La Justice contre le Crime de Génocide – Discours à la Conférence Internationale sur "Le Génocide de l'Ere Nouvelle"

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Préface

Taiwan est un pays libre et ouvert, comptant plus de 23 millions d'habitants, où la population pratique une myriade de croyances. Taiwan a un système de lois indépendant et une constitution. Le peuple surveille le gouvernement au travers des règles de lois. Comme les citoyens dans la plupart des pays développés, les droits de l'homme des citoyens de Taiwan sont protégés par la constitution. Les élèves du Falun Gong à Taiwan jouissent de la liberté de croyance et de la liberté de pratiquer les exercices. Néanmoins, depuis que Jiang Zemin, ancien dirigeant de la Chine et actuel président du Comité Militaire Communiste Chinois, a annoncé en public en juillet 1999 qu'il traiterait le Falun Gong en "frappant durement, punissant pour contrôler, accusant et dénonçant," dans les cinq dernières années, il a mobilisé le système impliquant le parti de la nation, les politiques, les militaires, la police, les agents spéciaux, et même le système de lois afin de discréditer de force le pur et droit Falun Gong.

Afin d'éradiquer le groupe Falun Gong qui croit en "Vérité, Compassion et Tolérance," Jiang a épuisé un montant énorme des ressources de la nation et établi le "Bureau Principal Traitant de la Question du Falun Gong", aussi connu sous le nom de "Bureau 610". Il a nommé Li Lanqing (alors Vice Premier du Conseil d'Etat) et Luo Gan (alors membre du Comité Permanent du Bureau Politique du Parti Communiste du Comité Central de la Chine) comme étant les principales personnes en charge du "bureau 610", pour conspirer, diriger, organiser et exécuter avec lui l'extermination du Falun Gong. Ils assassinent, torturent, pratiquent les lavages de cerveau, ordonnent même aux médias contrôlés par Jiang, d’accuser, fabriquer, diffamer, salir et incitent la population à la haine contre le Falun Gong. Ces 5 dernières années, ce qu'ils ont fait a provoqué la mort, les blessures et l'errance hors de leur foyer de près d'un million d'élèves du Falun Gong en Chine Continentale. Cependant, la communauté internationale n'a pas réellement compris l'impact mondial de la tentative de Jiang d’éliminer le Falun Gong. Le Falun Gong est largement répandu dans plus de 60 pays. Beaucoup de ceux qui le pratiquent, dans chaque région, bénéficient de la protection légale des pays démocratiques, mais dû à l'application de la persécution génocidaire de Jiang, beaucoup d'entre eux ont subi différents degrés de menaces et d'atteintes à leur liberté et à leurs droits.

Parce que le temps est limité, j'utiliserai uniquement les expériences des élèves de Taiwan comme exemple afin d'expliquer un lien dans l'initiation de la persécution mondiale de Jiang au 21ème siècle. Je souhaite, à travers cela, recommander que tous les états signataires de la Convention sur la Prévention et la Punition du Crime de Génocide (référé ici comme à la "Convention"), la Cour Criminelle Internationale etc.—ces organismes et individus qui ont pour objectif de promouvoir la paix pour l'humanité et d'assurer les droits de l'homme internationaux—réfléchissent et considèrent davantage toutes les dispositions concernant le "Génocide" dans la Convention et le Traité de Rome (référé ici comme au "Traité"). Je souhaite également recommander à la communauté internationale de faire honnêtement face à la sévérité de la persécution génocidaire du Falun Gong par Jiang et d'amener Jiang internationalement en justice, dans le but de cesser dès que possible cette gigantesque farce des droits de l'homme de la communauté Chinoise en ce début de 21ème siècle.

Les Citoyens de Taiwan Utilisent pour la Première Fois le Code Pénal Taiwanais sur le Génocide afin de Poursuivre Jiang Zemin, Li Lanqing et Luo Gan

Depuis 1999, date à laquelle Jiang Zemin commença sa persécution du groupe Falun Gong, les élèves du Falun Gong à Taiwan ayant des visas en règle pour rendre visite à la famille et aux amis et voyager pour affaires en Chine Continentale ont été persécutés, l'un après l'autre, par la mobilisation par Jiang de la machine de la nation, à travers des détentions illégales, des blessures physiques, et la violence en essayant d'obtenir d'eux les papiers, etc. Certains ont été détenus pendant plus de 28 jours et interrogés pendant plus de 18 heures chaque jour durant la détention. Ceci dans le but de forcer un élève à révéler une liste de tous les élèves Chinois qu'il ou elle connaît et de rassembler tous les renseignements sur les activités du Falun Gong dans le monde auxquelles tel élève aurait participé depuis qu'il ou elle pratique le Falun Gong. Si l'élève ne veut pas trahir un autre élève, alors il sera continuellement insulté, menacé, torturé, et privé de sommeil. Certains ont subi durement le cruel lavage de cerveau pour "transformation". Ils ont été forcés de renoncer à leur conviction, de se repentir par autodéfense, et ont été menacés de jugements criminels. Ceci dans le but de forcer un élève à confesser toutes les activités du groupe Falun Gong de Taiwan. Le fonctionnaire de la sécurité publique déclara même connaître parfaitement le travail et la vie de tel élève à Taiwan et intimida l'élève en lui disant que s'il "révélait quelque chose de défavorable" à son retour à Taiwan, l'agent de la sécurité publique aurait les moyens de faire qu'il soit incapable de survivre à Taiwan.

Le fonctionnaire demandait qu'à son retour à Taiwan, l"élève devienne un espion à l'intérieur du Falun Gong et fournisse des informations aux communistes Chinois. Parmi ces victimes, il y avait une fille âgée de 12 ans. La jeune fille accompagnait sa mère afin de rendre visite à leurs parents en Chine Continentale pendant la Célébration du Nouvel An Chinois. A leur arrivée, les fonctionnaires de la sécurité publique les arrêtèrent. La jeune fille fut isolée de force pour interrogatoire par la sécurité publique. Après avoir été témoin de toutes sortes de menaces et de tortures qu'ont fait subir les fonctionnaires de la sécurité publique à sa mère, elle souffrit de graves lésions mentales. La mère, menacée par le "bureau 610", inquiète pour la sécurité de sa fille, avoua par force et reçut une décision, tout cela sans aucune forme de procès. Après être retournées toutes les deux à Taiwan, la mère était au désespoir. Sa fille jusqu'à présent ne peut affronter les faits de la persécution et ne s'est pas entièrement remise. Qui plus est, aujourd'hui il y a au moins 4 pratiquants du Falun Gong de Taiwan qui sont toujours illégalement détenus en Chine. Nous faisons le maximum pour les localiser et les sauver. Parmi les élèves du Falun Gong mentionnés plus haut qui ont été libérés, sept d'entre eux ont décidé de sortir, dans le but d'exposer les atrocités de Jiang, et le 17 novembre 2003, intenté un procès criminel avec la Cour Supérieure Taiwanaise, accusant Jiang, Li et Luo de violations du Code Pénal Taiwanais sur le Génocide.

Le 20 juillet 1949, Taiwan signait la Convention, et le 22 mai 1953, annonçait le Code Pénal Taiwanais sur le Génocide (auquel je me réfère ici comme au "Code"), qui contient en gros les mêmes dispositions que la Convention. Taiwan décréta une législation afin d'incorporer les dispositions dans ses lois nationales. Selon l'Article II du Code: "Quiconque commet un des actes suivants avec l'intention de détruire, tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux commet un crime de génocide, sera passible de la peine de mort, de la condamnation à perpétuité ou de peines de prison de plus de 7 ans: (1) Tuer les membres d'un groupe; (2) Causer de graves souffrances physiques ou mentales aux membres du groupe; (3) Infliger délibérément des conditions de vie au groupe dans le but de l'amener à sa destruction physique, en totalité ou en partie; (4) Imposer des mesures dans l'intention d'empêcher les naissances dans le groupe; (5) Kidnapper et supprimer les enfants du groupe; et (6) Conspirer pour mener à la destruction du groupe. La tentative de commettre un de ces actes ci-dessus, la préparation et la conspiration de commettre une infraction à la Section (1) ci-dessus sera punie d'une condamnation allant de un à sept ans de prison. L'Article V du Code indique que les personnes commettant le génocide devront être sujet au Code, sans tenir compte du statut de la personne."

Selon le Code, à cause de la décision du régime de Jiang d'exterminer le Falun Gong, causant aux élèves du Falun Gong mentionnés voyageant en Chine Continentale de subir des souffrances physiques et mentales, Jiang et Li Lanqing du "bureau 610" et Luo Gan ont violé l'Article II (2) et (6) du Code. Egalement, sous l'Article VI du Code: "Ceux qui violent ce Code seront sujets à la juridiction de la Cour Supérieure ou à sa division." Ainsi, les 7 élèves en tant que plaignants apparaissant pro se sans procureur ont amené ce procès criminel devant la Cour Supérieur Taiwanaise. C'était la première fois que le Code, qui avait été instauré pendant un demi siècle, était utilisé par les citoyens de Taiwan. Avant cela, il n'y a eu aucune décision ou procès utilisant le Code. C'est aussi la première fois qu'une cour Taiwanaise devra examiner une poursuite intentée par des citoyens Taiwanais contre un ancien dirigeant Chinois sous la législation nationale, laquelle comprend la convention internationale des droits de l'homme. Ceci est sans précédent. D'après la Loi Criminelle de Taiwan, la Loi de Procédure Criminelle et la décision de la Cour Suprême en juridiction, le milieu juridique de Taiwan croit communément que la cour Taiwanaise a la juridiction à propos de ce procès. Ce procès est actuellement examiné par la Cour Supérieure Taiwanaise.

L'Impact Mondial de la Persécution Génocidaire du Falun Gong par le Régime de Jiang

Le régime de Jiang, non seulement vise les élèves du Falun Gong et ceux qui voyagent en Chine, afin de les persécuter physiquement et mentalement, les forçant à abandonner leur croyance, les menaçant et contraignant ces personnes pacifiques au bon coeur à trahir leurs compagnons de pratique, à agir comme des espions, dans le but d'exécuter sa vendetta personnelle pour éradiquer le Falun Gong, mais il utilise simultanément les médias modernes comme outils pour créer des rumeurs, pour diffamer le fondateur du Falun Gong et les membres du groupe Falun Gong, dans l'intention de soulever l'incompréhension et la haine envers le groupe Falun Gong outremer. Le régime utilise même la force politique pour interférer et endommager les activités légales des élèves du Falun Gong outremer. De plus, le régime harcèle et blesse les droits à la liberté individuelle et aux biens des élèves du Falun Gong. Nous utiliserons l'exemple de Taiwan dans ce qui suit:

La politique de persécution génocidaire du régime de Jiang s'étend à Hong Kong, l'Islande et Mazu—présenter la partie des préjudices subies par les pratiquants du Falun Gong de Taiwan

1. A Hong Kong:

Les actes criminels des trois individus Jiang, Li et Luo pour éliminer le Falun Gong se sont étendus à Hong Kong où ils avaient une influence politique et législative. Le Falun Gong est un groupe de "cultivation" qui est légal à Hong Kong et dont toutes les activités sont autorisées à Hong Kong selon la loi. Cependant, à travers le Bureau de Liaison du Gouvernement Central Populaire Communiste Chinois à Hong Kong (Bureau de Liaison Central), le président Jiang Eng-zhu et le chef du Bureau des Affaires Religieuses du Conseil de l'Etat ont fait leur discours à Hong Kong, demandant que le gouvernement de Hong Kong coopère avec le Continent, pour traiter la "question du Falun Gong". En plus, le Chef de l'Exécutif de Hong Kong Tung Chee-hwa a promis, début 2001, de coopérer avec la politique de Beijing, violant ouvertement le "Un Pays Deux Systèmes" du règlement de l'Article V de la Loi Fondamentale de Hong Kong disant que "Le système socialiste et les politiques ne devront pas être pratiqués dans la Région Administrative Spéciale de Hong Kong, et le précédent système capitaliste et manière de vivre devraient rester inchangés pendant 50 ans," et a menacé les droits humains des pratiquants du Falun Gong à Hong Kong.

Pendant la fin du mois de juin 2002, à l'occasion du 5ème anniversaire de la passation, alors que Jiang Zemin était en visite à Hong Kong, le communiste Chinois alla jusqu'à fournir au gouvernement de Hong Kong une "liste noire", comprenant tous les élèves de Falun Gong qu'il connaissait. Les élèves sur la liste n'avaient de casier judiciaire dans aucun pays et étaient toutes d'innocentes personnes. Elles n'ont pas été autorisées à entrer à Hong Kong pour participer aux activités légalement permises pendant la visite de Jiang, bien qu'ayant en leur possession des visas légaux pour Hong Kong. Le Département de l'Immigration de Hong Kong, à cause de la mise en application d'une telle demande irraisonnable, a fait en sorte que la police de Hong Kong rapatrie de force "sans fournir de raison" les citoyens Taiwanais qui avaient le même nom que des élèves de Falun Gong mais ne le pratiquaient pas. Le 20 février 2003, près de 80 pratiquants Taiwanais avaient encore une fois des visas légaux pour entrer à Hong Kong, afin de participer en toute légalité à la conférence de partage d'expérience de 'cultivation', mais ont été détenus de force par les douanes. Durant le processus, 9 personnes ont subi des violences de la part de la police.

Cinq élèves ont été embarqués de force dans des émeutes par la police de Hong Kong, provoquant des bleus et des blessures musculaires à divers endroits au cou et aux bras. Il y eut aussi 2 enfants qui ont été rapatriés des douanes de Hong Kong pour la même "raison de sécurité". Annette Lu, Vice Présidente de Taiwan et Déléguée du Groupe de Conseil des Droits de l'Homme du Bureau du Président de Taiwan, a tenu une conférence de presse au sujet de cet incident au Bureau du Président, protestant énergiquement contre le gouvernement de Hong Kong. Ensuite, au début du mois d'avril 2003, quatre de ces élves qui ont été rapatriés de force, avec le porte-parole de l'Association Falun Gong de Hong Kong, ont demandé un examen judiciaire à la cour de Hong Kong concernant l'illégalité de la décision du rapatriement de force et la violence déplacée de la police dans un tel cas. Cette affaire était une première en terme de citoyens de Taiwan poursuivant en justice outremer contre le gouvernement de Hong Kong pour violations des droits de l'homme. Le 29 avril 2003, la cour de Hong Kong, après avoir examiné les documents et les preuves relatifs aux plaignants, accéda à la demande des élèves de Taiwan pour un examen judiciaire et établira une date de procès.

2.En Islande:

Le 11 juin 2002, alors que Jiang Zemin visitait l'Islande, le communiste Chinois a fourni au gouvernement Islandais une "liste noire", ce qui entraîna le refus de la compagnie Iceland Air d'embarquer 153 pratiquants pour un vol vers l'Islande. Ils étaient plus de 75 à être détenus à l'aéroport de Reykjavik. Ils venaient de plus de 10 pays différents, se préparant à entrer en Islande afin de protester contre la persécution du Falun Gong par Jiang. Il y eut 45 pratiquants de Taiwan à qui on refusa l'entrée à ce moment-là. Ils ont été détenus illégalement dans le sous-sol de l'aéroport de Reykjavik pendant plus de 13 heures. Après en avoir été informé, le Ministre des Affaires Etrangères de Taiwan a exprimé son inquiétude. Avec le soutien des pratiquants en Islande et de l'avocat des droits de l'homme renommé, Ragnar Adalsteinsson, les pratiquants détenus furent finalement autorisés à entrer en Islande. Après la révélation de l'incident, le peuple d'Islande a immédiatement décidé de publier les caractères chinois pour "Pardon" en gros afin de s'excuser auprès des pratiquants du Falun Gong pour l'erreur du Ministère de la Justice de coopérer avec Jiang. Le 5 juin 2003, l'Autorité de Protection des Informations Islandais adjugea qu'il était illégal pour le Ministère de la Justice de fournir les informations relatives aux éléves de Falun Gong à Iceland Air et aux ambassades d'Islande des USA, de Norvège, du Danemark, du Royaume-Uni et de la France dans le but de les empêcher d'entrer en Islande.

3. A Mazu à Taiwan:

Mazu est une des principales îles au large de Taiwan. Le commerce entre les pêcheurs de l'île et les pêcheurs de Chine est une ressource économique importante pour les îliens de Mazu. A la fin de 2001, il y avait grosso modo 40 personnes pratiquant le Falun Gong à Gan Nord et Gan Sud. Jiang et ses complices, au travers de la mise en oeuvre de leur intention d'éradiquer le Falun Gong, utilisent les tactiques de "lien/joint et plusieurs désavantages" et "blocage des activités économiques" pour persécuter les élèves de Falun Gong à Mazu ainsi que tous les citoyens de Mazu suspectés d'avoir des liens avec le Falun Gong. Parce qu'il pratique le Falun Gong, le citoyen de Mazu Chr Yingchen enseignant les exercices gratuitement à Gan Sud, tous les parents de l'île portant le nom de famille Chr sont tous reliés et inclus dans une "liste noire" et ne sont pas autorisés à entrer en Chine Continentale. La femme d'un Chef de Village local Ju-Guang a voyagé de Hong Kong à Fuzhou en mars 2002.

Sa demande pour un visa fut rejetée et elle fut même détenue par la police des frontières des Chinois Communistes. On a su, après avoir par la suite vérifié différentes sources, que l'affaire s'était produite au mois de février de la même année, alors qu'un entourage d'officiels communistes Chinois étaient en visite au Village de Ju-Guang, ils découvrirent que le dock de Don- Ju affichait une bannière fabriquée mentionnant le Falun Gong. Les communistes Chinois ne comprenaient pas que le Chef du Village soutienne le Falun Gong. Aussi, ils inclurent les membres de la famille du Chef sur la "liste noire". En outre, la chose la plus ridicule encore était que le capitaine d'un bateau de pêche de Mazu fut interdit de commercer sur les côtes de la Chine Continentale. Les douaniers Chinois Communistes lui ont dit qu'il n'était pas autorisé à entrer parce qu'il pratiquait le Falun Gong. Le capitaine répondit immédiatement qu'il n'avait jamais pratiqué le Falun Gong. La douane montra une photo du capitaine feuilletant les pages du livre Zhuan Falun devant un temple de l'île. Le capitaine fut très surpris alors, expliquant qu'un ami lui avait demandé de l'aider à trouver le livre Zhuan Falun.

A ce moment-là, à cause de sa curiosité, il avait jeté un coup d'oeil au livre et n'avait jamais pensé que sa photo aurait été prise sans qu'il le sache et que cela deviendrait une excuse pour les communistes Chinois de bloquer et rejeter des activités économiques. Après que les médias aient révélé ces incidents, les résidents de Mazu vécurent en danger, terrifiés pour l'unique raison que pratiquer le Falun Gong ou être en contact avec Chr Yingchen aurait provoqué la persécution par la machine mobilisée par Jiang, les laissant sans aucun moyen de survivre. Aussi, tout le monde resta tranquille sous l'emprise de la peur, n'osant pas parler librement du Falun Gong, sachant pertinemment que Chr Yingchen était une bonne personne mais qu'on ne pouvait pas s'associer ouvertement avec lui. L'exécution de l'éradication du Falun Gong par Jiang et ses complices alla jusqu'à la menace des moyens d'existence et de l'exercice de la liberté de croyance des gens purs et au bon coeur de lîle de Mazu.

A partir des faits décrits ci-dessus, Jiang n'a pas seulement persécuté les élèves de Taiwan et ceux d'autres régions visitant la Chine, mais ses actes pervers sont allés jusqu'à s'étendre à d'autres pays. Certains pays ont coopéré avec lui pour des raisons économiques, politiques ou autres, causant des préjudices aux droits des élèves de Falun Gong de beaucoup de pays, y compris Taiwan. Les communistes Chinois, en appliquant la politique de Jiang d'éradiquer le Falun Gong, ont utilisé les moyens d'existence des résidents de Mazu comme une menace et ont essayé de surveiller et de contrôler la vie des éléves de Falun Gong Taiwanais et les activités du groupe Falun Gong à Taiwan et en outremer. L'intention que cela recélait était effrayante pour certains.

Réflexions sur les Clauses du "Génocide" dans la Convention et dans le Code

A l'heure actuelle, les sources les plus importantes de loi sur le "Génocide" sont les clauses dans la Convention et le Traité, et le contenu des dispositions dans les deux est similaire. Depuis l'établissement de la Convention, il y a eu de larges discussions sur la définition du "Génocide" et sur la détermination des groupes à être protégés. Les clauses du "Génocide" dans la Convention visent principalement le "génocide physique", spécialement le massacre-type d'extermination à grande échelle. Cependant, avec cette définition du génocide, les groupes protégés sont limités. En d'autres mots, sans se soucier de comment l'auteur a causé le préjudice ou la mort en commettant l'acte punissable, si l'auteur ne commet pas les actes "avec l'intention de détruire, tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux", alors l'acte ne constitue pas le génocide. C'est que, l'auteur doit agir "avec intention" de détruire tout ou en partie d'un groupe "national", "ethnique", "racial" ou "religieux" qui est protégé par la Convention, avant que l'acte ne puisse être un crime. Une question qui a soulevé une large discussion parmi les universitaires internationaux est de savoir si exterminer une "religion" est la même chose qu'exterminer un "groupe religieux". Regardant en arrière le contexte de 1948, quand la Convention fut établie, inclure le "groupe religieux" dans les groupes protégés du "Génocide", était en fait considéré comme "Génocide Religieux" dans l'histoire.Il y a des descriptions de cas des Nations Unies, concernant l'intention d'exterminer une "religion" elle-même, et de massacrer les chefs et membres du groupe de tel "groupe religieux." Cependant, il y a des universitaires, qui ont remarqué qu'il y a des cas avec intention de détruire le "religion" et la "culture", mais non de détruire physiquement les membres de d'un tel groupe, et pensaient que la définition dans la Convention n'était apparemment pas adéquate. Vivant dans le monde actuel où les outils des masses médias modernes du 21ème siècle sont extrêmement développés, si les dispositions de la Convention sont toujours limitées au "Génocide Physique" comme un élément du crime, alors ils négligent apparemment les actes criminels avec l'intention de "Génocide Religieux" ou de "Génocide Culturel", qui endommagent sérieusement les citoyens du monde et ses influences ne sont pas moins qu'un "Génocide Physique" à grande échelle. L'impact pourrait même être plus profond et plus vaste, parce que ce qui est visé dans la destruction complète à travers l'application des types d'actes criminels de "Génocide Religieux" ou de "Génocide Culturel" sont très vraisemblablement les valeurs morales fondamentales et la poursuite de la vérité.

Dans la mise en vigueur de la Convention, qu'est-ce que signifie être une "religion" et un groupe religieux"? La Commission des Droits de l'Homme des Nations Unies avait expliqué que: "'la religion' ne devrait pas être limitée aux religions traditionnelles ou aux religions et croyances avec des caractéristiques institutionnelles analogues à ces religions traditionnelles." Il a également été déclaré au Tribunal Criminel International pour le Rwanda que "'le groupe religieux' inclut la dénomination ou le mode de culte ou un groupe partageant une croyance commune." Le groupe de Falun Gong est un groupe de 'cultivation' de la Loi de Bouddha avec une gestion souple, enseignant aux individus à cultiver les caractéristiques de "Vérité, Compassion et Tolérance", pas une religion traditionnelle et ne consiste pas non plus en des formalités organisationnelles semblables à une religion traditionnelle. Cependant, les membres du groupe Falun Gong croient communément en "Vérité, Compassion et Tolérance". Du point de vue des droits humains, la communauté internationale et les organisations des droits de l'homme ont pour la plupart considéré le groupe Falun Gong comme un "Groupe Religieux" ou "Groupe Spirituel" ce qui est protégé par la loi. Le gouvernement des Etats-Unis et les organisations internationales des droits de l'homme, telles qu'Amnistie Internationale ou Human Rights Watch etc., dans leurs rapports d'investigations sur la persécution du Falun Gong, ont fréquemment considéré que les pratiquants du Falun Gong avaient été privés de leur liberté de personne, de religion et de croyance, de parole, d'assemblée, d'association etc. Selon la Convention, le Traité et le Code cités ci-dessus, il n'y a aucun doute que le Falun Gong est inclus dans les "Groupes Religieux" protégés.

Les atrocités commises par Jiang Zemin contre le groupe de Falun Gong de Chine Continentale à l'intérieur de la Chine, incluant la torture et la privation de la vie, ont apparemment violé la ratification du 18 avril 1983 par les communistes Chinois sous le nom de "République Populaire de Chine", laquelle Convention fut adoptée par les Nations Unies en 1948. Cependant, sa violence n'est certainement pas limitée à uniquement détruire les membres du groupe Falun Gong en Chine Continentale. L'objectif fondamental de Jiang et de la conspiration des communistes Chinois est d'exterminer la croyance du Falun Gong en "Vérité, Compassion et Tolérance". En Chine Continentale, cela a contraint plus d'un million de pratiquants en détruisant les vies des élèves . Si l'élève n'abandonne pas la pratique, n'abandonne pas la croyance en "Vérité, Compassion et Tolérance", sans se soucier ni de l'âge ni du genre, il sera détruit physiquement. Jiang n'hésite pas à "exterminer physiquement" jusqu'au point d'atteindre son objectif d'éliminer complètement la poursuite de "Vérité, Compassion et Tolérance" par l'humanité.

En dehors de Chine Continentale, Jiang a mobilisé le mécanisme des médias nationaux pour fabriquer, salir, et diffamer, comptant sur le fait d'inciter la société outremer à méconnaître et à haïr le groupe de 'cultivation' du Falun Gong qui est pacifique, bon et qui n'a aucune motivation politique, et à utiliser les bénéfices économiques et les potentiels politiques comme des appâts, tentant d'influencer les gouvernements des autres nations à faire silence sur ses atrocités. Certains gouvernements ont même été jusqu'à d'assister le malfaiteur, interférant déraisonnablement ou limitant les activités locales des élèves de Falun Gong. Sous la force politique de Jiang outremer, le contrôle comploté de l'ambassade Chinoise, les élèves de Falun Gong ont subi de graves préjudices. Les élèves de Falun Gong à Hong Kong, en Allemagne, en Thaïlande et en Indonésie ont subi différents degrés d'interférences, de menaces et de préjudices pour leur croyance en "Vérité, Compassion et Tolérance".

Autrement dit, sans tenir compte d'où vient un élève de Falun Gong, s'il n'a pas abandonné la croyance en Falun Gong, il sera une cible pour la persécution dans n'importe quel endroit que les communistes Chinois et le pouvoir politique de Jiang pourront atteindre. Bien que l'opération mondiale de cette persécution de Jiang contre le Falun Gong ne puisse arriver à exterminer tous les pratiquants du Falun Gong dans le monde, Jiang a utilisé son autorité bureaucratique pour contrôler le parti, les politiques, les militaires, la police, les agents spéciaux, les médias ainsi que son pouvoir politique pour léser les droits des élèves de Falun Gong, comptant éliminer la poursuite de cette croyance bienveillante et pacifique. Sa complète dénégation du fait que l'humanité recherche la vérité et protège les valeurs morales fondamentales est totalement anti-humanitaire, c'est quelque chose qu'aucun citoyen de conscience du monde ne devrait accepter.

Les nombreux cas de persécution du Falun Gong depuis presque 5 ans, privant de droits et de liberté des centaines de millions d'individus, le scélérat des droits de l'homme nommé par Amnistie Internationale est toujours en liberté, continuant sa persécution du Falun Gong. Après avoir pris connaissance des faits du génocide intenté et de la persécution du Falun Gong, les activistes des droits de l'homme internationaux ne devraient pas rester sans agir, parce que "quand le pervers est le chef, la seule chose dont il a besoin c'est de l'indifférence des bonnes personnes." Selon la définition de "Génocide" dans la Convention et le Traité, il est nécessaire de réfléchir et de considérer cela plus en profondeur.

Un procès de Justice

Peu importe si on se trouve en Chine Continentale, à Taiwan ou dans tout autre coin du monde, quelqu'un qui pratique sincèrement Falun Gong recherche la vérité et est toujours bienveillant et pacifique. Parce qu'un élève n'a rien à cacher, n'abandonne pas sa croyance ou expose véritablement les faits concernant la persécution du Falun Gong, il ou elle doit tout d'abord faire face à la possibilité de perdre sa vie et à la cruelle et inhumaine persécution en Chine Continentale. Même ceux qui ne voyagent pas en Chine Continentale, dans un pays libre gouverné par des règles de lois, rencontrent aussi la calomnie, la diffamation et même le harcèlement, le contrôle/la surveillance, et des préjudices, plus toutes sortes de menaces par les communistes Chinois. Nous devons malheureusement dire, que si les atrocités de Jiang contre les droits de l'homme continuent, ce ne sera pas seulement une farce des droits de l'homme de la part de la Chine, mais ce sera aussi une honte dans l'histoire des droits de l'homme internationaux.

Nous souhaitons que les gouvernements de chaque nation ne ferment pas les yeux sur la persécution du Falun Gong par Jiang pour des raisons économiques ou politiques, ou bien, ne permettent aux forces outremer de Jiang Zemin de harceler ou de menacer les élèves de Falun Gong dans un pays libre, parce qu'une telle conciliation et une telle soumission sont injustes, c'est aider le mal à punir le bien.

Je suis une rescapée de la Terreur 911, m'échappant de la tour du World Trade Center, ayant vécu personnellement un terrorisme sauvage, qui utilise de milliers de vies comme un prix à imposer au terrorisme de la dictature. Pendant ces années, j'ai vu les familles des victimes avoir des moments difficiles en esayant d'oublier les souvenirs douloureux. Jiang Zemin, afin de satisfaire son désir politique personnel, d'accomplir son souhait dictatorial personnel, force plus de cent millions de gens à abandonner leur croyance, et ses atrocités réclamant aux gens le prix de leurs vies, de leurs corps et de leur liberté, devraient aussi être méprisées par les gens.

Le rapport annuel de l'organisation des droits de l'homme internationaux confirme que la loi Chinoise est déjà devenue un outil dans les mains de Jiang pour persécuter le groupe Falun Gong. Les élèves de Falun Gong actuellement ne peuvent obtenir aucun procès équitable d'après la loi Chinoise. Cependant, nous n'abandonnerons pas les efforts pacifiques. En ce moment, les élèves de Falun Gong à travers le monde, avec l'assistance d'avocats des droits de l'homme de différents endroits, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Espagne, en Belgique, à Taiwan et en Corée, poursuivent en justice Jiang Zemin et ses complices pour génocide, crimes contre l'humanité, torture, etc.

L'écrivain Français Romain Rolland, dans la préface de Jean Christophe, a dit, "Tous ces hommes et toutes ces femmes qui endurent des épreuves dans tous les pays obtiendront finalement la victoire." Nous pensons, alors que nous gagnons le soutien de plus en plus de gens avec une conscience juste, que cette cruelle et inhumaine persécution des droits de l'homme cessera finalement et que Jiang sera certainement mis sur la scène d'une cour des droits humains internationaux. L'histoire donnera définitivement aux atrocités commises contre l'humanité un procès de justice!

*A propos de l'auteur: Mme Theresa Chu, un membre du Barreau de New York, est la porte-parole de Taiwan pour le Groupement d'Avocats afin d'Amener Jiang en Justice et la représentante de Taiwan pour la Coalition Mondiale Contre la Législation de l'Article 23. Elle a été invitée à devenir membre d'un groupement de travail pour l'Admission de Taiwan à la Cour Criminelle Internationale. Mme Chu a reçu chacun de ses diplômes LL.M de l'Université de Pennsylvanie aux Etats-Unis et de la Faculté de Droit de l'université de Soochow à Taiwan. Elle a travaillé en tant que Spécialiste Légale dans les Traités et le Département des Affaires Légales du Ministère des Affaires Etrangères à Taiwan. Mme Chu travaille actuellement en collaboration avec d'autres avocats sur la première poursuite judiciaire pour génocide de Taiwan—le procès contre Jiang Zemin, Li Lanqing et Luo Gan—les chefs du "bureau 610."


Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

http://www.clearharmony.net/articles/200402/17980p.html

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.