Transgresseur des droits de l'homme : Tan Xiangqian, ancien agent de police au camp de travaux forcés de Baimalong

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Depuis plusieurs mois, les pratiquants de Falun Gong soumettent des listes aux gouvernements occidentaux avec des noms de persécuteurs, pour soutenir des sanctions contre ces transgresseurs des droits de l'homme qui sont domiciliés en Chine. Une liste a été soumise au département d'État des États-Unis en juillet 2019 et des listes additionnelles ont été soumises en septembre aux gouvernements des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et d'Australie.


Tan Xiangqian est un ancien agent de police à l'emploi du camp de travail pour femmes de Baimalong à Zhuzhou, province du Hunan. Avant que le camp de travail ne soit démantelé, il était à la tête de la division de la police spéciale et était le chef des policiers dans la persécution des pratiquantes de Falun Gong. Pour forcer les pratiquantes à renoncer à leur croyance, Tan et ses subalternes les ont torturées avec des dizaines de méthodes de torture différentes. Sous la direction de Tan, en l'espace de plusieurs années, environ 100 pratiquantes ont été blessées, handicapées et certaines ont même perdu la vie.


Par exemple, en 2001, Tan a donné instruction à Pan Xiangdong, directeur adjoint de la division, et à six autres policiers de torturer Mme Hu Yuehui, âgée de 42 ans. Ils l'ont battue vicieusement, et ont choqué son corps entier, même ses paupières et ses sourcils, avec des matraques électriques. Ceci s'est poursuivi jusqu'à minuit, quand les détenues ont traîné Mme Hu, sans connaissance, jusqu'à sa cellule. Après que les détenues l'ont portée dans un lit et qu'une détenue l'a aidée à se déshabiller, la détenue a découvert que les vêtements et les sous-vêtements de Mme Hu étaient collés à son corps à cause du sang séché. La détenue a dû utiliser des ciseaux pour couper les vêtements. Puis, elle a découvert que le corps entier de Mme Hu était ensanglanté à cause des ecchymoses, en particulier le bas de son corps. Même les toxicomanes les plus cruelles de la cellule étaient en larmes en voyant cela.


Une autre fois, en mars 2001, Tan et d'autres agents de polices ont battu Mme Cao Jing, une pratiquante du canton de Yuanjiang. Mme Cao a vomi du sang et elle a eu trois côtes cassées. Après avoir été envoyée à la clinique du camp de travail, on lui a injecté des substances inconnues et un médecin a annoncé qu'elle souffrait d'un cancer des poumons. Mme Cao est décédée peu de temps après que sa famille l'a ramenée chez elle.


Huang Ping, la femme de Tan et directrice de la première division du camp de travail, a demandé à Tan de venir à sa division en 2003. En voyant Mme Li Yan appeler : « Falun Dafa est bon », Tan l'a battue vicieusement et l'a poussée par terre. En écrasant sa tête avec ses pieds, Tan a continué à la frapper violemment. Pan et lui ont alors ramassé Mme Li et l'ont jetée sur une barre de métal sur le sol. L'os de la hanche de Mme Li s'est cassé instantanément.


Information personnelle :

Nom : Tan Xiangqian (谭湘谦)

Sexe : mâle

Date de naissance : 14 octobre 1963

Emploi actuel : Division de la direction et de l'éducation du centre de réhabilitation des toxicomanes de Baimalong

Adresse : dans la base de données Minghui

Nom : Huang Ping

Sexe : féminin

Détails : Femme de Tan, ancienne directrice de la première division du camp de travail pour femmes de Baimalong

Voir aussi :

2,500 Family Members of Falun Gong Practitioners Jointly Sign Letter Exposing Atrocities at the Baimalong Women's Forced Labor Camp

Traduit de l'anglais
http://en.minghui.org/html/articles/2019/10/13/180304.html


:
Version chinoise <:A>

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