Crimes commis par la Police de la Province de Shanxi: on force des pratiquants de Dafa à avaler des excréments et de l’urine, beaucoup ont été torturés à mort

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A l’adresse des familles des policiers et du personnel du "bureau 610" de la Préfecture de Datong:

Nous sommes pratiquants de Falun Dafa. Nous avons la chance d’avoir découvert la Loi de Bouddha de Falun durant notre passage sur terre. Cela nous a aidés à apprendre le sens de la vie et les principes essentiels. Notre grand Maître a dit "Vérité-Bonté-Patience" est la caractéristique de l’univers et le seul critère pour évaluer le bien et le mal chez les gens. Il nous a aussi appris à nous assimiler à ce caractère et à être des personnes de bien qui sommes responsables pour la société, pour les autres et nous-mêmes. Après avoir pratiqué le Falun Gong, notre santé s’est améliorée et nous avons trouvé le bonheur. En Chine de bouche à oreille, de cœur à cœur, en quelques années plus de 100 millions de gens se sont mis à pratiquer le Falun Gong. C’est une grande chance pour le peuple chinois.

Mais devant une telle popularité, par jalousie, le régime de Jiang a commencé à persécuter le Falun Gong et les pratiquants de Falun Gong de manière frénétique. Cela a commencé le 20 juillet 1999. Du jour au lendemain, les médias de tout le pays ont commencé à diffamer cette pratique saine qui enseigne aux gens à être bons et en bonne santé. Les pratiquants de la Préfecture de Datong ont fait appel auprès du gouvernement pour leur révéler les faits sur le Falun Gong, d’après leurs expériences personnelles et pour aider le gouvernement à comprendre ce qu’est le Falun Gong. Mais on a accusé les pratiquants de chercher des histoires et de faire de la politique, depuis ils sont réprimés dans le sang.

A Datong, nous les pratiquants, avons reçu des menaces et des intimidations. Nos familles ont été touchées aussi. On nous a suivis, surveillés, on nous a détenus arbitrairement, on nous a soumis à des lavages de cerveau et on nous a même humiliés en nous faisant défiler dans les rues de différentes manières. Simplement parce que nous pratiquons le Falun Gong, certains d’entre nous ont dû quitter leur foyer et d’autres ont été détenus plusieurs fois et se sont vus imposer de lourdes amendes. Des pratiquants ont été détenus dans des centres de détention. La police de la Préfecture de Datong nous a violemment battus à coups de matraques. Ils nous ont passé de lourdes chaînes (qui pèsent quelques dizaines de kilos) autour du cou et des mains, ils nous ont ainsi forcés à marcher dans la cour. On ne pouvait même pas redresser le dos, on ne bougeait que centimètre par centimètre. Ensuite, on nous a empêchés de sortir. En hiver quand il faisait très froid, on nous a forcés à rester dehors. Le Deuxième Centre de Détention de la ville de Datong nous a transféré au Camp de Travaux Forcés de Taiyuan un jour où il neigeait et gelait, on a dû sortir pieds nus, avec une seule épaisseur de vêtements.

Dans la Province de Shanxi, la Préfecture de Datong est l’endroit où il y a eu le plus de pratiquants de Falun Gong détenus arbitrairement, envoyés dans des camps de travaux forcés et condamnés à des peines de prison in Datong. En prison on nous forçait à faire des travaux difficiles pendant des périodes de temps prolongées et on nous a soumis à toutes formes de tortures. En 2001, la police du camp de travaux forcés de Datong nous a empêchés de dormir. Quand il faisait froid, ils nous enfermaient dans une pièce vide, nous enlevaient nos vêtements, et versaient de l’eau froide sur nos corps. Il leur arrivait d’ordonner à sept ou huit criminels de nous encercler pour nous battre. Parfois, les policiers nous frappaient eux-mêmes à coups de bâtons et de matraques électriques, jusqu’à ce que nous soyons sur le point de mourir.

Au camp de travaux forcés de la Province de Shanxi, les policiers nous électrocutaient dans la bouche à coup de matraques électriques et nous exposaient sous le soleil brûlant pour nous humilier. Ils ordonnaient aux criminels de nous insulter, de nous attaquer, et de nous frapper à coups de crochets en fer. Ils nous donnaient des coups de pied, des coups de poing, ils nous traînaient par les cheveux et nous cognaient contre le mur, ils frappaient les femmes dans le ventre, violentaient les femmes dans leurs parties intimes, et enfonçaient des excréments dans la bouche des pratiquants. Parce que nous restions fidèles au Dafa, on nous a privés de liberté et on a piétiné notre dignité dans les camps de travaux forcés. Les policiers criminels nous empêchaient d’aller aux toilettes et nous forçaient à avaler des excrément et de l’urine. Ils nous enfermaient dans des cellules de torture et nous privaient de sommeil pendant des jours et des jours. Aussitôt que l’on fermait les yeux, ils nous frappaient. Ils nous empêchaient aussi de parler entre nous. Certains d’entre nous avaient le corps couvert de coups suites aux passages à tabac, ils étaient méconnaissables. Certains avaient perdu des dents sous la torture, certains avaient le corps couvert d’œdème et ne pouvaient pas marcher ni même se lever.

Au camp de travaux forcés pour Femmes de la Province de Shanxi, des policiers ont électrocuté un pratiquant à 220 volts. Résultat, cette femmes qui était en parfaite santé a été frappée d'une grave dépression. Mais les policiers ont menti, ils ont dit que cette pratiquante, qui avait été torturée, était devenue folle en pratiquant le Falun Gong. Au camp de travaux forcés pour Hommes, un pratiquant a été torturé à mort mais le camp a quand même essayé de cacher la vérité. Ils ont dit aux gens du camp qu'il était sorti pour raisons médicales, aux gens à l'extérieur du camp que ce pratiquant était mort de maladie. Le véritable meurtrier n'a pas été puni, au contraire il a reçu une récompense et a été relâché avant d'avoir purgé sa peine. Les policiers qui ont commis ces atrocités ont reçu des primes et des promotions. Le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de la Province de Shanxi reçoit de grosses sommes d'argent de leurs supérieurs et des titres honorifiques, "Camp de Travaux Forcés Civilisé," pour avoir durement persécuté des pratiquants de Falun Gong.

Afin de se soustraire à leurs responsabilités, les policiers qui nous persécutaient prenaient comme excuse qu'ils ne faisaient qu'exécuter les ordres des supérieurs. Beaucoup d'entre eux ont progressivement compris la situation réelle du Falun Gong à mesure que les pratiquants leur expliquaient, ils ont réussi à distinguer le bien du mal et à se mettre du côté du bien. Ils ont réalisé que le Falun Dafa était une voie juste, et ont commencé à nous protéger en secret. Quant à ceux qui continuent de commettre des crimes contre les pratiquants de Dafa, ils seront jugés par l'histoire.

Vous, qui avez de la famille dans les départements politiques et législatifs, ainsi que dans les départements de police, n'êtes vous pas choqués en apprenant ces crimes pervers et ces atrocités? Dans cette persécution, les sévices physiques et mentaux infligés aux pratiquants de Falun Gong ont causé de grandes souffrances à leurs familles; c'est une souffrance psychologique et une angoisse difficiles à décrire. Peut-être que des gens de votre famille sont impliqués dans la persécution. Nous faisons appels aux gens de bien, nous avons tous une mère, un père, des frères et des sœurs, un conjoint et des enfants. Unissons nous pour leur révéler la vérité, pour leur bien et le bien de leur famille. Empêchons les de commettre plus de crimes !

Les pratiquants de Dafa de la région de Datong

1er décembre 2003


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