« Les accusations de la part de certains pays à l’égard des conditions des droits de l’homme en Chine sont totalement infondées », a dit Zhang Qiyue, la porte-parole du Ministère des Affaires étrangères chinois.
A la Commission des Droits de l’Homme des Nations unies, le mercredi, Fischer a pressé la Chine d’arrêter ce qu’il a appelé sa persécution des communautés religieuses et l’oppression des minorités ethniques.
Il a également dit que la Chine devrait garantir l’autonomie substantielle au Tibet et arrêter de persécuter les adeptes du mouvement spirituel Falun Gong que la Chine a mis hors la loi et déclaré être une [terme diffamatoire utilisé par le gouvernement chinois] en 1999.
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Des membres du Falun Gong à l’étranger disent que des milliers d’adeptes chinois ont été détenus depuis que le gouvernement à mis le mouvement hors la loi, et prétend que 358 sont morts en captivité, accusation déniée par la Chine..
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Malgré les commentaires de Fischer, il n’était pas encore clair si quelque pays présenterait une résolution formelle au corps principal des droits de l’homme des N.U. condamnant la Chine.
D’habitude, Washington présente une motion, qui est alors bloquée par des manœuvres procédurales de la Chine. Mais cette année, les Etats unis ne sont pas dans la commission des 53 pays parce qu’ils ont échoué à gagner les réélections dans un vote de renversement à New York l’automne dernier.
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