Ne pas succomber au confort et à la paresse

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    “La nature de Bouddha de l’homme est le Shan (bonté) qui se manifeste par le Cibei (compassion), quand on fait quelque chose on tient d’abord compte d’autrui, on est capable d’endurer les souffrances. La nature de démon de l’homme est la méchanceté qui se manifeste par la destruction de la vie, le vol et le pillage, l’égoïsme, la pensée perverse, la provocation des dissensions, la diffusion de rumeurs, la jalousie, la perfidie, le délire, la paresse, l’inceste, etc.”(“La nature de Bouddha et la nature de démon”, Points essentiels pour avancer avec diligence< /a>)


Bien que j’ai appris des enseignements du Fa que la paresse est une manifestation démoniaque, je n’ai pas vraiment fait de sérieux efforts pour y remédier. Au début, je ne pensais pas qu’être insouciante était un problème pour moi jusqu’à ce que je devienne paresseuse avec le temps. Je voulais faire un minimum d’effort pour obtenir un maximum de résultats, prendre des raccourcis et faire tout ce qui me convenait. J’étais obsédée par la nourriture et je grignotais fréquemment, et je passais beaucoup de temps à penser à la nourriture délicieuse que je pouvais cuisiner pour ma famille. Je suis devenue laxiste avec mon temps et je voulais me reposer ou m’allonger un peu ici et là, regarder un peu les informations d’outre-mer qui me conduisaient souvent à des programmes addictifs de cuisine. Je glissais progressivement dans ma cultivation et je ne faisais pas bien les trois choses que je dois faire. L’étude du Fa est devenu comme une corvée et je faisais seulement sporadiquement les exercices. Je suis devenue potelée et le désir de confort et de paresse s’emparaient de plus en plus de moi.


Depuis la sortie de la nouvelle musique d’une heure pour l’exercice de tenir la roue, il s’y est tenu chaque jour et il ne lui a pas fallu longtemps pour mincir et perdre son ventre. Il a dit que j’avais l’air un peu en surpoids et deviné que la cause la plus probable était mon manque d'effort pour faire les exercices. Le couple a dit que lorsqu'ils avaient le temps, ils faisaient deux heures de méditation ainsi que deux heures de l’exercice de tenir la roue, en persistant même s'ils étaient trempés de sueur. Ils m'ont fait honte !


Récemment, j’ai rendu visite à un couple de pratiquants et quand ils m’ont questionnée sur mon poids et ma paresse, le mari a demandé si j’avais négligé de faire une heure l’exercice de tenir la roue. Il a insisté sur le fait que si j’avais fait constamment les cinq exercices, passé une heure à faire le second exercice, je n’aurais pas pris de poids et n’aurais pas développé un ventre rond. Il a dit qu’il était plutôt en surpoids auparavant.


Il était temps pour moi de prendre au sérieux la question de la paresse et d’éliminer la forte emprise que cette nature de démon avait sur moi. La première chose était d’arrêter de me trouver des excuses. J’ai décidé de marcher pour aller partout au lieu de conduire mon vélo électrique, ce qui m’a également donné l’occasion de distribuer des brochures pour clarifier la vérité ou d’afficher en chemin des posters.


La seconde chose était d’arrêter de manger autant. J’ai décidé de manger au plus deux repas par jour. En sautant le dîner la plupart du temps et en ajoutant à la place des fruits et des concombres ou des tomates si j’avais vraiment faim. J’ai fini par perdre environ 1,5 à 2 kg en trois jours et je me sentais fantastique.


Le Maître a dit :

Ne me donnant plus d'excuses, j'ai persévéré dans l'exercice de tenir la roue d'une heure. Je me souviens d'une expérience que j'ai vécue lorsque j'étais dans la première position de tenir la roue. En comptant dans ma tête, je pouvais sentir le Falun tourner très fortement dans le sens des aiguilles d'une montre, puis dans le sens inverse autour de mon corps. J'étais rempli de larmes de gratitude.


Le Maître a dit :

    “Les disciples de Dafa sont des divinités qui sont descendues dans ce monde avec la responsabilité d’aider le Maître à sauver les êtres, endossant la responsabilité de sauver les êtres d’ici-bas. Tu peux penser que ce n’est pas important si personnellement tu ne cultives pas bien, comme si c’était la même chose que la forme de xiulian du passé. Alors certains n’avancent pas très diligemment, cultivant, mais ne cultivant pas réellement. Mais as-tu réfléchi ? Tu as autrefois signé un contrat avec moi quand tu es venu dans ce monde, c’est seulement parce que tu as fait le voeux de sauver ces êtres que tu peux alors devenir un disciple de Dafa et que tu peux faire ainsi cette affaire, pourtant tu ne l’as pas accompli. Tu n’as pas pleinement accompli ton voeux et tu n’arrives même pas à sauver les êtres qui te sont attribués, ceux que tu as entrepris de sauver, derrière lesquels il y a d’innombrables êtres et de gigantesques groupes d’êtres. Qu’est-ce que cela signifie ?! Est-ce simplement la question de ne pas cultiver et pratiquer diligemment ? C’est un crime extrêment immense ! Un crime incomparablement immense ! Tu dis que tu vas juste appeler le Maître quand le moment viendra et diras : “Maître, je n’ai pas bien cultivé” Est-ce que ça suffit comme ça ? Que cette affaire est importante ?!”( Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2016 )


J’ai toujours eu la bonne intention d’être diligente dans ma cultivation mais je n’ai jamais vraiment réussi à maintenir un haut niveau de diligence sur le long terme. Le Maître connaissait mon désir et m’a contactée via le partage opportun de mes compagnons de pratique. On m’a rappelé la nature solennelle de la cultivation et l’importance de ne pas succomber au confort et à la paresse, ainsi que notre responsabilité en tant que disciples de Dafa et de bien faire les trois choses.


Traduit de l’anglais
Version anglaise :
https://en.minghui.org/html/articles/2020/9/21/186873.html

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