Pétrole: le Grand Mystère

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Généralement, les scientifiques de notre époque pensent que le pétrole a été produit à partir de végétation décomposée et de matière animale qui a existé durant une période préhistorique reculée, qui a été ensuite ensevelie et soumise, a travers un long processus tout au long d’une longue période de temps, à de hautes température et pression. Cependant de plus en plus de scientifiques de nos jours doutent de cette assertion et trouvant le mystère entourant ces prémices plutôt curieux, du fait que cette quantité de « matière vivante » requise pour produire le volume de pétrole découvert aujourd’hui ne pouvait pas exister à l’époque préhistorique.

Bien que cette question ait été discutée dans un extrait précédemment publié, » Civilisations Préhistoriques Dévoilées : (Partie 11) Pétrole et la Théorie De l’Evolution, ‘les preuves pour soutenir certaines théories sont rares. De façon intéressante, quelques rapports scientifiques ont été publiés fin novembre 2003 [1,2] qui jettent une lumière sur le mystère de l’origine du pétrole.

L’article scientifique de m. Jeffrey S. Dukes de l’Université de l’Etat de l’Utah a présenté des calculs basés sur les informations biologiques et géochimiques actuelles disponibles, ainsi que les informations industrielles. Il a découvert que produire un gallon U.S de pétrole brut requiert autant que 90 tonnes de matériaux bruts, par exemple, d’anciens ‘matériaux vivants’. Un litre d’essence requiert la décomposition de 23.5 tonnes d’anciens matériaux organiques. Pour illustrer plus clairement, les calculs ont montré que 23.5tonnes de végétation sont égales à la quantité totale de récolte de blé produite dans un champ carré de 16,200 pieds, en ne perdant rien y compris les feuilles les racines et les tiges.

Ceci pose la question, pourquoi la transformation du pétrole requiert une telle quantité d’anciens organismes ? La réponse habituelle est que le pétrole peut seulement être produit sous une grande température et sous une grande pression. Mais il y a un problème dans le fait que si les anciens organismes ne sont pas enterrés immédiatement après qu’ils meurent, est ce qu’ils pourrissent ? La question a évolué jusqu'à la probabilité que les anciens organismes auraient été convertis en énergie fossile. L’auteur suggère que la probabilité soit de moins d’une sur dix mille puisque, durant le processus de décomposition, la plupart du carbone aurait été décomposé et aurait produit divers gaz et produits qui auraient été soit émis vers l’atmosphère soit absorbés par différents types de formes de vie plus petites, et seulement une extrêmement minuscule quantité aurait été convertie en combustible fossile. Aussi, il est intéressant que l’auteur établisse que, »basé sur la consommation globale en 1997, la consommation totale de l'énergie fossile dans le monde cette année était équivalente a 400 fois la biomasse de toutes les plantes sur terre a cette époque. »


Depuis une perspective différente, les informations géologiques sont assez claires en ce que l’ancienne lointaine terre ne pouvait probablement pas être plus grosse qu’aujourd’hui. De plus, l’ancienne atmosphère contenait plus d’oxygène (prés de 30%) et une température plus élevée, ce qui implique clairement que la vitesse de décomposition d’un organisme aurait du être plus rapide [ l’oxydation aurait du être plus rapide mais pas la décomposition microbienne, puisqu’elle est largement anaérobique_ Ed]. Si le pétrole est transformé à travers la circulation du carbone des organismes des corps morts, la probabilité d’un enterrement rapide à large échelle est très lente, spécialement si la taille du corps est relativement grande comme, par exemple, les dinosaures. Actuellement, seulement un petit nombre de squelettes partiels de dinosaures ont été découverts durant les fouilles ou ont été exposés du à des changements dans leur environnement. Ceci implique, que s’il était si difficile de préserver un seul dinosaure entier, comment un processus d’enterrement rapide et à large échelle des corps des dinosaures aurait pu se produire sans un changement géologique complet sur une grande étendue ?


Ainsi, nous déduisons du raisonnement promu par la science moderne que l’hypothèse de dinosaures morts transformés en pétrole présente des failles. Même si l’on inclut la transformation de la biomasse marine, seulement 1% de ce qui a été effectivement trouvé de cette façon dans les sédiments marins, il n’y avait pas assez de vie pour expliquer que du pétrole a déjà été trouvé. Plus de témoignages convaincants contre l’origine biologique du pétrole viennent de la découverte d’énormes réserves de pétrole léger à des profondeurs de plusieurs centaines de mètres, loin au-dessous des couches sédimentaires que contiennent les produits de dégradation de la biomasse. Ce n’est pas de l’huile qui coule puisqu’il flotte et quelques-unes unes de ces réserves n’ont pas de problèmes de lignes et sont pleines de gaz d’hélium. Il y aussi une question au sujet de savoir si la composition moléculaire du pétrole ressemble de façon plus proche à de l’hydrocarbone pur ou à des molécules dérivées de l’organisme. Ces découvertes sont cohérentes avec l’hypothèse que le pétrole est venu avec la formation de la planète, plutôt que le processus ultérieur de la biomasse (3). -Ed.] D’un point de vue spirituel, est ce que la théorie de la création du pétrole par les dieux dans leur sagesse serait plus plausible ?


Références
1. J.S Dukes, Changement Climatique, 61 : 31-44 (2003)
2. B. Mason, Actualisation de la Science de la Nature, 29 octobre 2003
3. http://www.davidicke.net/mysteries/reports/oil.html


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