Yoko Kaneko, pratiquante au Japon se rappelle la persécution des pratiquants de Falun Gong dans la Dixième Section de l’Hôpital de Police de Beijing

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Dans la Dixième Section (située dans un sous-sol) de l’Hôpital de Police à Beijing, la police et les docteurs ont travaillé ensemble pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Chaque jour, ils enchaînaient une jambe des pratiquants à un lit et leur infligaient la torture du gavage forcé. Si les pratiquants refusaient d’être gavés, les quatre membres étaient enchaînés au lit pendant plusieurs jours.

Une pratiquante avait été en grève de la faim pendant trois mois. La police l’a souvent torturée. Elle était au seuil de la mort.

Une autre pratiquante de 64 ans a été envoyée dans un hôpital psychiatrique en 2000 où elle a été persécutée pendant un an et demie. Chaque jour on lui injectait des substances inconnues. Après qu’elle ait été relâchée de l’hôpital, elle a été envoyée directement dans un centre de détention. La veille dame avait de la tension, ses quatre membres ne s’arrêtaient plus de trembler et elle était dans une très mauvaise condition. Plus tard, elle a été envoyée à l’hôpital de police pour y être davantage torturée. Elle a été gavée de force. Mais elle a fermement résisté. Plusieurs infirmières ont travaillé ensemble, mais ont échoué à lui insérer le tube dans l’estomac. Par la suite, le docteur est venu lui insérer le tube lui-même, avec une dizaine de policiers pour maintenir la vieille dame immobile. Elle a lutté pendant bien une heure jusqu’à qu’à ce qu’elle soit épuisée. Ce n’est qu’alors qu’ils lui ont inséré le tube dans l’estomac. Plusieurs jours plus tard, la police a annoncé (verbalement sans montrer aucun document légal) qu’elle était condamnée à un an et demi de rééducation par le travail et ils l’ont envoyé en camp de travail forcé.

Il y avait une autre pratiquante qui a refusé l’injection d’une substance inconnue. La police lui a alors enchaîné les quatre membres à un lit. Elle a mordu l’aiguille et ne le lâchait plus. La police a essayé dur pour lui ouvrir la bouche mais n’a pas réussi. Par la suite la police a utilisé les menottes pour lui faire desserrer les dents, lui cassant plusieurs dents. Elle avait du sang sur toute la bouche.

Version anglaise disponible à:
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/3/5/45753p.html
Version chinoise disponible à:
http://www.minghui.org/mh/articles/2004/2/21/68098.html


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.