. Tout ce dont il parle est d’être une bonne personne et de faire de bonnes choses. Comment pourrai-je parler contre ma conscience ? » L’officier de police l’a interrogé à propos de l’incident de l’auto-immolation. La femme a répondu : « je ne regarde jamais la TV. Mais j’ai regardé l’histoire de l’auto-immolation parce mon mari voulait m’ « éduquer ». je l’ai regardé avec attention mais j’ai découvert que c’était un faux. » La femme a continué « J’ai presque 70 ans. Pourquoi vous mentirai-je ? » L’officier demeurait silencieux. Après un moment ils ont dit à la femme que ce qu’elle venait de dire suffisait à la mettre en prison. Parce qu’elle était une femme âgée, ils pouvaient la laisser partir à condition qu’elle injurie le Falun Dafa et Maître Li. La femme refusa. La police changea son âge de 68 en 38 ans et l’envoya au Centre de Détention de Yaojia.
La moitié des gens qui ont été arrêtés étaient âgés, comme la femme dont je viens de parler. Certains d’entre eux étaient arrêtés alors qu’ils allaient visiter leurs belle-fille à l’hôpital, qui venait juste d’accoucher, portant des présents ou des fruits. La plupart étaient arrêtés chez eux, alors qu’il faisaient la cuisine, ou le ménage, ou surveillaient leurs petits-enfants, qui étaient aussi emmenés par la police. Certains d’entre eux avaient des fils ou des filles qui avaient quitté le pays depuis longtemps et venaient juste de rentrer, et ils étaient arrêtés avant d’avoir la chance de parler à leurs enfants […]
Un pratiquant prenait soin d’un vieux patient chez lui. La police est entrée et a voulu emmener le pratiquant. Celui-ci a demandé à la police qui pensez-vous « s’occupera de ce malade si vous m’emmenez ?» la police a répliqué qu’ils contacteraient un autre membre de la famille, mais le pratiquant devait les suivre. Alors le pratiquant demanda à la police, qui était celui qui brisait les familles, qui emmenait les membres des familles et même étaient responsables de leur mort, qui pensaient-ils empêchait l’affection familiale ? les officiers de police ont dit , « c’est notre tâche de t’enfermer et tu dois nous suivre ; » Le pratiquant exposa d’une voix forte l’action mauvaise de la police en disant, « Ils ne veulent pas me laisser prendre soin du vieux malade. Ils l’ont enfermé dans la chambre et ont insisté pour m’emmener. » Les voisins ont condamné l’inhumanité de la police, en disant que la propagande TV accusant le Falun Gong de choses comme des comportements illégaux, ou de ne pas avoir d’affection était tous des mensonges. La police prit un expression déconfite face à ces accusations mais emmena quant même le pratiquant.
La plupart des jeunes pratiquants étaient emmenés de leur travail. On faisait monter certains de force dans un véhicule de police sur leur chemin pour aller travailler. Une mère a été emmenée alors qu’elle allaitait son enfant.
La police a arrêté les pratiquants sans passer par aucune procédure légale. Bien plus, durant les arrestations massives du 8 et 9 Février 2002, c’est l’action de la police de faire irruption dans l’appartement d’un pratiquant qui a fait que ce pratiquant est tombé du haut du bâtiment. Mais la police a dit que c’était un suicide. Les membres de la famille croyaient la police au début. Trois jours plus tard à la crémation du pratiquant, de nombreux officiers de police sont aussi apparus pour filmer la cérémonie en vidéo. Environ 50 proches de la famille ont trouvé cela étrange et demandé à la police avec des mots justes, « pourquoi filmez-vous ici ? Qui a approuvé cela ? » La famille exigea qu’ils lui donnent la cassette vidéo. Lorsqu’ils ont eu la cassette, ils ont repensé à ce qui était arrivé et ont eu des doutes. Considérant la porte brisée chez le pratiquant et voyant l’apparence effrayée de la personne décédée, ils ont alors décidé contre le droit de crémation. Le corps était alors gardé à l’hôpital de la ville de Dalian sous le contrôle de la police. La police n’a permis à aucun des proches de le voir. Les officiers avec la conscience coupable ont remplacé la porte, et ont alors insisté auprès de la famille pour emporter la porte cassée. La famille n’a pas coopéré avec eux et à insister pour faire appel selon la loi.
Le régime de Jiang ne fait qu’utiliser la forme d’opérer sous un système légal mais il mène des actes totalement illégaux. Ces personnes piétinent à volonté le système légal sans parler de droits de l’homme.

3. Violer la loi en connaissance de cause, et se soustraire à la responsabilité mutuellement.
Pour ces deux arrestations massives, aucune police n’a osé se servir des « articles de la loi » contre les pratiquants de Falun Gong, parce qu’aucun terme légal ne pouvait s’appliquer. Lorsque certains pratiquants ont demandé les « articles de la loi », la police a dit qu’ils ne faisaient que ce que leur ordonnait la plus haute autorité. Les pratiquants ont demandé pourquoi le gouvernement promulguait des lois. La police a répliqué, « Quelle loi ? La loi n’est que pour la façade. Nous obéissons aux instructions d'en haut. Il n’y a pas de loi à discuter. Nous ne parlons pas de loi avec le Falun Gong. » Quelques policiers ont dit, « regardez votre Falun Gong. D’abord vous ne renversez pas le parti communiste, de plus vous ne destituez pas le régime de Jiang, toujours à parler d’Authenticité, Compassion et Tolérance et d’être une bonne personne. De nos jours vous n’êtes pas autorisé à être une bonne personne. Si tout le monde devient une bonne personne, ces mauvaises gens au pouvoir ne perdraient ils pas tout crédit ? Tout ça c’est la faute de Jiang. Ce n’est pas notre affaire. Nous ne sommes que les outils, et nous ne faisons que suivre les ordres des plus hautes autorités. » les pratiquants ont répliqué, « Nous ne nous mêlons pas de politique, nous ne faisons que dire la vérité aux gens, dire aux gens que Falun Dafa est […] pour promouvoir le bien-être de l’espèce humaine. »

Les familles de certains pratiquants croyaient les histoires à la télévision et dans les journaux et pas aux documents de clarification de la vérité. Après avoir fait l’expérience de ces arrestations illégales et avoir vu la vérité en personne, ils ont réalisé que les diffusions TV et les journaux mentaient. Ils ont cessé d’aider la police à surveiller les leurs comme ils le faisaient auparavant, et sont revenus à la raison avec la police et ont demandé la libération de leurs proches. Ils ont critiqué la police : « Ce que vous avez dit et fait est en total désaccord avec ce qui est décrit dans les diffusions télévisées et les journaux. Comment pouvez-vous déformer les faits à ce point ? Vous connaissez la loi et vous violez la loi ! Notre pays pourrait être ruiné si vous mettez tout en désordre ! » La police a répliqué, « C’étaient les instructions des plus hautes autorités, elles ont assigné la liste des noms des personnes à arrêter, même les questions ont été définies et agréées par les plus hautes autorités. Nous ne faisons qu’obéir aux instructions. Vous pouvez aller demander aux hautes autorités. « certains membres des familles ont contacté ces autorités mais on leur a répondu, « Les postes de police de rue ont tout mélangé, vous ne devez pas aller à leur encontre, nous essaierons de vous en tirer. Il a à présent été stipulé que tant que vous dîtes que vous pratiquez [le Falun Gong], vous serez traité de telle façon. » Les membres des familles ont demandé, « Où est la loi , » (Montrez moi la loi). Ils n’ont pas pu l’expliquer. Ils ont dit « les plus hautes autorités » leur ont ordonné d’agir ainsi. Ils ont tous reconnu qu’ils étaient en train de violer la loi, mais personne n’a osé prendre la responsabilité.

Les pratiquants de Falun Dafa aujourdh’ui expliquent la vérité au public. Risquant leurs vies, ils clarifient la vérité à chacun. C’est aussi être pleinement responsable envers la société, et envers nôtre nation. Ici, nous appelons les gens de cœur dans le monde entier à défendre la justice, préserver les droits humains, soutenir les pratiquants en Chine continentale, et empêcher le groupe criminel de Jiang d’ignorer la loi et de fouler aux pieds les droits de l’homme.

Source: http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/4/20/21163.html
http://minghui.ca/mh/articles/2002/4/11/28269.html


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