Mon chemin

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C'estl’été 1998 que j’ai obtenu le livre Zhuan Falun, tout à fait par hasard. Alors, il ne me serait jamais venu à l’esprit qu’un livre puisse me changer à ce point, comme si quelqu’un m'avait dit"regardes-toi toi-même". C’est alors que j’ai commencé à regarder sincèrement en moi, dans mon cœur, pour la première fois de ma vie.

Mariage

C’est alors que j’ai eu honte. J’avais toujours espéré rencontrer un chevalier avec une armure étincelante, quelqu’un qui me protègerait de tout son cœur et de toute son âme, quelqu’un qui aurait de solides assises financières et une carrière prometteuse.

Durant la première année de mon mariage, nous avons vécu à Beijing. Je n’avais alors jamais été confronté à ce genre d’expérience. Je me sentais tellement étrangère dans cet endroit si peu familier. Tout était si différent de mes espoirs et mes rêves. J’avais l’impression que la vie m’avait laissé tomber. Alors je mettais la pression sur mon mari essayant de le mouler à l’ image que j’avais de l’homme parfait.
C’est alors que ce livre me força à me demander si de mon côté j’étais une bonne épouse !
Je n’avais jusque là jamais douté de la réponse. J’avais d’ailleurs de nombreux traits de caractère qui me qualifiaient de la sorte et tel était mon sentiment. Alors comme j’étais une bonne épouse, j’attendais d’autant plus que mon mari soit un bon époux, qu’il s’accorde avec moi et qu’il me mérite.

Mais lorsque je me suis véritablement posé la question, j’ai réalisé que tous ces traits de caractère n’étaient qu’une apparence de surface. Mais qu’est ce que cela signifiait exactement. Pour cela, il me suffisait de comparer nos cœurs.

Je n’étais pas une bonne épouse lorsque nous étions tous deux très fatigués et qu’il y avait encore de nombreuses tâches domestiques à faire et que j’avais le sentiment qu’il ne m’avait pas assez aidé. Je n’étais pas une bonne épouse lorsque je lui reprochais de laisser traîner ses affaires. Je n’étais pas une bonne épouse lorsque j’étais furieuse qu’il soit fatigué après sa journée de travail et qu’il ne pouvait me tenir compagnie. Je n’étais pas une bonne épouse lorsque je l’enquiquinais et me plaignais de ma vie pas assez confortable, qu’il ne gagnait pas assez d’argent.

En résumé, je n’étais pas une bonne épouse lorsque j’étais malheureuse parce qu’il ne pouvait répondre à mon attente de comment un mari doit être.

J’ai réalisé que je n’étais pas une bonne épouse parce que je n’étais jamais capable de penser à lui, de m’en soucier du plus profond de mon cœur. Je voulais constamment obtenir quelque chose de lui, mais il ne me venait jamais à l’esprit que je devais donner moi aussi.

C’est alors que j’ai appris à donner et tout a changé.

J’ai compris quelle pression il devait supporter au travail et dans la vie et j’ai tout fait pour l’alléger alors que je l’avais tant alourdi auparavant.

Ce n’est qu’en abandonnant mon égoïsme et en pensant à lui que j’ai expérimenté la joie de vivre. Autrefois j’avais constamment le sentiment d’impuissance alors que j’attendais ceci ou cela. C’est alors que nous sommes devenus plus proches. Il est clair que la source du bonheur est de donner et non d’exiger.

Joie

Un nouveau chemin commença. Maintenant je réalise toutes les mauvaises choses que j’ai pu faire sans jamais vouloir faire face à mon cœur. J’essayais toujours de me défendre en me donnant des excuses et ne voulais pas me voir telle que j’étais vraiment. Lorsque j’ai décidé de changer, j’ai découvert qu’il ne m’était plus difficile d’affronter mes erreurs. Lorsque j’admettais avoir tort se présentaient des opportunités de m’amender. Comment les autres me traitaient n’avait plus d’importance ! La seule chose qui comptait dorénavant était d’avoir un grand cœur. Ce n’est que lorsque l’on essaie de couvrir ses fautes que les autres peuvent le voir clairement.

Ce livre m’a appris à chercher les fautes en moi-même au lieu de les chercher systématiquement chez les autres. C’est parce que j’étais en dysharmonie avec mon environnement que des problèmes sont apparus. A chaque fois, j’excusais mes propres actions et cherchais constamment la faute chez les autres. Jamais il ne me venait à l’esprit de me blâmer moi-même. Il n’est pas facile de chercher en soi-même lorsque quelque chose ne va pas bien. Et quand on me disait que j’avais bien agit, je savais au fond de mon cœur que ça n’était pas juste. Peu importe la méthode que l’on choisit pour accomplir une action, la clef est dans son propre cœur. Lorsque quelque chose semble bon ou mauvais en surface, tel n’est pas forcément le cas. Si l’état d’esprit est pur et droit, alors c’est une bonne chose. Mais si on ne pense qu’à soi, aussi bonne qu’une chose puisse paraître, alors elle est incorrecte.

Le temps passait, jour après jour, je sentais mon cœur changer. J’avais jadis pensé qu’avec le temps, les bonheurs simples et tendres que j’avais expérimentés dans mon adolescence, étaient un rêve qui n’arriverait jamais plus. Ce bonheur avait simplement été recouvert par une couche d’égoïsme de plus en plus épaisse.

Ce ne fut pas facile de changer ma façon de penser et mes notions de ces trente dernières années. Il y avait encore des conflits dans ma vie et je commettais encore des erreurs. Cependant, j’apprenais à m’examiner et n’imputais plus la faute aux autres. Reconnaître ses propres imperfections n’est pas si effrayant. Ce qui est le plus effrayant, est de ne pas être capable de reconnaître ses propres fautes ou de ne pas vouloir les changer. Tant que l’on veut vraiment changer, le processus de changement se charge lui – même du reste.

Je vacillais et tombais encore, mais faisais de mon mieux pour être sincère, aimable et compréhensive. Petit à petit, je me débarrassais de mes pensées calculatrices. Je traitais les histoires injustes avec un cœur tranquille sans mécontentement ou condamnation. Finalement, un changement positif s’est produit dans mon entourage, famille et amis. Je faisais connaissance avec la joie que peuvent apporter dans la vie d’une personne la sincérité et l’altruisme. Aussi, mes cauchemars qui me hantaient depuis un an disparurent ainsi que mon insomnie chronique. Le sentiment d’insatisfaction que je n’arrivais pas à ébranler, la jalousie et l’injustice en voyant les autres faire mieux que moi, les inquiétudes, l’anxiété et la nervosité me quittèrent pour toujours.

Encore aujourd’hui, lorsque je jette un regard en arrière, mon cœur est rempli de gratitude. J’ai obtenu cela si facilement, ce livre a fait de moi une personne fortunée. A partir de cet instant, mon chemin a été rempli de bonheur. Peu importe que je sois riche, pauvre, ici ou ailleurs, que les autres me traitent bien ou mal, ce genre de bonheur ne changerait jamais.

Silence

Il me semblait qu’il n’y aurait jamais plus de nuages dans ma vie. Des signes me permettaient de reconnaître encore plus mes imperfections. Après correction, la vie allait de mieux en mieux. Une année passa tranquillement. Jamais je n’aurais cru faire l’expérience d’un changement aussi dramatique dans ma vie. On aurait dit que tout avait changé en l’espace d’une nuit. En juillet de cette année, ce que je chérissais le plus et pensais le meilleur fut décrit comme la chose la plus pernicieuse. Soudain, tant de mensonges et de rumeurs se répandirent jusqu’à voiler la terre et les cieux . Même dans les autres pays, peu de gens nous comprirent vraiment, nous avions cultivé nos cœurs tranquillement. Aussi, les mensonges se répandirent rapidement de la Chine vers l’extérieur. On aurait dit qu’il n’y avait plus de place pour nous nulle part dans ce monde. Je me sentais embrouillée et perdue par ce changement soudain, je ne pouvais comprendre comment quelque chose de bon hier était devenu si mauvais aujourd’hui. Il semblait qu’en un clin d’œil, j’étais devenu un monstre aux yeux des gens.

Face au pouvoir brutal et à la pression, je choisis le silence. C’est l’année où je me suis sentie le plus perdue. Je savais que tout était mensonges. Mais je me sentais impuissante, incapable de changer les choses. Les seules choses que je ressentais étaient la pesanteur et la solitude. Des nouvelles arrivaient et lorsque je lisais les souffrances que l’on infligeait à ceux qui s’exprimaient et soutenaient la vérité, je n’osais me regarder en face.
Je commençais à lire le livre de moins en moins et même si les principes qui y étaient enseignés demeuraient aussi purs que jamais, la culpabilité me faisait m’en sentir de plus en plus éloignée. Peu à peu, mes faiblesses autrefois corrigées, revenaient. Je me voyais, impuissante, faire de nouveau attention à de petites choses insignifiantes. Je savais que j’avais tord, mais il semblait qu’il y avait une force qui me contrôlait. C’est une année à laquelle, je n’ose repenser.

Alors que le mois de mai arrivait, des maux de têtes me forcèrent à ressortir le livre de nouveau. Les sentiments de légèreté dont j’avais fait l’expérience lorsque je lisais le livre et cultivais mon cœur un an plus tôt ne s’étaient pas estompés avec le temps. Je me dis, « Tu n’as jamais rien fait sérieusement de toute ta vie. Si tu décides de commencer de nouveau, cette fois tu t’y tiendras ! ». C’est aussi à ce moment que je sus que je ne pouvais plus me taire.

Regarder encore une fois en arrière

A partie de ce moment, le navire qu’était ma vie fut pris dans une tempête tumultueuse. La première personne à laquelle je dus faire face était moi-même. Toutes sortes d’inquiétudes arrivèrent l’une après l’autre et tournoyaient constamment dans ma tête. Ce furent les quatre ou cinq mois les plus douloureux de ma vie. La souffrance était double, corps et esprit. Je me réveillais soudain pour découvrir que je n’avais dormi que deux heures. Je n’avais plus le concept de faim… Puis je dus affronter mon mari. Il se mit en rage lorsqu’il apprit ma décision, et mes conflits intérieurs m’empêchaient de la lui expliquer objectivement. La vie douce et confortable dont j’avais jouit s’évanouit sans laisser de traces. L’incompréhension et les étranges regards de mes amis me donnaient la sensation qu’un mur épais était tombé sur moi. Dans d’innombrables combats douloureux, je me demandais si j’avais tort. J’ouvris le livre, le lus et le relus. Chacune de ces phrases me disait que je devais être une personne sans égoïsme, faire passer les autres avant moi, avoir le cœur plus droit, ne pas blesser les autres pour son propre intérêt, même si les autres me traitaient mal, ne pas en faire autant. Ces mots étaient des sources d’eau fraîche qui imprégnaient mon cœur confus et chassaient mon chagrin. En considérant de nouveau ces quelques mois, je ne sais pas comment j’ai pu le supporter. La seule chose dont je me souviens est la paix que j’ai ressentie dans mon cœur après qu’il ait été purifié tandis que je lisais le livre et abandonnais tous mes soucis. Je savais que ce que j’avais obtenu était la meilleur chose et je devais faire un pas en avant. J’examinais mon cœur avec de grandes difficultés et me fis face avec honte.

Claire sagesse

J’avais cru avoir abandonné mon cœur égoïste et obtenu le bonheur éternel mais mes réflexions me disaient que je m’étais trompée. J’avais fait un effort dans la cultivation pour mon propre bonheur. Je n’avais pensé qu’à moi et n’avais pas été capable d’être désintéressée.
Il fallait faire face à cette situation avec une bonne disposition d’esprit.

Au début, je fis un pas hors de ma conscience et je me vis de plus en plus clairement. De nombreuses fois, je me suis trouvée devant un croisement sans savoir quelle direction prendre. Je ne pouvais supporter aussi les souffrances dues à certains conflits. Lire le livre me calmait et m’aidait à voir la vraie nature du problème. A partir de cet instant, j’ai toujours détecté l’égoïsme caché de ma part. J’en suis venue à réaliser que le livre explique très clairement, à la racine, les esprits égoïstes que chacun possède. La raison pour laquelle une personne ne peut pas voir clairement de quoi il retourne et ne peut pas distinguer le bien du mal et les causes de toutes les souffrances dont il fait l’expérience est l’égoïsme et les diverses notions acquises. Les livres de Maître Li m’ont dit voici longtemps maintenant :


« Si une vie peut, sur des sujets importants pertinents, vraiment juger des problèmes sans aucune notion préconçue, alors cette personne peut véritablement se maîtriser elle-même, cette lucidité est la sagesse et se différencie de la prétendue intelligence des gens ordinaires » (extrait de ‘Pour qui existe-t-on ?’Points essentiels pour un avancement assidu).

C’est juste que dans le passé, même après avoir lu ce passage, je ne comprenais toujours pas ce que le Maître voulait dire. Aussi, j’ai appris à ne pas penser à la souffrance alors que j’étais confrontée aux conflits mais les considérer comme une opportunité pour moi et découvrir mes propres imperfections.

A partir de ce moment, j’ai développé un profond et total respect pour le Maître parce que j’ai réalisé que la personne qui avait écrit un tel livre est définitivement hors de l’intérêt personnel et la sentimentalité d’un être humain. Seule une telle personne peut voir de cette manière et
l’expliquer si clairement et simplement, me faire savoir ce qu’est la bienveillance alors que j’étais perdue dans la période la plus confuse de ma vie. En pensant à ces choses et en vivant ma vie avec un cœur plus léger, j’ai découvert que mon mari avait changé aussi. Au lieu de se tenir debout devant la porte pour m’empêcher de partir, il me conduisait là où j’avais besoin d’aller, au lieu de tout faire pour interférer avec moi il ne disait plus rien. De même, le bonheur était revenu dans la maison. Je sais que chaque personne a un côté qui est bon et soutient la justice. C’est juste que chacun a aussi ses propres conceptions et veut protéger ses propres intérêts. Je sais qu’un jour viendra où il me soutiendra complètement.

Juste quand je pensais que j’allais tout perdre, j’ai réalisé qu’en fait je ne perdrais rien du tout, le bonheur que je ressentais était complètement différent de la joie que j’avais eu avant. C’est le genre de félicité qui existe naturellement partout comme l’air. C’est le sentiment d’accomplissement dont une vie fait l’expérience lorsqu’elle n’est plus dans la confusion et ne se sent plus perdue. Je devais faire un pas en avant.

-Notre vie est précieuse et nous devons distinguer le bien du mal.

De nombreuses personnes m’ont demandé, « Pourquoi devriez vous sortir ? Pourquoi ne pratiquez-vous pas chez vous ? »
La vérité c’est qu’à ce moment, j’ai eu aussi la même impression. Mais à présent, je sais que c’est faux. Après que le gouvernement Chinois ait émis ce décret, interdisant aux gens la pratique du Falun Gong, un pratiquant a continué à pratiquer dehors. Les autres lui ont demandé, « C’est interdit de faire cela. Pourquoi pratiques tu encore cela ici ? » Il a répondu « Je ne fais rien de mal, pourquoi ne puis-je faire cela ? »

Malgré sa simplicité, cette réponse m’est allée droit au cœur. Est-il faux de faire appel et de réclamer la justice lorsque l’on a été traité injustement ? Est-il faux de clarifier la vérité lorsque l’on est calomnié ? Est – il faux de sortir lorsque les autres sont blessés ? Rien de tout cela n’est faux. La vérité est que le critère par lequel cet univers juge le bien et le mal ce qui est juste et ce qui est injuste reste inchangé. Ce qui a changé est notre propre cœur et ses critères, aidant les mauvais éléments dans la société à prendre le dessus…

Sans cesse, des tas d’évènements surgissent : un bon samaritain est accusé pour un crime qu’il essayait simplement d’empêcher, il a été arrêté et jugé. Une personne tombe à l’eau et personne ne lui porte secours alors que d’innombrables témoins sont présents. Une personne est poignardée ou tuée et appelle au secours, personne n’intervient. Lorsque chacun essaie de protéger ses propres intérêts, chacun fait en réalité du tort et ruine ses propres intérêts. Mais où se sont trompés ces gens ? Les règles, les lois ont été établies les unes après les autres pour régler les problèmes mais les problèmes eux-même ont-ils été réglés ?Lorsque les portes blindées contre les cambrioleurs sont de plus en plus épaisses, ceci ne nous dit – il pas que nous nous sentons de moins en moins en sécurité dans nos cœurs?

Le Maître m’à appris que la vraie cause de tous les problèmes réside dans le cœur des hommes. Un être humain est supposé vivre avec un bon cœur et prendre les autres en considération.. Mais lorsque les cœurs humains ont changé, tout est devenu différent. Si quelqu’un fait ds mauvaises choses pour servir son propre intérêt et que tout le monde autour se taît, de peur d’être blessé, le mal prend le dessus, si on va même jusqu’à donner son soutien sous la pression, alors cette société devient un environnement qui nourrit le mal et attaque la droiture et la bonté. A la fin, le plus vicieux devient le plus puissant. Dans une telle société, chacun pense à obtenir des bienfaits pour lui-même, sans se soucier s’il fait du tort aux autres. C’est ainsi qu’on éduque les enfants, on leur apprend à se protéger, et protéger ce qui leur appartient dés leur plus jeune âge. C’est le cycle vicieux de la société. Les gens deviennent de plus en plus égoïstes et les relations de plus en plus tendues.

Pourquoi toutes ces choses arrivent-t’ elles ?Lorsque les gens perdent les critères moraux pour guider leurs actions, ils deviennent prêt à tout pour obtenir des bénéfices. Comme ceux qu’on traitait d’ « anti-révolutionnaires » pendant la révolution culturelle, disant qu’« il y avait une claire évidence de leur crimes ». Avaient-ils fait quelque chose de mauvais ? Non, mais cela a été l’opportunité pour certaines personnes de préserver leur intérêts. Voilà pourquoi la Révolution culturelle a eu lieu. De plus les principes moraux n’étaient plus en place. Par conséquent, même s’il y avait des gens qui pouvaient voir la vérité derrière les mensonges, personne n’était prêt à dire quelque chose. Alors puisque tout le monde a fermé les yeux, ce genre de persécution a pu continuer. Notre Maître a dit que si les actions des êtres humains ne sont plus restreintes par les principes moraux, pas une seule méthode extérieure ne réussira à contrôler les gens et les lois ne pourront pas changer ce qu’il y a dans les cœurs. La seule issue pour les êtres humains est de rectifier leurs cœurs. Quand chacun veut être une bonne personne, qu’il sait qu’il doit défendre la gentillesse et la droiture, la moralité de tous s’améliorera. Seulement alors, les êtres humains auront un endroit agréable où vivre.

Que se soit dans ou hors de Chine, si vous voyez un tract sur les événements, j’espère que vous réaliserez qu’il ne contient pas seulement une description de la persécution, et qu’il ne vous demande pas seulement un secours. Je souhaite de tout cœur que les gens qui liront les tracts en comprennent la connotation profonde ! Chaque morceau de papier vise à éveiller la bonté des gens, leur dire de défendre la justice et de distinguer le bien du mal même face au pouvoir brutal. Lorsqu’une fausse conception a été introduite dans la société toute entière, les souffrances que subissent ceux qui osent se lever est inimaginable. Perquisitions, prison, torture, mort sont des menaces permanentes et la propagande mensongère de tous les médias incitant le peuple a concevoir de l’hostilité envers les pratiquants de Falun Gong. Si personne n’ose s’opposer à cela, comment l’humanité finira-t’ elle ?

La propagation du Falun Gong prouve qu’il y a encore des pensées bienveillantes dans le cœur des gens. Ceci est précisément l’espoir de l’espèce humaine.

Que le Falun Gong se soit fait connaître dans plus de quarante pays incluant Taiwan et Hong Kong, les innombrables récompenses qu’il a reçues, ainsi que la condamnation unanime de sa persécution par des pays du monde entier, prouvent que « vérité, compassion, patience » n’a pas de frontières !

Je souhaite que le peuple chinois puisse comprendre que les pratiquants de Falun Gong qui vendent tout ce qu’ils ont pour imprimer ces documents, qui risquent leur vie pour les distribuer, se rendent à Tiananmen pour clarifier la vérité, ne font pas ces choses pour eux mêmes ! Ils n’ont pas d’agenda politique non plus…qu’ils se rappellent que les êtres humains ont le droit de défendre la vérité et surtout qu’ils puissent comprendre qu’une vie est précieuse et que l’on doit distinguer le bien du mal dans cette vie-même


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