L'importance de la croyance en Fa et dans le Maître en cette période de rectification de Fa

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Bonjour à tous ,


J'aimerais partager les expériences que j'ai vécues en Turquie en 2012.


Après que nous ayons accueilli Shen Yun en Turquie en 2010, le PCC a trouvé difficile à accepter le fait que les dirigeants Turques aient choisi de se placer du côté de la droiture. Alors, l'Ambassade de Chine a commencé à faire pression sur les dirigeants turcs à Ankara et à Istanbul. Ces dirigeants ont alors demandé à la police de limiter nos activités de clarification de la vérité à notre seule diffusion du Fa. Nous n'étions pas autorisés à aller manifester près de l'ambassade de Chine ou à recueillir des signatures ou diffuser le Fa dans des endroits stratégiques d'Istanbul. Nous étions autorisés à faire nos activités quotidiennes, cependant, la police rendait régulièrement visite à notre association à Mersin, la ville où je vivais et où l'Association de Dafa a été créée pour la première fois en 2005 afin d'essayer de nous prendre en faute quelque part .


Donc durant le mois de mai de l'année dernière, j'ai demandé un congé sans solde de 8 mois à mon travail en Australie et on me l'a accordé en deux jours. Mon chef m'a offert un gros bouquet de fleurs comme cadeau de départ. Après que Shen Yun ait quitté l'Australie en 2012, je me suis rendue en Turquie.


En juin 2012, j'ai contacté le département de police d’Ankara et j'ai demandé à parler à l'officier de police que je connaissais bien. Je lui ai dit que nous souhaitions refaire une démonstration pacifique le 20 juillet cette année là, près de l'Ambassade de Chine, et que nous souhaitions déployer des banderoles, exposer des photos de persécution et inviter les médias à faire un reportage. Tout d'abord, il m’a dit qu'il ne serait probablement pas possible d'obtenir une autorisation cette fois-ci, ajoutant que même si nous obtenions l’autorisation, nous ne pourrions pas approcher l'immeuble où se trouvait l'ambassade. Je fus d'accord avec lui. Il prit mon numéro de téléphone et me dit de le laisser en parler à ses supérieurs et de voir ce qu'il pourrait faire... et qu'il m'appellerait d'ici une semaine... une semaine plus tard, personne ne m’avait appelé. J'ai alors rappelé, et un autre fonctionnaire de la police m'a parlé et m'a demandé pourquoi nous voulions nous rendre devant l'Ambassade de Chine. Je lui ai demandé s'il était au courant de la persécution, il m’a répondu que non...Je lui ai alors tout expliqué en détails. Il m’a demandé de le laisser en parler à ses supérieurs pour voir ce qu'ils pourraient faire. De nouveau, aucune nouvelle... J'ai parlé à de nombreux policiers sans jamais avoir de retours de leurs supérieurs. Je ne vivais pas à Ankara, mais dans une autre ville.


Finalement, je suis allée à Ankara. J'ai rencontré un officier de police qui était d'accord pour parler avec moi en personne et qui a repris contact avec moi pour prendre rendez-vous... Deux jours plus tard, lorsque je suis arrivée au commissariat de police avec un pratiquant d'Ankara pour le voir, il n'était pas là. Lorsque nous avons demandé où il était, on nous a dit qu'il avait été transféré à un autre commissariat. En fait, ils l'avaient transféré ce jour-là pour l'empêcher de nous voir. Mon cœur ne fut pas affecté. La perversité interférait durement. Par chance, j'avais pris un autre rendez-vous avec le policier Ali, qui avait toujours été impliqué dans nos activités liées à Dafa, qui nous avait accompagnés lors de nos démonstrations et qui, une fois, nous avait même demandé d'enseigner les exercices à la police. Alors, je me suis dit qu'au moins ce policier devait être là. Il m’a dit au téléphone qu'il allait me présenter à ce sergent de police nouvellement désigné pour enquêter sur le Falun Dafa. Ce sergent (que j'ai rencontré par la suite) était celui qui avait demandé à la police de Mersin (ma ville d'origine) de rendre visite à notre association et de vérifier nos papiers afin de trouver des failles, et qui nous avait empêchés de collecter des signatures et de faire des activités.


Alors, je me suis rendue au bureau d’Ali et à ma grande surprise, il n'était pas là et les autres officiers dont le sergent à qui j'étais supposé être présentée n'étaient pas là non plus... Ils furent polis mais très froids et peu aimables ni à l'écoute. Mon cœur ne fut pas perturbé, et j'ai alors demandé l'aide du Maître. J'ai dit au policier qu'il savait qu'il n'avait aucune raison de nous empêcher d'aller à l'ambassade. Il nous a dit que nous nous y étions pris trop tardivement. Je lui ai dit que j'avais fait tout mon possible depuis au moins un mois pour parler à de nombreux officiers de police et que de plus je savais que je pouvais me rendre à n'importe quel consulat où l'on n'avait pas besoin de permission pour effectuer un reportage. Je l'ai regardé et j’ai dit intérieurement 'nous sommes ici pour te sauver et tu ne comprends pas. Réveilles toi je t’en prie!' À ce moment-là, il a parlé comme s'il venait de se réveiller d'un rêve dans lequel une baguette magique avait touché sa tête. Soudainement il a demandé; pourquoi êtes-vous ici? C'était vraiment incroyable.


Nous lui avons clarifié la vérité. Nous avons dit que le Falun Dafa était foncièrement bon et que le PCC était pervers. Et il a répété Falun Dafa est bon. Je vous crois, Falun Dafa est bon. Et il m’a demandé de lui en dire plus. Nous lui avons tout raconté, y compris l'interférence que nous avions eue ainsi que le conflit avec les officiels chinois durant Shen Yun. Il était devenu une personne totalement différente. Il a dit qu'ils avaient peur de nous car nous étions trop bons. C'était incroyable, nous nous sommes regardés les uns les autres sans arriver à croire que c'était la même personne. Il nous a dit qu'ils nous laisseraient aller devant l'ambassade mais qu'il avait besoin de parler avec ses supérieurs. Cette fois-ci, ce sergent a obtenu l'autorisation et nous a dit que le policier Ali, lui-même et de nombreux autres policiers viendraient nous aider. Ils étaient tous enthousiastes et voulaient faire partie de notre manifestation. Cependant, on nous a dit que nous ne pouvions pas trop nous approcher de l'ambassade. Nous pouvions seulement nous rassembler à l'angle de la rue où se trouvait l'ambassade. J'ai accepté.


Tous les pratiquants de différentes villes s'étaient réunis près de l'ambassade ce jour-là. Alors que nous nous apprêtions à nous rendre à l'angle de la rue, mon téléphone a sonné et le sergent m’a dit qu'ils étaient tous là mais que malheureusement il y avait un problème. Il m’a demandé de venir devant l'Ambassade de Chine. Il m’a dit que son chef était présent et qu'il souhaitait parler avec moi. Il a mentionné que si ce dernier refusait, il craignait que nous ne puissions pas faire notre manifestation. La perversité n'avait toujours pas abandonné !


J'ai demandé aux pratiquants de se rassembler et de m'attendre. Lorsqu'ils m'ont demandé ce qui se passait, mon cœur était calme. J’ai dit qu’il n’y avait pas de problèmes. Je refusais de céder devant la perversité. J'ai dit que j'avais simplement besoin de parler à une personne de plus. Je leur ai demandé d'attendre là et d'émettre les pensées droites. J’ai souri à la perversité... j’ai dit fermement en moi-même : J'ai pitié de vous, j'ai vraiment pitié pour vous... vous êtes éliminés.


Je suis allée voir le chef de la police. Il était habillé en civil. Il m'a dit qu'il avait appris cette manifestation le matin même et qu'il voulait que je lui explique clairement ce que nous allions faire. Il m’a également demandé comment j'avais réussi à venir ici. Il était en colère avec les autres agents de police. Je lui ai dit que nous allions faire une méditation assise avec de la musique, que nous allions donner aux médias qui étaient présents un dossier de clarification de la vérité déjà préparé. J'ai ajouté que nous allions installer des banderoles et des photos des pratiquants de Dafa ayant été persécutés à mort en Chine. J'ai précisé que nous ne dirions rien, et que nous resterions tranquilles. Nous sommes les pratiquants de Dafa de Turquie et nous pratiquons Authenticité, Bienveillance et Tolérance...cependant, nous ne tolérons pas le fait que la Chine nous gouverne dans notre propre pays... Il a regardé les journalistes présents. Il a dit que la Chine ne nous gouvernait pas. Je lui ai répondu Vraiment, alors pourquoi a-il été si difficile de faire tout cela? Nous sommes tous venus de différentes villes et je suis moi-même venue d'Australie... La police est présente ainsi que les journalistes, et vous êtes toujours là à me créer des difficultés. Je lui ai dit au fond de moi-même, Regardez bien, en réalité je viens de changer ma pensée et je ne vais pas aller à l'angle de la rue. Nous allons aller juste devant l'ambassade. Je me suis dirigée tout près de la porte de l'Ambassade de Chine. Certaines personnes de l'ambassade étaient déjà sur les balcons des trois étages de l'immeuble. Ils me regardaient. Je les ai montrés du doigt et j'ai dit au policier qu'il devait nous autoriser à aller jusque là... C'est très difficile à expliquer et c'était l'un des moments les plus extraordinaires de ma cultivation. Il m’a répondu oui comme s'il était une nouvelle fois sorti d'un rêve, et il nous a autorisés à nous placer juste devant l'ambassade. Il a répété exactement mes mots. Les autres officiers de police qui écoutaient notre conversation étaient soulagés et se sont souris entre eux en chuchotant, Elle l'a fait encore une fois.


Quatre officiers de police m’ont raccompagnée à l'endroit où les pratiquants m'attendaient. Bien sûr, comme tous les pratiquants venaient de différentes villes, au lieu de rester tranquilles et d'émettre les pensées droites, ils s'étaient lancés dans de bonnes discussions entre eux. En voyant cela, j'étais un peu contrariée, mais je ne pouvais m'empêcher de ressentir cette sensation très chaleureuse en voyant qu'ils étaient si contents de se revoir les uns les autres, comme s'ils faisaient partie de la même famille. Je savais qu'ils avaient toujours eu 100% confiance en moi en tant que coordinatrice. Je pouvais donc régler n'importe quel problème. Leurs pensées droites avaient en fait créé un effet très positif et je savais que chacun me soutenait inconditionnellement et que rien ne pouvait nous arrêter. Je me sentais intérieurement si heureuse que certains de ces pratiquants m'appellent Abla, qui veut dire grande sœur. Je remercie tous les pratiquants turcs pour leurs cœurs compatissants qui ont permis de dissoudre toute perversité.


Les policiers étaient aussi vraiment heureux que l'obstacle final ait été aussi éliminé. Ils nous ont aidés et ont demandé aux pratiquants de marcher en ordre. Ils nous ont dit : Montrons leur une grande résistance. Nous nous sommes tous calmement dirigés vers la porte de l’ambassade accompagnés par la police et sur la musique de "Pudu". Certains pratiquants se sont rapidement assis en méditation, d'autres tenaient des banderoles et des photos...tout le monde était très calme. Lorsque je me suis retournée pour regarder les pratiquants, ils émanaient une lumière dorée et étaient très compatissants mais aussi très fermes face à la perversité du PCC. Quelques grands médias, des médias de la police ainsi qu'un photographe de l'ambassade nous ont rejoints. L'air était rempli d'un incroyable champ d'énergie. Tout le monde était sous l’effet de cette énergie. Certains officiers de police avaient les larmes aux yeux...Même les officiels chinois de l'ambassade avaient des expressions compatissantes sur leurs visages... Ils ne pouvaient pas être haineux dans ce puissant champ d'énergie que le MAÎTRE avait créé. Alors tout le monde, moi y compris, avons fait ce que nous étions supposés faire. Je me suis trouvée en train d’avancer près de l'entrée de l'ambassade et j'ai levé ma paume en récitant calmement FZN. Personne n’a bougé pendant une demi-heure. C'était si calme que nous pouvions seulement entendre quelques journalistes prendre des photos.


Après cela, nous ne pouvions pas nous en aller car tous les pratiquants ont commencé à discuter discussion avec au moins vingt policiers qui étaient venus pour l'événement... Ils ne voulaient pas nous laisser partir. Nous avions réussi avec l'aide du Maître. Après cela, lorsque nous avons fait une autre activité à Ankara, le chef de la police ayant réalisé que je n'avais pas de voiture pour me déplacer, fit le nécessaire pour les autorisations. Pour obtenir la permission, Il m'aurait fallu me rendre dans 3 endroits différents situés dans différentes parties de la ville. Alors, pendant que je déjeunais avec mes amis, tout fut fait pour moi.

Shifu ! Comment puis-je vous remercier pour les miracles dont j'ai été témoin durant ces 12 années de cultivation? En tant que disciple, vous n'arrêtez jamais de me surprendre. L'autre jour, j'avais froid aux pieds lors d'une excursion scolaire. Je devais soit aller m'acheter à manger ou bien m'acheter des chaussettes. J'ai alors décidé de m'acheter à manger et à ma grande surprise, en quelques minutes, j'ai trouvé une paire de chaussettes dans mon sac à main. Pour une chose aussi simple que le fait d'avoir froid aux pieds, le Maître a pris soin de moi. Shifu Hao !


Partagé à la Conférence de partage d’expériences de Falun Dafa du Moyen-orient 2014

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