dans ma poitrine quand le criquet chantait
Mais j’ai oublié comme il est dur d'être humain
Qand les hommes craignent les hommes
Et en ont plus peur que des bêtes fauves
Mais j’ai oublié l’erreur qui est en moi
Sable saleté et poussière
J’en ai reconnu l’illusion
Et le cadeau que sont souffrance, solitude et douleur
gratitude pour chaque disgrâce chaque agonie,
Avance vers le soleil levant
Tant de vies ont lutté et souffert,
regardé dans les tombes de mes propres enfants.
Ayant atteint le point de rupture,
Le cœur ne peut plus endurer
Le voyage de retour commence,
La porte s’est ouverte
Dans l’obscurité le cœur tressaille
N’abandonne jamais avant qu’il ne soit temps !
Un froid de glace gagne sous la peau
Essaie d’atteindre la vie
Reste-t-il un chemin à travers le brouillard
Y a-t-il encore le Tao dans le brouillard
Chanter et des soupirs murmurés et des odeurs sacrées,
La voix de Maître : Bienvenue
Le retour chez soi, tout le reste s’évanouit, joie pure.
Mais seulement brièvement.
Retourner encore une fois.
Pour chercher ceux qui se cultivent encore
Source:
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2002/3/17/19864.html
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