Fahui européen 2014 - Mon expérience en cultivant

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Salutations bienveillant Maître, salutations compagnons de pratique !

J’ai commencé à pratiquer Dafa avec ma mère en 1999. Je n’avais alors que huit ans. Nous allions régulièrement au point de pratique faire les exercices, et un peu plus tard, ma mère m’a donné le livre 'Zhuan Falun' en me disant de le garder toujours avec moi. Bien-sûr étant donné mon âge, il y avait beaucoup de choses que je ne comprenais pas, mais j’ai juste continué à le lire un peu à la fois.


J’avais toujours été une enfant maladive, j’avais souvent de violents maux de tête et j’attrapais régulièrement la grippe. Et tous les médicaments que je prenais n’y faisaient rien, mais ne faisaient qu’augmenter la durée des maladies. Je ne pouvais pas aller régulièrement à l’école, parce que je me sentais mal la plupart du temps.


Les exercices ont eu un grand impact sur mon état de santé, plus je les faisais et mieux je me sentais. Un jour, lorsque ma mère m’a emmenée au groupe d’étude du Fa, j’ai été malade et faible et un petit peu effrayée, mais les compagnons de pratique m’ont dit de ne pas m’inquiéter, ce n’était que le processus du nettoyage du corps.


Quelque temps plus tard, ma mère a épousé un pratiquant chinois et ma vie a changé du tout au tout. J’avais un nouvel environnement dans lequel la plupart des pratiquants étaient chinois. J’avais aussi une grand-mère chinoise. Elle m’emmenait souvent étudier le Fa avec les pratiquants chinois, j’aimais vraiment cet environnement qui était pour moi comme une grande famille.


Plusieurs années plus tard, ma grand-mère n’a pas obtenu de visa, et elle a été forcée de se rendre dans un autre pays, où on lui a accordé un statut de réfugié. À cette époque, maman a cessé de pratiquer et est tombée malade, il lui était difficile de faire les tâches ménagères et de prendre soin de ma petite sœur. Un jour, lorsque je suis allée chercher mon frère à la maternelle j’ai commencé à pleurer en réalisant que désormais, toutes les responsabilités de la famille m'incombaient, et que je n’y étais pas prête. Puis j’ai réalisé que j’étais arrivée à un tournant dans ma cultivation. Il était temps d’utiliser toute ce que j’avais appris au cours des années, la sagesse et la compréhension, c’était le temps de la mise en pratique, de ne plus compter sur les autres mais sur moi-même. Cette idée a été la base qui m’a permis de renforcer ma volonté.


Un autre défi pour moi a été le fait que ma mère m’empêchait de pratiquer, et ne voulait même pas me laisser aller au point de pratique. Mais je lui ai dit fermement que je n’arrêterai pas de pratiquer, parce que la pratique m’avait tant apporté et que je me demandais comment elle pouvait ne serait-ce que dire des choses pareilles. J’ai réalisé que je devais fermement croire en Maître et dans le Fa quoiqu’il arrive.


Le Maître a dit “La cultivation est sérieuse. Pas un test ou une difficulté ne ressemblera à une plaisanterie. Cela teste aussi si vous êtes ou non déterminé envers ce Fa ("Enseignement du Fa à la Conférence à Houston")[Traduit de l’anglais] Cette nuit-là j’ai fait un rêve dans lequel ma mère et mon père tiraient mes mains dans des directions opposées, maman me décourageait de continuer la pratique, et papa me disait d’aller à l’église. Je me suis réveillée en sueur, tout mon corps tremblait. Je suis restée quelques minutes dans cet état. Puis j’ai décidé de m’asseoir et d’émettre des pensées droites pour éliminer les divinités chaotiques et les facteurs pervers qui interféraient avec moi. Tout a disparu en dix minutes comme si rien n’était arrivé.

Un nouvel environnement de 'cultivation'

Lorsque la situation s’est améliorée dans la famille et que ma mère a commencé à se sentir mieux, j’ai décidé d’organiser ma vie personnelle. Puisque j’avais dû prendre la responsabilité de nombreuses tâches familiales pendant longtemps, j’ai pensé qu’il était temps de vivre indépendamment. Je pensais que ce serait beaucoup plus facile, mais j’ai par la suite réalisé qu’au lieu d’être heureuse en acceptant les épreuves et les difficultés, je commençais à penser que les problèmes pouvaient être éliminés. En fait c’était profondément erroné.


J’ai épousé un pratiquant d’une autre ville. J’étais très heureuse et pensais qu’une nouvelle vie commençait à présent. Mais mes pensées n’étaient pas droites, ma vie est devenue encore plus difficile.


J’avais beaucoup de contradictions avec mon mari et nous nous querellions sans fin. Je manquais de compassion et de patience, je ne pouvais pas céder à mon pari, je pensais à lui de façon humaine et que ses actions étaient erronées sans jamais regarder en moi-même. Comme aucun de nous n’arrivait à se réconcilier, nous nous critiquions constamment et nous disions des mots blessants. Toutes ces offenses dans mon esprit sont devenues une énorme montagne qui semblait impossible à ébranler.


Comme je ne considérais plus les choses de la perspective du Fa, toutes les choses dans ma vie sont devenues chaotiques. Je n’ai pas pu trouver de travail pendant longtemps, et lorsque j’en ai eu un, c’était pour une courte période de temps avec un petit revenu. Mon état physique était aussi extrêmement détérioré et ça me paraissait très dur. Plus tard, j’ai quand même réussi à trouver un travail, mais j’étais occupée tous les week-ends lorsque nous avions des études et des activités de groupe. Ainsi, j’ai été coupée du groupe et j’ai ressenti de l’amertume. Je ne pouvais pas quitter mon emploi, parce que nous ne pouvions pas nous en sortir sans mon revenu, et il n’était pas facile de trouver un autre emploi.


J’utilisais mon temps libre pour faire les choses, mais l’environnement du groupe me manquait vraiment. J’étais très jalouse de mon mari, car il avait davantage de temps pour faire les choses et étudier le Fa en groupe. L’insatisfaction et le ressentiment me submergeaient au point que je ne pouvais plus penser à rien et même en étudiant le Fa, je ne pouvais pas m’y éveiller et m’élever. Un jour, j’ai appelé une pratiquante et lui ai parlé de ma situation, disant que j’avais l’impression d’être en train de dériver loin de Dafa sans avoir la force de faire un pas en avant. Elle a dit que je devais penser à ma mission et étudier le Fa avec un esprit calme, penser à ma situation et regarder à l’intérieur, et elle m’a assuré de son soutien.


J’avais un grand désir de progresser et de m’élever rapidement, mais un test m’attendait que je n’ai pas réussi à passer. Une fois en rentrant à la maison, je me suis disputée avec mon mari et de nouveau je n’ai pas pu le supporter et me taire, au contraire, je suis devenue encore plus combattive, voulant prouver que j’avais raison. Mon mari était tellement en colère qu’il m’a même frappée. En me réveillant le matin, j’ai réalisé que ça ne pouvait plus continuer. Je ne pouvais pas rentrer avec le Maitre en agissant de cette façon, et il était très important que je change mon cœur.


Je me suis fixée un but de fondamentalement me changer moi-même et de prendre le contrôle sur mes pensées et actions, développer la patience et la compassion. J’ai abandonné le ressentiment et ai essayé de comprendre davantage mon mari. J’ai décidé que je ferais tout mon possible en utilisant mon temps libre et les opportunités. Il me fallait plus de deux heures pour me rendre à mon travail, alors j’ai utilisé le temps pour étudier le Fa. Dès que j’ai fait des efforts pour travailler sur moi-même, la situation a commencé immédiatement à changer. La relation entre moi et mon mari a commencé à s’améliorer, mon directeur m’a offert un nouveau poste au travail, et j’allais au bureau pour une semaine de travail normale avec deux principaux jours de congés. Mon nouveau poste demandait de nouvelles compétences et j’ai dû apprendre en partant de zéro, mais j’ai tout appris très rapidement et j’occupe encore ce poste.


Mon travail était aussi un nouvel environnement pour m’améliorer. Lorsque nous avons eu une réorganisation dans le bureau, il y avait une association de services, j’ai rejoint l’employée avec laquelle personne ne voulait travailler. Durant la journée de travail, elle traitait souvent des affaires personnelles, passant des heures à parler fort au téléphone de sujets sans intérêt, me laissant tout son travail à faire. Ce comportement m’a tout simplement mise hors de moi, et je lui ai exprimé mon mécontentement, essayant de lui expliquer qu’elle avait tort. Mais je n’ai fait que provoquer son indignation. Plus tard, j’ai réalisé que je devais être aimable avec elle, et que seul mon exemple pouvait la faire réfléchir. Je n’étais plus en colère après elle, et lorsqu’elle sortait je prenais ses appels sans dire un mot et l’aidais dans son travail. La relation entre nous n’a pas tardé à s’ajuster.

Clarifier la vérité aux Chinois

Comme j’ai grandi dans un environnement chinois, j’ai réussi à apprendre le Chinois, je comprends clairement que j’ai ouvert cette capacité grâce à Dafa. Depuis l’enfance, je suis sortie distribuer des imprimés en chinois, en 2000-2001, la situation était très tendue, de nombreux Chinois croyaient les mensonges et ne voulaient pas prendre nos documents. Ils déchiraient nos dépliants et cassaient les CD de clarification des faits avec de la haine dans leurs yeux, puis ils les jetaient par terre. En voyant leurs visages sinistres, j’étais un peu effrayée, mais je savais que je faisais la juste chose, et qu’il leur fallait juste du temps pour nous comprendre.


En 2002, la Russie a commencé à publier Epoch Times en chinois, qui était devenu un excellent outil pour révéler les faits. Nous sortions avec une pratiquante chaque week-end pour le distribuer sur les plus grands marchés où travaillaient de nombreux Chinois. Nous n’étions que deux, et nous avions plus de 500 journaux, et il fallait beaucoup de temps pour toucher chacun d’entre eux. Dans ce processus j’ai surmonté beaucoup de choses, telles que la fatigue, le froid, la chaleur, la peur et bien d’autres. Lorsque nos notions humaines prévalaient, les Chinois refusaient de prendre les journaux et nous chassaient. Alors nous nous arrêtions, émettions des pensées droites et allions de l’avant, chassant chaque mauvaise pensée. En raison de la persistance à distribuer les documents, beaucoup d’entre eux ont changé d’attitude envers Dafa. Dans ce processus mon Chinois s’est aussi amélioré. Avant je ne voulais pas parler puis j’ai acquis fermeté et confiance, lorsqu’on me demandait où j’avais appris à si bien parler Chinois, je répondais que ma grand-mère était chinoise, et qu’elle pratiquait le Falun Gong. Beaucoup ont eu un choc en apprenant cela, ils ont non seulement changé d’attitude, mais sont aussi devenus nos amis à travers une communication constante et la lecture de nos documents. Avec le temps, le nombre de pratiquants participant au projet s’est accru et nous avons été capables de toucher de plus en plus de Chinois.


Quelques jours avant le moment de la prochaine distribution de documents aux chinois, j’ai développé les symptômes de la varicelle. De petites pustules ont couvert tout mon corps et je ne pouvais même pas dormir car il y en avait jusque sur ma tête. De plus, j’avais la fièvre. Il restait un jour avant la distribution et je ne savais pas quoi faire, devais-je y aller ou non. J’avais peur que mon état ne crée une mauvaise impression. Mais j’ai quand même décidé que nous devions y aller. Lorsque j’ai commencé à distribuer les documents, j’ai rencontré un chinois que je connaissais qui était heureux d’obtenir la dernière édition du journal. Il m’a regardée et a dit que j’avais vraiment bonne mine aujourd’hui, j’ai été interloquée et ma première pensée a été que c’était une plaisanterie. Mais il m’a parlé très sérieusement, et lorsque j’ai indiqué les ampoules rouges sur ma figure, il a dit qu’il ne les avait pas remarquées. J’ai su immédiatement qu’il voulait dire par là qu’en dépit de mon état j’étais sortie, que j’avais un si bon cœur mais que je m’inquiétais encore pour quelques pustules. Ce jour-là, tout au long de la distribution aucun chinois n’a fait mention de mon état mais tous ont été au contraire heureux de me voir. A travers cet incident, j’ai acquis une expérience inestimable de l’importance de garder des pensées droites à tout moment et de nier les forces anciennes.


Le second tel incident est arrivé avant le prochain numéro du journal. En me réveillant un matin je n’y voyais pas bien, en allant me regarder dans la glace j’ai remarqué que quelque chose n’allait pas avec mon visage. En y regardant de plus près j’ai vu qu' une enflure s'était formée comme une grosse prune sous mon œil droit. Malheureusement, ce jour-là, je n’ai pas réussi à aller distribuer le journal. Mais comme nous avions un autre marché le lendemain, j’ai fermement décidé que j’irais quoiqu’il arrive. Mon mari et moi sommes restés à la maison et avons décidé d’émettre des pensées droites à chaque heure pour éliminer l’interférence. J’étais tout à fait consciente que la perversité essayait d’interférer pour m’empêcher d’aller distribuer les journaux. Entre temps, j’ai aussi lu le Fa et gardé des pensées droites. Le matin mon œil avait dégonflé et nous sommes allés tout contents au marché.


Le Maître a dit :

Surtout n'oubliez pas que vous êtes une personne qui cultive et pratique, c'est avec cette base de cultivation et pratique que vous pouvez aller sauver les gens, c'est avec cette base de cultivation et pratique, avec une pensée droite renforcée, que vous pouvez réussir à sauver les gens, que vous pouvez accomplir cette tâche, en conséquence ne négligez pas votre xiulian personnel, cela est vrai tout du long.(" Enseignement de Fa à la conférence internationale de Fa dans la capitale américaine 2012")


Jusqu’à présent nous allons distribuer les journaux et d’autres documents aux Chinois. La situation a connu de grands changements. Beaucoup de Chinois sont non seulement heureux de prendre nos documents, mais aussi parlent et transmettent l’information à d’autres. Certains ont quitté le PCC ; Pendant tout ce temps nous avons rencontré beaucoup de chinois, et peu importe comment ils se comportaient, et ce qu’ils disaient, nous avons réalisé qu’ils étaient tous extraordinaires, et qu’il est très important de leur clarifier la vérité. Après avoir lu Vingt ans d'enseignement du Fa j’ai profondément compris combien c’est important, et que ce n’est pas facile.


Maître a dit : Je vous ai dit auparavant que les Chinois d'aujourd'hui avaient tous été dans l'histoire les rois de chaque peuple et les rois de chaque période, les rois qui sont descendus des niveaux très élevés de l'univers se sont tous réincarnés en Chine. Leur salut signifie le salut des incommensurables et incalculables êtres derrière eux qu'ils représentent. Ce n'est alors pas simple. Pour qu'une telle personne soit sauvée, il faut sauver encore tellement d'êtres, tous ces karmas, qui va les éliminer ? Comment va-t-on surmonter cette épreuve ? Comment peut-on faire pour que les forces anciennes profitent le moins possible de ses lacunes, comment faire pour que les êtres et les divinités de différents niveaux de l'univers influencés par les anciens principes et conceptions se laissent convaincre, comment faire pour que ces êtres bouleversés trouvent l'équilibre intérieur et vous laissent passer ? Là c'est vraiment difficile. Le Maître a dit : ' Quand le disciple a une pensée droite suffisante, le Maître a le pouvoir de changer la volonté du Ciel.' Si vous avez une pensée droite très forte, qui osera faire quelque chose puisque nous nous conformons aux principes, dans ce cas le Maître peut tout résoudre.


Un jour, mon mari et moi avons offert un journal à un Chinois. Il l’a feuilleté et a dit : "Ce n’est pas vrai." Mais ma communication en chinois l’a forcé à continuer la conversation. Je lui ai parlé du Falun Gong et promis d’apporter la prochaine fois un DVD de l’auto-immolation. La prochaine fois il m’a dit : " En Chine, j’ai vu beaucoup d’affiches et d’imprimés du Falun Gong. Je les trouvais à ma porte ou dans le panier de mon vélo, mais je n’ai jamais osé les regarder. Je travaille actuellement en Russie et ici vous m’offrez ces matériaux. "Il était très surpris que même ici, en Russie, des gens pratiquent Dafa. Ses mots m’ont fait réaliser combien les efforts des pratiquants en Chine et dans le monde sont importants.


Nous avons maintenu des relations amicales avec de nombreux chinois. Nous les félicitions à différentes occasions, leur offrions des cadeaux, et les aidions quand ils avaient besoin d’aide, et je leur ai même appris le russe. Cela a eu aussi un bon impact, spécialement quand il leur était difficile d’accepter la vérité. À de tels moments, je leur ai sincèrement parlé de la persécution en Chine et quels bénéfices j’avais obtenu de la pratique. Il y avait un chinois qui ne voulait pas prendre les documents mais chaque fois qu’il passait devant moi, je lui disais bonjour et lui demandais comment il allait. Après un an, il est venu et a demandé le journal. À présent, nous sommes de bons amis et il prend régulièrement le journal pour lui et ses amis.


Des chinois, qui avaient compris la vérité, nous donnaient des présents, nous offraient de la nourriture et du thé et nous demandaient de rester pour parler, avec gratitude. Un hiver, avant de distribuer les documents, j’ai perdu mes gants, et il gelait dehors, et au début j’ai été contrariée, mais ensuite je ne m’en suis plus souciée. Après à peu près une demi-heure, j’ai rencontré un ami chinois et lui ai donné un journal. Il a vu que je ne portais pas de gants et a dit "Il fait si froid aujourd’hui, où sont vos gants ? " J’ai dit que je les avais perdus mais que ce n’était un souci et que j’allais bientôt rentrer à la maison. Mais ça ne l’a pas arrêté, il en même laissé son travail, est parti et m’a demandé de l’attendre. Quelques minutes plus tard, il est revenu avec une paire de gants neufs. J’étais très embêtée de les prendre, et j’ai refusé pendant un bon moment. Mais il n’a pas voulu m’écouter et m’a dit de les prendre en signe de gratitude.


Nous distribuons aussi des journaux pour ceux travaillant dans la construction lorsqu’ils terminent leur travail. Aussitôt qu’ils nous voient, certains courent, nous serrent la main, et sont sincèrement reconnaissants. Certains disent : "Merci, nous savons que ça n’est pas facile pour vous." Et ils crient lorsque nous partons "Falun Dafa Hao !" Un Chinois a pris le journal et a dit en nous regardant " Bravo, vous faites un excellent travail. " Mais il y a aussi un groupe de Chinois qui ne veulent pas lire les documents. J’ai compris que le Maitre nous inspire et nous encourage avec les mots de ces gens. Et ce second groupe nous donne une indication qu’il ne nous reste pas beaucoup de temps, et que nous devons trouve des façons de leur donner un espoir de salut.

Participer à un site web de Dafa

Les traductions pour la version russe d’un site web de Dafa sont aussi devenues partie intégrante de ma cultivation.


Là, j’ai aussi commencé de zéro, et à présent je comprends que ce projet me permet une grande percée. En faisant des traductions régulièrement, j’ai acquis une grande sagesse grâce aux expériences des compagnons de pratique. Et les articles qu’on me donne semblent spécialement écrits pour moi. Lorsque je ne pouvais pas passer une épreuve, ou m’éveiller à quelque chose pendant longtemps, j’avais un article à traduire qui décrivait un problème similaire. Les expériences de nos pratiquants n’ont pas de prix, elles sont très utiles pour moi. Chaque article me laisse une grosse impression et aucun ne passe inaperçu. J’édite aussi beaucoup d’articles d’expériences déjà traduits par d’autres pratiquants et souvent je tombe sur des articles avec les mêmes erreurs. Alors je pense, le coordinateur a demandé d’y prêter attention de nombreuses fois, et les pratiquants ne le font toujours pas. Et alors, je réalise que c’est encore une allusion au fait que je n’ai pas encore lâché mes attachements, que j’ai depuis longtemps, et qu'on me donne une indication par ce moyen. Je suis très reconnaissante au Maître.


En conclusion, j’aimerais citer les mort du Maître : Je vous le dis à tous, chérissez le chemin que vous avez parcouru, chérissez ce que vous avez fait, chérissez ces mois et ces années que vous avez passés dans la validation du Fa. L’histoire est passée, elle ne reviendra jamais plus. Si l’on veut pouvoir de nouveau créer un environnement d’une telle terreur pour forger les disciples de Dafa, ce ne sera déjà plus possible, parce qu’il n’y a plus autant de perversité. Le processus de rectification de Fa avance niveau par niveau, détruisant les facteurs pervers sans cesse et en grande quantité, le nouvel univers ne cesse d’avancer dans sa formation. Quant aux disciples de Dafa, ceux qui ont bien fait, les domaines et les régions dont ils sont responsables sont également en train de détruire la perversité en grande quantité. Donc, si ces facteurs pervers veulent encore pouvoir jouer un rôle majeur, ce ne sera déjà plus possible.


Dafa m’a donné une seconde vie réelle, m’a montrée la sagesse et m’a donnée quantité de capacités. J’utiliserai tout ceci afin de mieux cultiver et faire les trois choses.


Veuillez indiquer avec compassion quoique ce soit d’inapproprié.


Merci Maître ! Merci compagnons de pratique!

[Partagé à la Conférence européenne de partage d'expériences de Falun Dafa 2014, le 5 octobre 2014 à Madrid]

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