Les policiers de la municipalité de Fei dans la ville de Handan lui ont dit : « Nous allons te faire mourir de faim et dire que c’était à cause de la pratique [du Falun Gong]

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Dans le camp de travail forcé de la ville de Handan, un pratiquant de Falun Dafa a été torturé jusqu’à ce qu’il ne pèse plus que 40 kg, mais il a gardé sa droiture d’esprit et n’a pas renoncé (à la pratique du Falun Dafa). Ensuite, les malfaiteurs l’ont envoyé assister à une classe de lavage de cerveau organisée par l’école CPC de la municipalité de Fei, mais il est resté inébranlable. Plus tard, Li Rizeng, un officier de la station de police de Fei, l’a envoyé dans un camp de détention.

Chen est un policier particulièrement haineux du camp de détention de la municipalité de Fei, il incite toujours les prisonniers à battre les pratiquants de Falun Dafa là bas. Un jour, alors que le pratiquant entrait dans une cellule, Chen a dit aux détenus, « Battez-le, c’est un Falun Gong ! » Parfois ces prisonniers utilisaient des tuyaux d’arrosage à haute pression qu’ils dirigeaient vers le pratiquant, remplissant sa bouche et ses oreilles d’eau glacée. Parce que le pratiquant s’est mis en grève de la faim, Chen l’a frappé à l’aide d’une matraque électrique pour le forcer à manger. Chen l’a roué de coup sur tout le devant du corps comme sur l’arrière, mais ni l’une ni l’autre façon n’a fait céder le pratiquant. Ensuite, Chen a demandé à des prisonniers de le forcer à avaler de l’eau salée. Après avoir ouvert sa bouche de force avec la brosse des toilettes qui était recouverte d’excréments, l’eau salée est remontée par son nez et sa bouche. Il a craché du sang et du pus. Quand les malfaiteurs ont fini par retirer le tube, celui-ci dégoulinait de sang. Ils ont été obligés de mettre le pratiquant sous perfusion car il était en danger de mort. Après la séance de tortures, il avait beaucoup de fièvre, son corps était odorant et ses membres tout froids.

Pendant que le pratiquant était en liberté provisoire chez lui, les autorités ont ordonné à un surveillant associé de la municipalité, à un officier de la station de police, ainsi qu’à un membre intérimaire de l’équipe du village de le surveiller de près, 24 heures sur 24. L’un d’eux a déclaré, « Wang Xingzhao (leur supérieur) nous a dit que ce n’est pas important qu’il soit mort ou vivant, le plus important, c’est qu’il ne disparaisse pas. Pour forcer le pratiquant à renoncer (au Falun Dafa), la police n’a cessé de faire pression sur lui tous les jours et a poussé sa famile, ses amis, ses voisins et ses connaissances à le faire céder. Puisqu’il tenait bon, un policier a menacé son père en ces termes : "Ne le laissez pas manger tant qu’il n’aura pas abandonné la pratique. Ou vous le laissez vivre ou vous le faites mourir, mais ne le laissez pas à demi mourant. Si vous lui donnez à manger, vous allez le payer." Ces policiers pétris de haine ont trouvé que le pratiquant ne récupérait pas assez vite, ils voulaient le renvoyer assister à la classe de lavage de cerveau.

Le soir du 10 septembre, ils ont forcé les membres de sa famille, ses amis et ses voisins à faire pression sur lui. Li Rizeng les menaçait : « Ce soir, c’est votre dernière chance. Si vous refusez, nous allons vous amener au bureau de notre groupe et vous enfermer dans une pièce. Personne ne pourra vous rendre visite, et vous ne pourrez ni manger ni boire. Puisque vous refusez de céder, nous allons dire que c’est à cause de la pratique (du Falun Gong) que vous êtes mort. » Un autre policier a dit : « Dépêchez-vous ! Si vous n’abandonnez pas ce soir, j’écrirai dans le rapport, "n’a pas répondu aux injonctions de la famille et a refusé l’éducation. A coupé les liens avec la famille." Nous allons vous faire céder, que vous soyez mort ou vivant. Ce qui se passe n’a rien à voir avec votre famille. Nous allons faire signer le rapport par votre père et vous enfermer dans le bureau de notre groupe jusqu’à ce que vous soyez mort de faim, ensuite on vous fera passer à la télé où on vous accusera d’être mort de folie à cause de la pratique. » Le pratiquant a dû quitter sa maison le 11 septembre.

Ces êtres dégénérés ont mis en place une session de lavage de cerveau à l’école CPC de la municipalité de Fei, où ils ‘donnent des cours’ aux pratiquants à partir de documents diffamatoires.
Un des membres de l’équipe a dit, « je n’ai pas envie de vous faire un lavage de cerveau, c’est mon patron qui m’a fait venir ici. Je ne peux pas désobéir. » Après la classe, un officiel du système judiciaire a demandé au pratiquant, « ça irait encore si vous étiez vicieux, mais qu’allez vous gagner en faisant la pratique? » On a découvert qu’un autre ‘professeur’ de l’école CPC épiait les femmes pratiquantes après que tout le monde soit parti dormir. Il ne serait pas surprenant que le gang de crapules dirigé par Jiang et Luo utilise ce genre de personnes dégénérées pour faire subir aux pratiquants des lavages de cerveau.
Un policier qui avait une certaine droiture d’esprit a dit aux pratiquants pendant la classe, « les pratiquants qui avaient été libérés après avoir purgé leur peine au camp de travail ont encore été envoyés en camp de détention, où ils ont continué à refuser de céder malgré les tortures et les coups. Maintenant on les amène ici. D’après moi, le système est pourri du haut jusqu’en bas. » Plus tard le pratiquant a été forcé d’errer, sans abri, pour échapper à la persécution. Un matin, il a été arrêté de nouveau alors qu’il suspendant une bannière sur le Falun Dafa. Maintenant il est détenu illégalement au centre de détention local sans qu’on puisse obtenir plus de détails. Si l’on considère les traitements brutaux que ses bourreaux lui ont infligés jusque là, il est à présent dans une situation critique. […]

http://minghui.ca/mh/articles/2002/4/8/28092.html


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