Les tortures d'étirement utilisées par le régime communiste chinois

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

La « Grande suspension » est utilisée dans le camp de travaux forcés de Wanjia dans la ville de Harbin

Au camp de travaux forcés de Wanjia dans la ville de Harbin, les pratiquants de Falun Gong ont été torturés par une méthode cruelle qui impliquait " de les suspendre dans les airs ". En octobre 2002, le garde Zhao Yuqing a battu la pratiquante Mme Lu Huiwen du village de Shuangsheng, canton de Yilan, jusqu'à ce qu'elle perde connaissance.

La prisonnière Bai Xuelian a ensuite traîné Mme Lu dans la « salle de torture ». On lui a ordonné de se tenir sur un tabouret placé entre deux lits et ses deux poignets ont été menottés à l'extrémité d'un lit. Les lits ont été séparés, le tabouret a ensuite été enlevé d'un coup de pied et Mme Lu s'est retrouvée suspendue dans les airs. Ses poignets ont immédiatement commencé à saigner.

Reconstitution de torture : la « Grande suspension » (également appelée « être étiré dans les cinq directions »)

Mme Hao Peijie, une pratiquante enseignant à l'Université de médecine traditionnelle du Heilongjiang, a été suspendue d'une façon différente en août 2002. Ses membres ont été attachés aux quatre colonnes de quatre lits différents. Les quatre lits ont ensuite été séparés. Son corps entier est demeuré suspendu dans les airs.

Chaque prison et camp de travaux forcés en Chine emploie cette méthode de torture de différentes façons.

La méthode de « Suspension » utilisée dans le camp de travaux forcés de Sanshui dans le Guangdong

Dans ce camp de travail, les gardes ordonnaient d'abord aux détenus de remplir une couette de coton. Ensuite, ils menottaient le pratiquant à deux couettes différentes. Les couettes étaient alors étirées dans des directions opposées. La peau des poignets des pratiquants s'arrachaient presque instantanément et les os étaient parfois exposés. Presque tous les pratiquants qui y ont été détenus ont été torturés de cette façon.

Dans le camp de travaux forcés de Sanshui, un garde peut obtenir 20 000 yuan s'il réussit à laver le cerveau d'un pratiquant, le forçant à renoncer à ses croyances. Le garde Zhang Wujun a eu recours à la méthode de torture de suspension sur Mme Huang Zhufeng, une pratiquante dont le bras gauche a été mutilé après la torture.

Méthode de « suspension » utilisée dans la ville de Zhuzhou, province du Hunan

Le 11 avril 2008, Mme Zhang Hejun, une employée de l'Usine d'axes de pistons de Hetang, a été arrêtée et détenue à la Division de la sécurité intérieure de Hetang à Zhuzhou. Ils lui ont mis les mains derrière le dos de force et l'ont menottée à une chaise. Quatre hommes forts lui ont étiré les pieds en arrière. Après cela, elle a été suspendue par les bras au cadre d'une fenêtre jusqu'au lendemain matin.

Illustration de torture : être suspendu dans les airs

Étirement à Chibi, province du Hebei

Le 6 décembre 2002, Deng Dingsheng, le directeur adjoint et plus d'une dizaine de gardes et quatre détenus ont torturé Mme Liu Xiaolian, une pratiquante de 62 ans. Les quatre détenus se sont emparés de ses membres et ont tiré. Deng l'a même saisie par les cheveux et a tiré. Lorsque les cinq d'entre eux ont tiré avec force en même temps, la peau entre ses jambes s'est arrachée. Ses os ont fendu et se sont disloqués. Plus tard, d'autres gardes y ont participé. Ils l'ont battue à tour de rôle avec des chaînes. Beaucoup de ses os étaient cassés et elle a perdu connaissance. Après avoir repris conscience, ils lui ont poussé la tête vers le bas et elle s'est de nouveau évanouie.

Pour en lire plus sur ce qui est arrvé à Mme Liu, veuillez lire : Ms.liu Xiaolian from Chibi City, Hubei Province, Persecuted to Death (Graphic Photos)

Suspendu à des encadrements de porte

Mme Yan Jiehua du canton de Yandu, province du Jiangsu, a été menottée à deux portes qu'on a ensuite ouvertes.

Le 29 novembre 2001, Zhen Jianghhe, le directeur du bureau, Piao Binglong, le directeur du parti et Li Fuzhi, le directeur du Comité des affaires politiques et juridiques du Bureau de foresterie de Huichun, ont monté un coup contre la pratiquante Mme Huang Jiazhen. Elle a été arrêtée alors qu'elle partait de chez elle. Ils lui ont mis une menotte à chaque main et l'ont suspendue à deux portes de chaque côté d'elle. Peng, un policier, a ensuite ouvert l'une des portes d'un coup de pied. Les bras de Mme Huang ont été étirés et son corps a été maintenu dans les airs. Comme ses bras étaient si fermement tendus, elle pouvait seulement toucher par terre avec les orteils.

Pour lire davantage d'informations sur Mme Huang, veuillez lire : L'ingénieure Mme Huang Jiazhen soumise à d'interminables abus

En août 2004, M. Guo Yongbo, un pratiquant du canton de Guidong, province du Hunan, a été menotté à deux portes. Plusieurs prisonniers forts ont tiré les portes ouvertes et ses pieds ont commencé à saigner.

La torture d'étirement au camp de travaux forcés de Wangcun, province du Shandong

Pendant le Nouvel An chinois en 2002, M. Zhang Guangbao, un pratiquant, a été menotté à deux colonnes de lit et les lits ont été séparés. Une autre personne lui a saisi les bras et a commencé à le balancer. Lorsqu'il a été libéré, il ne pouvait rien tenir dans les mains.

La méthode de torture de « tirer la taille vers le bas »

M. Cui Xunhua, un pratiquant du canton de Huangmei, province du Hubei, a été arrêté le 11 mars 2002. L'une de ses mains a été menottée au plafond et deux policiers lui ont tenu la taille et ont tiré vers le bas.

Étirer le corps

Mme Luo Hong, une pratiquante de 61 ans de la ville de Hengyang, province du Hunan, a été envoyée au camp de travaux forcés de Baimalong. Alors qu'elle y était, elle a été torturée par étirement. Des prisonniers lui ont tenu la poitrine et ont tiré dans une direction, alors que d'autres lui ont tiré les jambes dans la direction opposée. Elle était torturée ainsi six fois par jour. Ses côtes ont été cassées après avoir été étirée si violemment.

La position debout croisée

Mme Chen Hua, une enseignante de 34 ans de la 27e école secondaire de la ville de Guanzhou, a été envoyée dans un camp de travail à deux reprises. Une méthode de torture qu'ils utilisaient était appelée « la position debout croisée ». Ses bras étaient étirés directement de l'autre côté et menottés de chaque côté d'un lit en acier, puis ils la frappaient ensuite aux jambes, qui enflaient. Mme Chen avait l'interdiction d'aller aux toilettes, alors elle s'est retrouvée à uriner dans son pantalon.

Suspendre une grande balance romaine

Des policiers du Département de police de la ville de Nanyang ont utilisé les tortures suivantes sur 10 pratiquants. Ils menottaient l'une des mains de la victime à un anneau au plafond et l'autre main à une fenêtre au mur. Les pratiquants étaient torturés ainsi après avoir entamé une grève de la faim en signe de protestation pendant 10 jours, refusant de manger et de boire. Mme Wang Huaiying, une pratiquante de 58 ans de la province du Shandong, a été torturée à mort par cette méthode cruelle.

Étirement

Dans le camp de travaux forcés de Wangcun, les gardes ont tenté de transformer Mme Yang Wenjie, une pratiquante de 45 ans de Zhaoyuan, province du Shandong. Une de ses mains a été attachée aux barreaux de la fenêtre et l'autre à une conduite de gaz par terre. Dans cette position, elle ne pouvait ni se tenir droite, ni s'asseoir. Elle a été forcée de rester dans cette position pendant 10 jours. Elle n'a pas été autorisée à aller aux toilettes pendant la durée de la torture.

Menotter en position accroupie

Il y a un centre de lavage de cerveau à Qinglongshan, province du Heilongjiang. Le 14 octobre 2011, Mme Liu Rangying a été menottée à deux lits séparés qui ont ensuite été tirés de chaque côté. La hauteur du lit faisait en sorte qu'elle devait demeurer dans une position très inconfortable dans laquelle elle ne pouvait ni se tenir debout, ni s'asseoir.


Le 5 septembre 2012, Mme Meng Fanli, une pratiquante de la ville de Jiamusi a été arrêtée et détenue au centre de lavage de cerveau de Qinglongshan. Elle a été menottée à deux chaises et les chaises ont été séparées, la forçant à être dans une position très douloureuse et inconfortable.

Étirement sur le banc du tigre

Mme Hou Lihua, une pratiquante, a été arrêtée en novembre 2001. Elle a été attachée à un banc du tigre. Ses jambes ont été étirées en ligne droite et attachées au banc. Six briques lui ont été insérées sous les jambes. Après qu'elle ait perdu conscience à cause de la douleur, ils l'ont aspergé d'eau froide et ils ont repris la torture.

Étirer par la force

M. Wang Xiaodong, un pratiquant de la ville de Huadian, a été arrêté et détenu au poste de police. Il a été attaché à une chaise de fer et une bouteille d'essence lui a été versée dans le nez. Les policiers lui ont ensuite étiré les bras dans des directions opposées.

Le 5 janvier 2005, M. Hu Enkui, un pratiquant et professeur de physique de la ville de Feixiyi, a été torturé dans la prison de Suzhou, province du Anhui. Les gardes ont ouvert les fenêtres et ont mis un ventilateur en marche devant lui. La température extérieure était en dessous de zéro et il portait peu de vêtements. Il a ensuite été battu. Par la suite, l'une des mains a été menottée au barreau d'une fenêtre et plusieurs personnes ont tiré sur l'autre bras dans la direction opposée jusqu'à ce qu'il soit suspendu dans les airs. D'autres qui étaient présents l'ont frappé à la poitrine et au dos. Plus tard, on l'a forcé à s'asseoir contre le mur par terre alors que ses jambes étaient tirées séparément, puis on l'a frappé dans le bas-ventre.

Mme Chen Zhenbo, une pratiquante comptable de la province du Shandong, a été envoyée au deuxième camp de travaux forcés pour femmes du Shandong. Le 26 février 2009, elle a été étirée alors qu'elle était menottée et plusieurs prisonnières lui ont ensuite couvert la tête avec une couverture et lui ont poussé la tête vers l'avant d'un coup sec. Les os du cou, du dos, de la poitrine et des hanches ont été gravement blessés.

Illustration de torture : menotté à l'arrière

Des gardes ont menotté les mains et les pieds des pratiquants et ont ensuite suspendu les menottes à un bâton horizontal dans les airs. Ils ont soumis les pratiquants à cette torture cruelle pendant une durée allant jusqu'à 11 heures.

Illustration de torture : « rôtir le mouton entier »

Reconstitution de torture : faire reculer un avion

Les méthodes de torture mentionnées ici comprennent principalement l'étirement des victimes de façons cruelles. Le PCC emploie beaucoup d'autres méthodes de torture dans la persécution des pratiquants de Falun Gong.

Traduit de l'anglais :
Cruel Stretching Tortures Employed by China's Communist Regime (Part 3)

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.